Le Horla

ive) et « palper » utilisé par un docteur qui recherche une anomalie (négatif). Un contact presque inévitable « voyons », par rapport à « regarder » qui est déjà plus poussé vers le détail. Deux verbes sur le contact « frôlons » (incertitude) et « connaitre » (certitude). (Ou encore « gouter » et « déguster » ou il y a recherche de finesse).

Explications qu'en temps qu'être humain on ne pas toujours gare au détail!

(cf. lignes 4 à 25)

Le narrateur met en évidence nos 5 sens plus que trop misérables : ils ne suffisent pas.

On ne peut point distinguer l'âge d'un vin (ligne 38), ou observer les habitants d'une étoile (ligne 29). Il fait la distinction, la description de l'invisible.

Nos sens misérables donne pas toujours accès au perceptible il y a aussi l'imperceptible donc il nous faudrait d'autres organes pour d'autres miracle (~ligne 40), c'est l'espérance du narrateur.

Le narrateur rend le monde nul, il donne l'impression que tout doit être remis en question!

Il fait paraitre que l'on pourrais avoir plus, c'est comme si se qu'il avait déjà ne comptait plus

« d'autres organes [...] d'autres miracles » (ligne 40).

Conclusion

Par la peur de se que le personnage voit, Maupassant donne une ambiance craintive du monde.

Le Horla est un mystère pour le lecteur, il n'en sait pas grand chose. Le lecteur a le chois de donner n'importe quel image au méchant, ce qui montre que tout est vaste même l'Invisible.

Nous devenons critique à son sujet et a propos de se qu'il dit, est-ce fou ce qu'il raconte ou est-ce lui qui plonge dans la folie?▫

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