Histoire contemporaine : Le général Béthouart mène l’opération à Narvik qui est un échec

Le général Béthouart mène l’opération à Narvik qui est un échec

Daladier est mal politiquement, on lui repproche sa stratégie attentitste

Il démissione pour laisser place à Reynaud qui augmente les impôts pour finanacer les efforts de guerre, il se rend impopulaire. Les civils qui supportent mal le couvre feu, les exercices d’alertes, l’interdiction des bals et surtout le rationnement qui sera généralisé en mars 1940

Au front les autorités militaires veulent à tout prix éviter le désoeuvrement des soldats, on les occupe par des loisirs et rencontres sportives, on monte des pièces de théatre.

Maurice Chevalier entreprend une tournée sur le front.

—> l’opinion à qui on interdit beaucoup est mécontente de voir l’inactivité des soldats, elle ne comprend pas non plus que l’on ai rien fait pour aaider militairement la Pologne alors qe c’st l’invasion de celle ci qui d »clenche l’entrée en guerre.

Le gouvernement est conscient de cette situation, et doit faire de la propagande pour améliorer l’opinion, comme les boches.

En juillet 1939, création du commissariat général à l’information, supprimé sous VGE. À l’information on à Jean Giraudoux, à qui on fait appel car avant d’être écrivain il est diplomate, chef du service du quai d’Orsay. La propagande française est plutôt maladroite:

-Giraudoux n’est pas Goebbels, qui est très éloquent. (À écouter à la radio pour voir)

-On ne rétablit pas la censure civile, contrairement à 14-18. Les émissions d’informations culturelles continuent, et une bonne partie des journalistes sont pacifistes.

-Il faut contrer la propagande Boche, alors ils installent des éméteurs radio à la frontière à destination des français (Les postes noirs)

EXEMPLE: L’affaire Ferdonnet, journaliste qui travaille sur ces postes noirs. Il est un très bon animateur de radio, très drôle et pro-nazi. Les français préfèrent écouter radio Stuttgart ( radio de Ferdonnet).

Daladier et Gireaudoux décident de dénoncer Ferdonnet dans les journaux, mais ils font en fait de la pub à Ferdonnet, encore plus écouter. Une psychose s’empare de l’opinion française qui croit à la réalité d’une Ve Colonne (Traître d’un pays). —> La propagande française est désastreuse.

C) La défaite et la fin de la IIIe République

1) La défaite française

La campagne de France qui va du 10 mai 1940 ( attaque sur la Belgique) au 22 juin 1940.

En 6 semaines, celle qui passait pour la première armée du monde est défaite par les Schleus.

L’Allemagne attaque la Belgique, les Pays-Bas et la Belgique. Les meilleures forces de l’armée française pénètrent la Belgique. Le général Guderrian et ses divisions de chars pénètre dans les Ardennes, non défendues par la ligne Maginot ( L’État Major français les juges infranchissables).

Grâce à la percée de Guderrian, il atteint la Somme le 13 mai et Dunkerque, encerclant l’armée française (Le grand coup de faucille). L’armée Franco-brittanique rembarque en Angleterre ( 200 000 anglois et 130 000 français). On note la lacheté des anglais. Une grande partie des français qui rembarquent sont renvoyés en France suite à l’Armistice. Le Haut-Commandement français de Gamelin est dépassé.

On a deux contre-offensive conduite par le Colonel De Gaulle, à la tête de la 4e Division de cuirrassés—> deux victoires: Batailles de Montcornet et d’Abbeville. Il ne peut profiter de ces succès faute de carburant et de munitions. Cette faiblesse, on la doit essentiellement à la faible monilité de l’armée française, statique à la ligne Maginot, ils ne prévoient même pas de réserve à l’arrière pour contrer une éventuelle percée Boche.

À Paris, Reynaud régit énergiquement et remplace à l’État-Major Gamelin par le Général Weygand, ancien Brad-droit du maréchal Foch, il est germanophobe au possible. Il sera un des personnages qui compteront le plus au sein du régime de Vichy, sans être pour la collaboration.

On peut aussi être pro-Vichy-résistant, et il y en a beaucoup. Il faut faire une distinction entre Révolution Nationale (Vichy) et Collaboration.

Weygand tente de rétablir une ligne de défense sur la Somme, mais les meilleures troupes ont été prises à Dunkerque et l’avancée Boche s’accompagne d’une fuite massive des civils, qui encombrent les routes (l’Éxode) et gêne les mouvements des troupes françaises et empêche une contre atttaque. Mi-Juin toute léconomie française est déstabilisée.

Le 10 juin le gouvernement se réfugie à Bordeaux et Paris est déclarée « ville ouverte ». Le 14 les Schleus occupent Paris. Mussolini déclare la guerre à la France, il se prend une branlée à la frontière par les Français, mais attend la défaite de la France pour lui déclarer la guerre.

Une semaine plus tard la Werchmacht atteint Lyon, Bordeaux, l’armée française est défaite, les Ritals occupent Mantont et Nice. Commetn expliquer que le pays s’effondre en 6 semaines?

La famille de Monsieur Fragu témoigne de l’occupation difficile des italiens à Nice, qui se comportent mal.

FIN DE LA PREMIÈRE HEURE

Le livre de Karl-Heinz Frieser intitulé « Le mythe de la guerre-éclair: la campagne de l’ouest de 1940 ». Pour lui la Blitzgriehg n’a jamais existée en tant que stratégie. Il a travaillé sur les archives allemande pour étudier les plans. Les archives françaises ont été ouvertes en 2020. Frieser ne rencontre pas une fois le terme de « Blitzgrieg » dans les archives.

Car si les Boches avaient prévus de faire la guerre éclair, pourquoi entre 38 et 40 auraient ils entrepris la construction de la ligne Sigfried? L’état d’esprit qui domine l’armée allemande est le conservatisme, une stratégie comparable à la stratégie française.

En fait,