La Mondialisation

à l’égard du pouvoir, la tolérance à l’incertitude, l’individualisme et le sens des valeurs collectives, la masculinité et la féminité, puis l’orientation dans le temps.

* On peut aborder les différences entre les cultures du monde selon les axes des relations interpersonnelles, des attitudes à l’égard du temps et des attitudes touchant l’environnement.

Les pratiques de gestions peuvent-elles s’appliquer telles quelles dans toutes les cultures ?

* On doit adapter judicieusement les pratiques de gestion aux cultures et aux situations locales.

* La gestion comparative = consiste dans l’étude des pratiques de gestions dans le monde entier et le transfert des idées de gestion d’un pays et d’une culture à l’autre.

* Les valeurs culturelles et les pratiques de gestions doivent être cohérentes ; les pratiques qui donnent de bons résultats dans une culture donnée, risquent de ne pas porter fruit dans d’autres situations.

* L’apprentissage organisationnel international = revêt un intérêt considérable dans un monde sans frontière où s’entrechoquent des pratiques de gestions issues de diverses cultures et de divers pays.

Qu’est-ce qu’un comportement éthique ?

* Le terme « comportement éthique », décrit ce que nous acceptons comme « bien » et « correct » par opposition à ce que nous croyons «mal » ou « incorrect ».

* Si l’acte est conforme à la loi, certains agissent en toute confiance, estimant que leur comportement est éthique. Pour d’autres, l’examen moral dépasse la légalité et s’étend aux valeurs personnelles.

* Les théories de l’altruisme, de l’individualisme, des droits moraux et de la justice constituent 4 moyens de réfléchir à l’éthique d’une ligne de conduite. Chacune peut justifier la moralité d’un acte selon un point de vue différent.

* Un dilemme éthique est une situation qui offre un avantage potentiel tout en pouvant être considéré comme contraire à l’éthique. Elle oblige donc à faire un choix d’une ligne de conduite. Les quatre formes de rationalisation qui servent à justifier les actions contraires à l’éthique, sont les suivantes : ce n’est pas vraiment illégal ; c’est avantageux pour tout le monde ; personne ne le saura ; l’entreprise soutiendra le fautif.

* Le code d’éthique énonce officiellement les valeurs et les principes qu’on désire voir adopter dans l’entreprise.

Comment l’entreprise fait-elle face à ses responsabilités sociales ?

* Par responsabilité sociale de l’entreprise = On entend l’obligation pour l’entreprise d’agir de façon à servir à la fois ses propres intérêts et ceux des parties intéressées, qui représentent la société en général.

* Le terme « gouvernance d’entreprise » = désigne la surveillance de la haute direction d’une entreprise par son conseil d’administration.

* Lorsque la gouvernance est faible et que les scandales éclatent, on voit souvent l’Etat intervenir par des lois et des organismes de réglementations afin d’éviter que pareils événements ne se reproduisent.

* Sur le plan de l’éthique des dirigeants