Homo economicus - Daniel Cohen
Fiche de lecture : Homo economicus - Daniel Cohen. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar lifestrgll • 10 Avril 2017 • Fiche de lecture • 6 507 Mots (27 Pages) • 1 681 Vues
Noumsi Ndefo
mickael
Licence 3 economie gestion
Université Lille 1
Fiche de lecture
Homo economicus
Daniel Cohen
Tout d'abord, nous avons un essai qui va exposer assez clairement à l'aide d'un certain nombre d'exemples concrets de la vie courante au travers des grands problèmes et des inconvénients de la société dans laquelle nous vivons.Dans son raisonnement, il va placer l'homme au centre et le fait passer pour cet être qui ne fait rien pour rien, et qui veux tout le temps se comparer à autrui et être le meilleur, ce qui a d’après lui va laisser des séquelles à cette société, comme par exemple le bien être qui diminue malgré que les richesses croissent, c'est le paradoxe d’Esterlin. Cet ouvrage va se rapprocher de ses tendances d’héritier de Léon Walras, avec la théorie de la concurrence pure et parfaite.
Tout d'abord, dans un contexte antérieure, dans les sociétés passées on peut constater que les gens vivaient avec le strict minimum, de plus il n'y avait pas toutes le avancées de nos jours. Les hommes vivaient presque comme des animaux, il y avait absence de règles régissant la société, tout le temps en proie a des conflits mortels, des problèmes qui n'avait presque pas de solution. Ça c'est l’état de nature . L'auteur va dans un premier temps essayer de se concentrer sur l'indicateur ''bonheur'', ainsi dans ces sociétés primitives, il paraît logique vu tout ces problèmes de penser que leur bonheur était quasi inexistant que ce soit a causes des maladies et la mortalités très fortes par exemple.
Par contre de nos jours, avec les grandes avancées technologiques et tout ce qui a été fait pour facilité les choses a la société par exemple comme l'eau potable ou encore les transport en communs. De plus avec un grand nombres d'indicateurs qui donnent au verts, une conjoncture meilleurs a celle des sociétés du passée ; on pourrait penser que le bonheur serait a son maximum, mais paradoxalement ce n'est pas le cas. Plus grave même on constate a travers des indicateurs comme le taux de consommation d'antis dépresseurs, ou encore le taux de suicide, que les individus n'on pas encore trouver le chemin du bonheur, tel est l'une des notions principale que l'auteur va essayer de développer afin de le mettre dans plusieurs contexte e voir comment il évolue dans différentes situations. Pourtant tout paraît favorable a l'atteinte du bonheur. D'après l'auteur il serait difficile de toucher le bonheur déjà parce que on a pas une réelle idée de ce qu'il est . Et étant donné que l'homme n'est jamais satisfait, a l'image du pauvre(moyen) qui veut devenir riche et le riche qui veut devenir plus riche il parait difficile d’après l'auteur de cadrer ce qui permettrait a l'homme d’être heureux, d'autant plus qu'il y a une constante évolution a la hausse des besoins de l'homme qui entretient cet état de non satisfaction.ainsi la pour l'auteur, le véritable problème ici est au niveau des perceptions de la société. En effet tout partirait de la, car c'est les mœurs qui donne une certaines dimension a des Etats a atteindre qui ne sont pas forcements les plus justes ou les plus équilibrés . La société a mis en place un certain cadre qui est celui de la haute concurrence, l'auteur par de l'homo œconomicus qui est celui la qui ne recherche que des situations ou son profit est maximisé, peut importe comment il y arrive, que ce soit par l'exploitation des enfants comme dans les usines chinoise, ou encore dans les entreprises lorsque les patron essaye constamment de crée de la concurrences, de durcir le travail pour essayer de faire craquer les plus faibles, et plus tard, de faire craquer les plus faibles des plus forts. Es ce que cela est vraiment nécessaire ? Ce genre de société dans laquelle nous vivons actuellement a mis en place des bases qui font que tout va de mal en mal. Or a la base on a en nous aussi l'homo politicus, c'est a dire la raison, la morale, l’éthique qui est sensé nous faire pensé juste, mais de nos jour, c'est notre coté œconomicus qui a prit le devant a tord et cela se fait ressentir, les gens n'en peuvent plus. En faite l’économie a prit le contrôle du monde et a mis en place des règles très dures mais qui ne sont pas les bonnes . Du coup dans ce cas en cherchant le bonheur, l'on tourne en rond car ces règles mises en place par l’économie ne vont jamais conduire a la stabilité de la société . En d'autres termes, a travers la thèse de l'auteurs, on peut tirer que actuellement le capitalisme qui a prit le contrôles de la société et qui pense le mener dans un bon sens se trompe totalement, et cela doit vite changer sinon ça va aller de mal en pire .
Ainsi le constat de l'auteur est que dans un monde en plein progrès et en pleine richesse, on remarque quand même que le bien être tant a baisser . Il va tout au long de son ouvrage, essayer d’expliquer tout les phénomènes et surtout économique et anthropologiques,sociologique qui pourrait être a l'origine de ce paradoxe, et quelles en sont les conséquences.
Daniel Cohen va partir du particulier, c'est a dire l'un des grands responsable de l'insatisfaction humaine vient de la modification des ses perceptions, de ses mœurs. En effet cela passe principalement par un effet de société et en particulier la télévision. Ainsi tout les programmes qui y sont diffusés vont toujours présenter une face parfaite de l'homme que ce soit au niveaux des style de vie, de la classe social, ce qui va beaucoup modifier les perceptions de téléspectateurs. De plus il y a aussi tout ce qui est négatif comme les consommations de drogue, les styles d vie ou encore la criminalité, donc tel des enfants les gens vont avoir tendance a percevoir cela comme un idéale, l'auteur souligne d’ailleurs que depuis que les films de braquage ou de suicides sont apparue on observe une augmentation des violences et des suicides dans la vie réel. Ainsi a cause de tout cet idéal présenté a la télévision, mais qui n'est pourtant pas réelle et donc pas atteignable, les êtres humains vont essayer de s'y retrouver, mais cela est impossible vu que nous somme dans la vrai vie, c'est pour ça que ils vont pas être a l'aise dans leurs peau, le bien être va diminuer car ils n'arrivent pas a reconstruire la vision qu'ils on de la réussite . Tout cela est du également au fait que l'homme a une adaptation assez rapide des acquis qu'il fait. En effet, des qu'un besoin est combler, un autre fait automatiquement son apparition, on est comme ça enfermé dans un cercle vicieux ou une spirale infernale tout ça a cause de la vison que la société nous impose. En somme nous somme responsable de cette situation. Il va alors introduire le concept d'homo economicus qui est celui la qui est en nous et qui est a l'origine de notre comportement non seulement très calculateur, mais insatiable. Il y a dimension de perpétuelle comparaison a autrui qui va faire que l'on trouve toujours que cher e voisin ça va mieux, et on aimerais que ça se passe comme ça cher nous .
Dans un autre domaines, qui est celui du travail, l'auteur mais en place le sens commun c'est a dire que la relation entre le travail et le bonheur est d'avoir un emploie que l'on est sur de garder. Ainsi sont plus heureux ceux qui sont salarié et même en contrat a durée indéterminé. Mais la société capitaliste allant toujours dans un sens inverse a celui du bonheur des gens, va rendre l'emploie stable de plus en plus difficile a atteindre. D’après lui tout part déjà au niveaux de la formation : dans les écoles on va apprendre aux étudiants comment être le plus rationnelle possible dans une entreprise, comment atteindre un profit maximum, sachant que cela passe par certain sacrifices qui vont reposé sur des situations qui anéantissent les possibilité de bonheur. En somme la situation vers laquelle on se dirige c'est le manque d'emploie, il fait donc le lien avec le manque de bonheur. La encore l'auteur souligne le fait que la société va cultiver a travers l’école, l’essor du coté homo œconomicus en nous. A travers la mise en place de concurrence au seins des entreprises qui vont faire perdre des emplois dans le sens ou dans la recherche de profit on encourage de plus en plus la délocalisation ou encore la sous traitance sachant que cela va aller a l'encontre du bonheur des gens.
C'est comme ça que la morale disparaît petit a petit, c'est a dire que l'aspect technique du travail, le savoir faire n'est plus vraiment un objectif. L'essentiel est le profit et peu importe
le chemin qui mène vers lui. D’après l'auteur, les endroit ou l'on est sensé trouver plus de réconfort a savoir a sein de son entreprise, avec ses collègues, l'est de moins en moins . Au contraire le climat y est de plus en plus tendu surtout parce que les membres d'une même entreprises se livrent a une rivalité très accrue, d’après Cohen, on voit la que les structures de la société se modifie profondément et concourent au danger pour demain . De plus a travers le cas des Etats-unis, l'auteur signale que a partir de l’élection de Ronald, les liberté on commencer a diminuer, que ce soit au niveaux de la liberté d'action des syndicat qui a été revu a la baisse, il y a la une volonté de contraindre la société a accepté le modèle capitalisme. Cela va se traduire en résultat par des inégalités de plus en plus croissante. Tout cela rejoint le postulat selon lequel l'individus essaye toujours de penser que cher l'autre c'est la référence a atteindre, mais qui dans la réalité sera presque impossible a atteindre, a travers les inégalités, on est durablement installer dans la rêverie, c'est adire une spirale sans fin .
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