Fiche De Une Si Longue Lettre Par Mariama Ba

ye. Elle était une institutrice d'école du Sénégal aussi mais dans le present temps (dans le roman) elle est institutrice aux États-Unis. Elle est Sénégalaise. Elle est le mère de quatre fils. Elle était l’épouse de Mawdo Bâ. Après son divorce, elle a étudié dans une université.

Mawdo Bâ - Il était le mari de Aïssatou mais il a épousé une autre femme Nabou, car sa mère l'oblige à le faire. Sa femme ne lui pardonnaient pas et elle l’a divorcé. Il est d’une famille qui sont nobles donc, sa famille était malheureux quand il a épousé Aïssatou car est d'une famille ouvrière. Il est un médecin et le meilleur ami de Modou Fall.

Modou Fall - Il était le mari de Ramatoulaye pour 50 ans. Après 45 ans avec Ramatoulaye, il était aussi le mari de Binetou pour 5 ans. Il était un fonctionnaire important au gouvernement et un avocat des syndicats. Il était le ami de Mawdo Bâ. Il est mort d'une crise cardiaque.

Les Autres Personnnages :

Binetou- La deuxième épouse de Modou Fall et co-épouse de Ramatoulaye. Elle a quitté l’ecole pour Modou. (J'ai eu l'impression qu'elle ne voulait pas se marier avec lui. Elle l'a épousé pour l'argent et le statut parce que sa mère fait pression sur elle pour le faire. Peut-être “avide” est le mot incorrect, mais je pense qu'elle avait demandé des cadeaux de Modou???)

Nabou - La deuxième épouse de Mawdo Bâ. Elle vivait avec sa mère et est une jeune sage-femme. J'ai compris que Nabou était très gentil. Elle était la cousine de Mawdo et elle a été emmené de sa maison à un âge très jeune (par le mère de Mawdo car elle n'aimait pas le fait qu'il a épousé Binetou).

Les Enfants De Ramatoulaye : Aïssatou, Daba, Mawdo, Arame, Yacine, Dieynaba, Alioune, Malick, et Ousmane, les jumelles.

Farmata - le voisine de Ramatoulaye qui n’est pas toujours d'accord avec le rôle parental de Ramatoulaye.

Résumé de l’intrigue : Une femme du Sénégal, Ramatoulaye Fall écrit une lettre à une amie, Aïssatou Ba. Sa lettre est sous la forme d'un journal en temps, une histoire qui décrit beaucoup de moments dans sa vie. La première partie du roman décrit ce qui se passe dans sa vie dans le présent. Le mari de Ramatoulaye est décédé et car ils sont musulmans, il y a un style traditionnel être en deuil qui prend donc habituellement plusieurs mois. Ramatoulaye commence par décrire ces traditions et de ses sentiments à ce sujet. Nous apprenons que même si elle était encore marié à Modou, il l'avait quittée pour une autre femme il y a 5 ans. La deuxième épouse de Modou, Binetou est plus jeune et égoïste mais comme sa co-épouse Ramatoulaye doit partager dans les fonctions de ses funérailles avec elle. Binetou quitte après seulement quelques jours mais Rama doit rester dans la maison en raison des traditions. Nous apprenons aussi que Ramatoulaye a 12 enfants avec Madou, alors que Binetou a 3 enfants.

Aïssatou a réagi à son mariage très différemment. Son mari n'a pas l'abandonner mais il a été contraint de prendre une deuxième épouse. Musulmans pratiquent la polygamie et sa mère a préparé une deuxième épouse pour lui, Nabou, car elle n'aimait pas Aïssatou. Il est d'une famille noble et il est un médecin. Sa mère n'a pas approuvé d’Aïssatou car elle était d'un statut inférieur. Elle se sent trahie et elle lui divorce.

Dans ce roman, Une Si Longue Lettre, l'auteur Mariama Bâ décrit la condition des femmes dans la société au Sénégal à travers les différents personnages. le premier mot du roman de Mariama Bâ : "Aïssatou", alors instantanément la personne qui est lire est une spectateur qui regarde la vie des autres et à travers les yeux d'une seule personne, les yeux de Ramatoulaye.

Le roman nous emmène dans un voyage à travers les souvenirs de Ramatoulaye. Sa vie amoureuse avec Madou, le commencement et la fin, quand il l'a quittée pour une autre femme. Ses souvenirs avec son amie Aïssatou. Nous apprenons au sujet de leur génération et comment elle est différente de la génération traditionnelle devant eux. Les difficultés que la femme ont la classe sociale et les familles de leurs maris. Il est vrai que Aissatou est plus libérée comme une femme indépendante que Ramatoulaye. Lorsque le mari de Aïssatou prend une seconde épouse, elle le quitte. Elle se déplace dans les États-Unis et prend une emploi réussie. Ramatoulaye est perdu dans son coeur brisé et elle est incapable de bouger avant dans la vie après Madou l’a quitté.

À la fin du roman, elle décrit ses enfants. Certains d'entre eux sont des adultes maintenant et c’est difficile pour Ramatoulaye. Cependant, elle les soutient à vivre leur vie avec la libération.

Trois extraits/les 3 centres d'intérêt du roman 3 citations exactes recopiées du roman (la base de vos axes de lecture) :

1) « Et dire que j’ai aimé cet homme, dire que je lui ai consacré trente ans de ma vie, dire que j’ai porté douze fois son enfant. L’adjonction d’une rivale à ma vie ne lui a pas suffi. En aimant une autre, il a brûlé son passé moralement et matériellement, il a osé pareil reniement... Et pourtant. » (p32)

2) « Fallait-il nous réjouir de la désertion des forges, ateliers, cordonneries? Fallait-il nous en réjouir sans ombrage? Ne commençions-nous pas à assister à la disparition d'une élite de travailleurs manuels traditionnels?

Eternelles interrogations de nos éternels débats. Nous étions tous d'accord q'il fallait bien des craquements pour asseoir la modernité dans les traditions. Ecartelés entre le passé et le présent, nous déplorions les «suintements» qui ne manqueraient pas... Nous dénombrions les pertes possibles. Mais nous sentions que plus rien ne serait comme avant. Nous étions pleins de nostalgie, mas résolument progressistes.» (p42-43)

3) « Et puis, on est mère pour comprendre l’inexplicable. On est mère pour illuminer les ténèbres. On est mère pour couver, quand les éclairs zèbrent la nuit, quand le tonnerre viole la terre, quand la boue enlise. On est mère pour aimer, sans commencement