Histoire De La Grèce

r ce fait il associe toujours des adjectifs qui concernent les hommes importants au simple fait d’être un membre des hoplites. A cette époque beaucoup d’homme ont su marquer leurs époques, Tyrtée parle des hommes les plus importants. Il écrit en utilisant des phrases très longues. il émet les critères de la plus importante à la moins importante, Pour commencer il parle « de la taille et de la force des cyclopes » (l.2) qui est un géant doté d’une grande force, d’une force surhumaine, un personnage issu de la mythologie, Il évoque un critère important car la force est un élément important pour un guerrier. Ensuite il aborde le sujet de la rapidité qui était un élément important également « vaincre à la course borée de Thrace » (l.3) Borée joua un rôle dans la défense de la ville au temps des guerres médiques, en détruisant les vaisseaux perses grâce à une tempête. C’était donc le plus rapide très important à Athènes. Les trois autres comparaisons qui suivent sont la prestance, la richesse et la puissance « prestance avait plus de grâce que celle de Tython… plus riches que Midas et Kinryas ; … plus puissant que Pélops…» (l. 4-6) Tython était le neveu de Priam roi de Troie, il était d’une grande beauté d’où la notion de « grâce » et de « prestance », quant à Pélops c’était un roi puissant depuis la Péloponnèse tient son nom. L’auteur enchaîne les comparaisons avec un rythme très rapide marqué par l’absence de point dans la ponctuation il utilise seulement des virgules ou point virgules pour séparer chaque comparaison, chaque caractère important. ce qui crée une émotion chez le lecteur.

Dans la conclusion parlé du fait que ces caractéristik énuméré son présent chez les nobles les héros connu tel que hector achille….

B- Les caractéristique du héros selon Tyrtée

Pour le poète ces critères sont peu importants devant le courage des guerriers grecques « même enfin s’il avait toutes les gloires sauf celles de la valeur dans l’élan de la bataille » (l. 6-7), en effet les batailles étaient très important les grecs faisaient la guerre pendant une grande partie de l’année. Etant donné que ce sont les citoyens qui défendent l’armée un guerrier efficace est un « bien commun pour la cité et le peuple entier » (l.10).

A cette période les guerriers se battaient de façon organisé, ce sont des combats collectives qui oppose un groupe d’homme contre un autre, ce qui est le plus difficile c’est de combattre a plusieurs mais en formant un même corps. Lorsque l’auteur dit que « il a vite fait de mettre en fuite les rudes phalanges des guerriers ennemies » (l.13-14), il s’agit d’un groupe d’homme faisant fuir un autre groupe. Le guerrier était également armée protéger l’auteur prend soin de mentionné quelque un des éléments composant sont armement tel que « la cuirasse sur sa poitrine et son bouclier bomber » (l.17-18), le bouclier servait à défendre à la fois son détenteur ainsi que son compagnon de combat, la cuirasse elle servait à couvrir la poitrine du guerrier pour diminuer le risque d’être transpercé par une épée ou une lance

L’armement des membres de la phalange a été améliorer et uniformiser ainsi que ses technique de combat afin de permettre de s’approcher plus près de l’ennemie trop prendre de risque « chercher à atteindre l’ennemie en le serrant de près »(l.8).

II- Le prix d’être guerrier

A- Le cas de ceux qui périssent pendant la guerre

Les funérailles ne sont réellement des évènements qui concerne la cité mais dans ce cas présents l’auteur garantit un autre issu pour un guerrier qui tombe au combat. De plus le rôle de « pleureuse » était attribué aux femmes soient de la famille ou même des femmes professionnel qui manifestait des gestes de deuil mais dans le cas d’un guerrier « celui-là tous le pleurent, vieux et jeunes et toute la ville est affligé d’un deuil cruel » (l.18-19). Ce n’est pas seulement ce qui reste à gagner pour un défunt guerrier « son tombeau comme ses enfants restent connus au loin » (l. 19), étant dans une société où la notion de transmission reste importante, en plus étant une société patrilinéaire ce qui a gagné est important. De plus c’est également une société où l’usage de l’oral est très fort donc le récit du vaillant guerrier pourra être conté partout « jamais plus ne périt sa réputation glorieuse ni son nom » (l.20-21), cela garantit la reconnaissance à plusieurs génération « ses enfants… les enfants de ses enfants et toute sa race, dans la suite » (L.20).

B- Ceux qui survivent

Dans le cas de ceux qui échappent à la mort au combat au peu prendre l’exemple du prince Hector qui même de son vivant était aimé et était très considéré même plus considéré pour ses valeurs guerrières que pour son titre de prince « il acquiert la gloire éclatante de la valeur guerrière » (l.24). Il est honoré comme celui qui meurt au combat « tous l’honorent, jeunes et vieux » (l.25). un homme qui revient de la guerre lorsqu’il est noble surtout va occuper une place importante dans la cité, va pouvoir participer au conceil donné son avis, il participera entièrement à la vie de la cité d’où les propos de Tyrtée « et c’est après avoir éprouvé des joies nombreuse qu’il s’en va chez Hadès » (l. 25-26), c’est-à-dire qu’il meurent car Hadès est le dieu du royaume des morts.

Les plus anciens étaient très importante déjà mais un ancien guerrier à un statut plus important encore « dans les réunions aussi bien les jeunes que ceux e son âge ou les plus anciens lui cèdent la place » (l. 28), donc son importance est bien au-dessus de l’ancien banale. De plus les grecques ne croient pas en une vie heureuse après la mort sauf pour ceux qui ont accompli de grande choses durant leurs vivant, le guerrier fait donc partie de ce là même après la mort sa vie sera donc merveilleuse.

Conclusion :

Dans ce poème, Tyrtée tente de provoquer un sentiment chez le lecteur ou plus probablement l’auditeur à cette époque. Le sentiment d’être semblable à ce guerrier, d’être glorifié aussi bien de son vivant et également après la mort. Il