UNE INVITÉE ET UNE JEUNE FILLE DE LA MAISON
Commentaire de texte : UNE INVITÉE ET UNE JEUNE FILLE DE LA MAISON. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Clara Le Saux • 24 Août 2016 • Commentaire de texte • 8 027 Mots (33 Pages) • 1 252 Vues
CHAPITRE 1 : UNE INVITÉE ET UNE JEUNE FILLE DE LA MAISON
- Elle arrive dans la tribu mais c’est son papa qui parle aux frères du chef, le Haj. Elle a compris par la suite l’importance de la présence de son papa. Pour les Awlad ‘Ali, une femme qui vient seule est une femme qui à peut être été abandonné par sa famille pour un acte qu’elle a commis, elle n’est plus si « respectable ». Pour eux les hommes doivent prendre soin des femmes de leur famille.
Le père à donc expliqué que les hommes soutenait la fille dans ses études qui la pousse à allé loin de la famille, il a beaucoup parlé de religion pour montrer que, même s’ils sont américain, ils sont de bons muslumans ( Lila Abu- Lughod, étaient un peu mal à l’aise au début car sa connaissance de la religion n’était pas aussi grande.
De plus là-bas les chrétiens sont très mal vu.’
- Au début elle a eu de la peine à s’intégré car elle parlait avec les 2 sexes, elle a fini par choisir le camp des femmes qui se sont finalement ouverte à elle. Généralement les hommes ont 2 épouses et plusieurs enfants. La poésie à une place importante dans cette communauté, avec plusieurs genre, certains épique, très formelle, plus abordé par les hommes ( qui s’inétressent beaucoup à la politique du pays et de des pays aux alentours), et un genre plus plus simple, abordant des sentiments ou des thèmes personnels, pour des situations informelles, surtout dites par les femmes et les enfants que les hommes trouvent comme immature
- Elle était triste de ne pas avoir assez de contact avec les autres communautés, mais comme elle était sous la protection du Haj, il ne voulait pas qu’elle donne une mauvaise image de sa famille car elle était comme une fille adoptive !
- La communauté vivaient dans le désert à qq km du Caire. C’était de grandes maison généralement, avec toutes les générations qui y habitaient et des clients de passages. Généralement les hommes et les femmes restaient chacun de leur côté ; les hommes portaient des sarouals et un keffieh qu’ils le mettent à la manière du moyen orient ou comme un turban, les femmes ont un voile noir qu’elle rabattent sur le visage, une longu robe avec une ceinture rouge autour de la taille.
CHAPITRE 2 : L’IDENTITE DANS LA RELATION.
- Il est mal vu chez eux car ils peuvent être atteint par des « esprits malins »
- La descendance est très importante pour eux. Le lien d’un ancêtre commun est très fort, ils peut faire que la personne soit « de la famille » ou étangère. Il y a le lien de sang, d’une affiliation paternel ( ou maternel)
- Des changements dans la société et l’économie des Awlad ‘Ali par le gouvernement qui voulait que les différences entres les Bédouins et les non.Bédouins s’estompe, n’a pas réussi. Ça a accentué les différences en essayant de marqué leur identité. Les différences, ppour les bédouins, s’étendent jusqu’aux principes fondamentaux de l’origine. Ils se définissent par rapport au Égyptien
- Le sang authentifié l’origine oû l’ascedance. Les égyptiens ont eux perdu la noblesse de leur origine car quand Moïse est parti, il a prit les vrais hommes avec lui, et donc les hommes qui restaient étaient les esclaves qui restaient avec les femmes, ce sont des hommes faibles. Les égyptiens ont donc une descandance pré islamique inférieur.
- La vertu la plus apprécié est la générosité, vertu que les égyptiens n’ont pas.
- L’application peu rigoureuse de la ségrégation sexuelle par les égyptiens les chocs aussi, que les Bédouins justifie par leur descandance. Aversion montré aussi avec le peu de contact que des époux peuvent avoir en publique. ( on ne mets pas non plus une photo de mariage ou il y a contact => manque de pudeur et c’est ne pas avoir honte). Idem avec la personne qui a dormi chez eux et le fait qu’il ai dormi avec sa femme, normalement chacun dort avec les personnes de son même sexe. Mais là, l’hospitalité prends le devant.
- LE SANG DE LA RELATION. Est très important aussi et c’est pour ça que bcp se marient entre cousins Germain, voir du premier degré.
- Quand ils divorcent , la femme ne peut pas partir avec les enfants car il appartient au sang du côté paternel. Pas ce soucis quand c’es des cousins vu qu’ils ont le même ancêtre. De plus les hommes traitent mieux leur cousines que des étrangères.
- L’agnation est très importante chez eux, mais les deux autre liens les plus important qui unissent des individus sont la parenté maternelle et la corésidence. Pour ce qui est de la maternelle, comme les mariages se font entre cousins, là distinction n’est pas toujours nette. En ce qui est de la corésidence, si une personne vit là depuis longtemps oû même est né dans la communauté, elle n’est plus considéré comme étangère.
CHAPITRE 3 : L’HONNEUR ET LES VERTUS DE L’AUTONOMIE
- AUTONOMIE ET HIÉRARCHIE : le sang est très important pour eux. Les Awald ‘Ali estime que c’est leur honneur qui les distinguent des autres peuples et les rends supérieur. Au coeur de leur système de moral, on trouve l’honneur et la pudeur
- Déjà ils se considèrent libre de l’état, ils n’annoncent pas les naissancent, ne payent pas de taxes etc, ils veulent garder cette liberté.
- En ce qui concerne la hiérarchie, le respect. Non seulement il revient de droit à certaines personne, comme les chefs, les hommes âgés, les aînés, les femmes sur leur enfants, etc, mais il peut également se gagner. Un client qui a beaucoup d’honneur se fera respect de par son attitude etc.
- Mais un homme peut également perdre le respect. Par exemple un homme qui ne peut pas contrôler ses pulsions sexuelles, ils ne sera plus respecté, il sera mal vu et fera honte à sa famille.
- LE MODÈLE FAMILIALE DE LA HIÉRARCHIE : indépendance et autonomie ne sont pas la même choses. Une femme est dépendante (elle a besoin de son mari ou des hommes en générale pour les denrées alimentaires etc) mais est autonome dans le sens qu’elle peut s’occupper d’elle même, elles sont faibles et les hommes doivent les protéger. Il y a donc une préoccupation mutuelle et non pas une soumission de la femme.
- Les frères succèdent au père, contrairement aux clients qui ne succéderont pas aux patrons. Le client va travailler avec le bétail sur du patron, qui en échange lui laisse prendre le lait, ou une partie de la vente de l’animal ou encore les moyens pour se marier .
- La relation entre eux n’est donc pas de domination et de subordination, mais de protection et de dépendance
- L’HONNEUR, FONDEMENT MORAL DE LA HIÉRARCHIE. Les bédouins agissent comme si l’autorité devait se gagner, et elle peut donc se perdre. C’est ici que l’analogie avec la parenté s’efffondre. Les positions ai sein de éa famille ne sont pas interchangeables, mais dans la vie sociale, il a davantage de flexibilité et de place pour l’accomplissement personnel.
- Le préstige d’un statut peut s’exprimer par la généalogie, l’âge, la fortune et le genre (ils sont associé à des vertus morales)
- Hommes et femmes condamnent un mari trop sévère et en privé les femmes aprécient de la tendresse.
- Un homme peut perdre son honneur s’il refuse de se battre aussi. Il se déshonneur lui-même. Si sa femme le quitte sans réel raison et que lui, lui court après pour qu’elle reviennent, il perd également son honneur. Il peut aussi perdre son honneur s’il se plaire de douleur ou autre. Un homme ne doit pas gémir etc, cela montre la maîtrise de soi. ( les hommes adulères ou qui vont voir des prostituées) ( signe de faiblesse qui est une porte ouverte au renversement des relations de pouvoir entre les sexes)
- La maîtrise de sois, ou ‘agl, est une grande valeur, des chefs. Seuls les déments et les imbéciles ne le développent pas : comme les enfants, ils n’ont aucune intelligence sociale, ne maîtrisent pas leur besoin naturelles ni ,parfois, leur pulsions sexuelles.
- Donc ce n’est pas l’âge qui confère un statut sociale élévé ou de l’autorité, mais l’âge s’accompagne d’un affranchissement à l’égard de ceux dont on dépend oû de ceux qui on autorité sur nous car avec le temps il disparaissent.
- LES LIMITES DU POUVOIR. Là où les individus valorisent leur autonomie et croient en l’églaité, ceux qui excervent une autorità jouissent d’un staut précaire. Pour gagner le respect des autres, en particulier des personnes qui dépendent d’eux, ils doivent représenter les idée aux de l’honneur, protéger ceux qui dépendent d’eux, subvenir à leurs besoins, se monter justes en ne tirant pas d’avantages excessifs de cette position.
- Un homme haut placé qui bat qqun en publique pourrait perdre sa place, son honneur et le respect qui en découle. Une personne à le droit de réagir à une humiliation publique : refuser d’obéir à un ordre déraisonnable ou à un ordre compromettant fait honneur à celui qui refuse et mets en cause l’autorité qui l’a donné
- Une femme peut aussi déobéir à son mari par exemple, en retournant dans son foyer d’origine. Les femmes ont moins de pouvoir pour résister contre des tuteurs tyrannique mais il y a quand même divers moyen, et en dernier recours il reste le suicide ( acte de résistance déséspéré face à un mariage forcé). Elles peuvent faire croire qu’elles sont possédées aussi
- HASHAM : L’HONNEUR DU FAIBLE = ASL. Un individus d’un staut inférieur, telle qu’une femme ou les jeunes personnes, peuvent posséder le asl ou être d’origine noble par le biais de leur affiliation. Mais de part leur dépendance, elle sont limitée dans la réalisation des comportements idéaux.
- Les femmes se soumettent volontairement car de cette manière ça n’entache pas leur honneur ; elles n’ont pas fait qqch par obligation mais bien par libre arbitre.
- Les bédouines n’aiment pas les femmes trop soumises, un peu bête, elle veulent un minimum de caractères pour montrer qu^’elles on le Asl quand même.
- HASHAM est également la pudeur, et c’est pour cela que les femmes se couvrent, elles doivent être discrètes, baisser les yeux, adopter une posture humble, ne pas boire manger ou fumer bavarder rire plaisanter.
- Le hasham est étroitement lié au 'agl, qui est l’intelligence sociale. Une femme doit la posséder car elle doit être éduquée etc. Si une femme manque de agl elle est soit têtue soit une débauchée. Celle qui refusent de suivre les ordres, parlent trop, ne partagent pas les biens alimentaires avec les autres femmes etc sont mal vu, et l’on attribuent ce genre de comportement irrespectueux à une mauvaise éducation et plus spécialement à une trop grande indulgence.
- Une femme doit parler peu alors qu’un homme doit s’imposer ; depuis tout jeunes on réprimande les petites filles pour qu’elles parlent moins et on réprimande moins sévèrement les garçons pour qu’ils apprennent à s’exprimer. « Plus le garçon s'est entété, mieux c’est »
- Il y a un mal aise quand on se retrouve avec des personnes de plus haut rang ; les gens doivent tahashshamer devant eux. C’est pour éviter cette sensation que les femmes restèrent entre elles, les jeunes idem etc.
CHAPITRE 4 : PUDEUR, GENRE ET SEXUALITÉ
- IDEOLOGIE DES GENRES ET HIÉRARCHIE : les valeurs associé à l’autonomie ( l’honneur) sont associé aux hommes, et le Hasham (la pudeur) est associé aux femmes.
- Tant les femmes que les hommes préfèrent les petits garçons car les femmes ont une certaine infériorité moral, due à l’association de le féminité à la reproduction, car même si elle est positive, elle est souilàe par les menstruations et la sexualité.
- LA VALEUR SOCIALE DE L’HOMME ET DE LA FEMME : les gens attendent fièrement la naissance de garçon, il y a de la joie et les femmes amènent des cadeaux et de la nourriture ; quand c’est une fille les femmes disent « grâce à Dieu tu es saine et sauve ». Malgrès tout dans leur plus jeune âge garçons et filles sont traité de la même manière, à part le fait que les garçons sont allaités plus longtemps pour le développement d’un caractère fort.
- Il ya des raisons sociologiques de préférer les fils, le système tribal est organisé selon les principes de la filiation patrilinéaire et de la solidarité entre agnats ; il est fondé sur les relations entre hommes. En somme, une fille partira et ira vivre avec la famille de son mari, alors qu’un fils sera là pour s’occupé de la maman.
- Dans la pensée bédouine, le statut secondaire des femmes se fonde sur une espèce d’infériorité morale déterminée par les critères du code de l’honneur qui jugent les individus.
- LES FONDEMENTS « NATURELS » DE L’INFERIORITE MORALE FÉMININE : les femmes sont associées à la reproduction non pas tant au rôle social de la maternité mais à ses composantes naturelles : menstruations, procràation et sexualité ; aspect naturel mis en avant par l’habillement, en particulier la ceinture rouge. Le lien entre les femmes et la nature est considéré comme un handicap qui grève leur capacité à atteindre le même degrés de valeur morale que les hommes. Le manque d’indépendance des femmes vis-à-vis de la nature les éloigne d’une des vertus cardinales de l’honneur, la maîtrise de soi associée au ‘agl (intelligence sociale ou raison).
- Les hommes sont réputés être fort et courageux. Les femmes elles ont peur du noir et ne sont pas capables de supporter beaucoup. La parole des hommes est pleine alors que celle des femmes est vide ou trahit l’ignorance. Les hommes sont réputés plus honnêtes et plus francs (histoire d’Eve)
- Il y a un lien entre fertilité des terres et naissance d’une fille : notion d’abondance ; les années de garçons il n’y a pas de pleut, pas de lait. Les femmes sont étroitement liée à la vie, alors que les hommes sont lié à la mort : ce sont eux qui sacrifiés les animaux. Une femme n’a pas le droit de tué un animal, et s’il n’y a pas d’hommes, une femme ménopausée doit prendre la main d’un garçon circonscit pour tuer l’animal. L’animal doit être tué suivant les réglés musulmanes : face à la Mecque, rapidement et d’un seul coup en prononçant allahu akbar. La pureté de la masculinité est patente : on considère que même un garçon qui ne prie pas est plus pur qu’une femme ménopausée qui prie.
- Certaines valeurs positives sont associées aux femmes, particulièrement dans leur relation avec les autres femmes, spécialement avec leur mère. La clémence et l’attention d’une fille pour sa mère est dû à l’utérus qu’elle possède ; la valeur positive accordée aux femmes du fait de leur associaiton à la fertilié est contrecarée par la velue négative de ce qui accompagne la fertilité, la menstruation et la sexualité.
- La menstruation met en péril la vertu des femmes en entamant leur pitié. En tant que force naturelle sur laquelle elles n’ont aucun pouvoir. Elles ont donc une faire perte de maîtrise de soi. La menstruation des femmes commémore la chute dans le péché terrestre ou au moins dans ce qui écarte de la piété. La prière est un des piliers de l’islam, mais la femme est défavorisée car elles ne peuvent pas prier pendant leur règles. Les hommes eux n'ont aucune restriction « naturelle ». Quand les hommes prient à la Mecque ils sont habillés en blanc, alors que la femme sera en noir. Une femme prie moins qu’un homme à cause de ses règles, pendant ses grosses elle a moins de temps, après son accouchement elle doit attendre de ne plus saigner, après elle s’occupe des enfants, elle n’as pas le « temps ».
- Une jeune mère est considérée comme étant plus près de Dieu parce que ses prières sont plus facile leur exaucées, mais elle est en même temps assimilée à la femme réglée, et donc impure : elle est sexuellement tambou, elle ne peut prier tant qu’elle saigne
- Donc l’infériorité morale des femmes est aussi justiifée par la relation de l’individu à ses passions et à ses fonctions naturelles, plus précisément il s’agit de la valeur de l’autonomie et de la maîtrise de soi. La sexualtié et la reproduction, comme les menstruations ont une valeurs négatives en tant que phénomène naturels sur lesquelles les femmes n’ont aucun pouvoir.
- Les enfant affirment plus tard la position d’une femme, mais au début ils les rendent encore plus dépendante à leurs mari, accroissant ainsi son autorité sur elle : elle lui est liée par ses enfants qu’elle peut perdre si elle le quitte
- Seules les femmes ménauposée ou les femmes qui ont divorcé et refusent de se remarier sont considirée comme « masculine » et peuvent donc avoir une sexualité disscocié de reproduction, donc dissimulée et donc reprendre une certaine autorité
- Plus on est distant de la sexualité, plus grand est le ‘agl et les femmes lié donc étroitement à la sexualité ont moins de ‘agl (intelligence sociale)
- CEINTURES ROUGES ET VOILÉS NOIRS : LE SYMBOLISME DU GENRE ET DE LA SEXUALITÉ : pour les femmes, la connaissance et l’activité sexuelle vont de pair avec le mariage, et le passagé de l’état de vierge à celui de femme est radical. Il y aussi l’abondance qui est en lien avec la fertilité.
- La jeune mariée est habilée avec une toge blanche d’homme depuis le moment où elle part de celle jusqu’à la défloration. Ä ce moment-là elle mets les habille d’une femme marié : le foulard noir, qui peut servir de voile, et la ceinture rouge (les deux représente la féminité). En effet la ceinture rouge symbolise la fertilité et est assoicé à l création de la vie. Le rouge est éla couleur dès grand mariage, des circonscitons, des grandes cérémonies etc. La ceinture a un vrai lien avec la sexualité ; comme la femme ne l’enlève que quand elle va dormir avec son mari, sortir sans la ceinture serait compris comme une disponibilité sexuelle. (La ceinture les aide aussi à ne pas avoir trop mal au dos à cause des pieds qu'elles doivent porter. Attacher une ceinture d’une autre couleur serait mal interprété car le rouge est vraiment symbole de feritlité , et en attaché une noire par exemple est haram car elle manifeste un manque de « gratitude de la vie que Dieu donne ». Une femme en deuil va porter une ceinture blanche. Le noir est une couleur qui possède beaucoup de connotations négatives, souvent opposé au blanc qui est la couleur de la religion et de la pureté.
Le noir et son lien avec la honte est confirmé avec l’histoire de la maman inceste. La morale de cette hisoitre situé aussi l’origine du voile dans la sexualité.
- On ne peut pas porter la ceinture rouge si on ne porter pas le voile noir. Chez les musulmans en général, la tête est est couverte en signe de pudeur. Les hommes bédouins se couvrent aussi la tête et considère que ce qui ne le font pas sont des effronté et des gens manquant de religion.
- En lien le porte du voile avec la honte d’un inceste il va dans le sens d’une associaiton des femmes et une sexualité négative.
- Donc il y a un équilibre avec la fertilité et la ceinture rouge, la nature, et le port du voile noire de la sexualité, en opposition au habits blanc des hommes, couleur de la religion.
- Les femmes peuvent contre balancer leur infériorité morale. Premièrement une femme est honorable si elle est masculine (genre dans l’histoire, El symbolisme fait que ce soit son père qui l’ai mise au monde, en vrai ce serait une fille qui à de très bon rapport avec les hommes de sa famille). Deuxièmement ce serait une femme très pieuse, troisièmement elle est obéissante et respecteuse ( autant envers son mari que sa belle mère qui lui demande de s’arracher les yeux)
- Par un comprotement convenable, en particulier en faisait preuve de hasham. Une femme peut, au moins en partie, surmonter l’inféririté qui est la sienne du fait de ses fonctions « naturelle »
- SEXUALITÉ ET ORDRE SOCIAL : La pensée négative de la sexualité dans la pensée bédouine s’enracine dans l’ordre social => la sexualité unit des individus en dehors du cadre de consanguinité. Comme la sexlualuté d’une femme est négative, la foi musulman pousse les hommes à éviter les femmes de crainte qu’ils ne succombent à leur séduction au lieu de dirgier leur énergie vers Dieu et l’rodre sociale
- Dans le mariage, la satisfaction sexuelle est obligatoire et et leur fus ou l’incapacité sur une longue durée de remplir ses obligations, que ce soit le mari ou la femme, est une situation qui justifie le divorce.
- La reproduction, bien que nécessaire, ne rendre pas dans le cadre de l’idéologie musulman. Alors les mariages entre cousins patrilinéaires et idéal du point de vue culturel. Il y a même l’insititution du « droit à la fille de l’oncle », très utilisé par les Aslad ‘Ali ; la fille à l’obligation de se marier avec son cousins.
Chaque type de menace à l’encontre de la solidarité du groupe agnats que et de l’autorité de ses aînés entraîne des stratégies sociaée et idéologiques pour le contrecarrer. Le mariage entre cousins parallèles paternels est la stratégie logique pour désamorcer la menace que le lien sexuel fait courir à ce système social.
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