Il n’est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage

est envoyer en prison durant un mois. En commettant cet acte Don José savait très bien qu’il y aurait des répercutions, mais il l’a quand même fait. Ce premier acte contre le règlement, montre qu’il commence à se défère de la loi et il s’engage sur le chemin qui mène à la liberté, une liberté qu’il envie un peu à Carmen. Ainsi, cet acte montre très bien qu’on a besoin de courage pour défier la loi.

Deuxièmement, la liberté peut nous conduire à la mort.

En effet, lorsqu’on est libre, on fera tout pour rester libre, y compris mourir.

Par exemple, si une personne se bat durant toute sa vie pour être libre, elle ne laissera rien ni personne lui enlever sa liberté et il est même possible d’aller jusqu’à mourir pour rester libre. C’est le cas dans la nouvelle de Mérimée à la page 110, « Comme mon rom, tu as le droit de tuer ta romi ; mais Carmen sera toujours libre. Calli elle est née, calli elle mourra. » Dans ce passage, Carmen refuse de retourner avec Don José, car elle n’a plus de sentiment pour lui. De plus, Carmen à toujours été libre et elle ne veut pas se résigner à vivre avec un homme et surtout un homme qu’elle n’aime plus. Car du moment où elle serait avec un homme, elle perdrait sa liberté, chose à la quelle elle tient plus que tout. C’est pour cela qu’elle se laisse tuer par Don José, car pour Carmen même si elle doit mourir, elle mourra en femme libre, car elle sera délivrée de Don José. Ainsi, il faut avoir un certain courage pour aller jusqu’à la mort.

La liberté procure de la joie

Premièrement, on se sent supérieur aux autres.

En effet, lorsqu’on est libre, et que l’on voit d’autres personnes qui ne sont pas libres qui suivent les lois comme des moutons, on a tendance à se sentir supérieur.

Par exemple, si je suis une personne libre et je rencontre une autre personne qui elle, est contrainte de suivre le règlement. En tant que personne libre, je ne suis dégagée de toute loi, je peux donc faire ce que je désir et je n’obéie à personne. C’est pour cela que je peux me considérer comme supérieur, parce que je ne fais pas bêtement ce que l’on me dit de faire. On constate aussi ce fait à la page 84 de Carmen « Il faut que j’aille au quartier pour l’appel, lui dis-je. […] chien et loup ne font pas bon ménage. » Lorsque Don José et Carmen passent la nuit ensemble, celui-ci dit à Carmen qu’il doit rentrer pour l’appel au quartier. La femme est déçue et se moque un peu de lui, car il doit obéir aux ordres. Ce qui pour finir il ne fait pas. Au matin elle confirme sa supériorité vis-à-vis de Don José par la manière ironique qu’elle a de parler. Carmen joue de sa supériorité, c’est pour elle une sorte de satisfaction de pouvoir en quelque sorte comparer Don José à un chien et de se considérer elle-même comme un loup. Le chien est en captivité, tant dis que le loup est en liberté dans la nature. Ainsi nous pouvons donc voir que Carmen prend un certain plaisir à se moquer de Don José.

Deuxièmement, on fait ce que l’on veut.

En effet, le fait de pouvoir faire ce que l’on veut, nous procure un plaisir d’enfant.

Par exemple, un adulte peut s’amuser en faisant un peu n’importe quoi, il peut être comparé à un enfant. Et lorsqu’un enfant s’amuse, il éprouve une joie et un plaisir immense. A l’intérieur du bouquin, il y a un une scène un peu semblable à la page 84 « Nous passâmes ensemble toute la journée, mangeant, buvant, et le reste. […] On ne s’ennuyait pas auprès de cette fille là, je vous en réponds. » Dans se passage, Carmen agit comme une enfant, elle mange des bonbons, casse des assiettes pour faire des castagnettes danse. Carmen est joyeuse dans se moment là, car elle s’amuse comme une folle si elle ose faire tout cela c’est qu’elle est libre, qu’elle n’a aucune limite et qu’elle n’a donc aucune gène pour se montrer cette facette là d’elle-même. Ainsi quand nous faisons ce que l’on veut, nous éprouvons du plaisir et de la