Le déroulement d'un vote
Cours : Le déroulement d'un vote. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar cheikhy • 29 Novembre 2018 • Cours • 5 212 Mots (21 Pages) • 555 Vues
université de Lille Année universitaire: Sciences et technologies 2018/2019
SOMMAIRE:
CHAPITRE 1:
partie 01 : INTRODUCTION . Page 3
partie 02 : DIFFÉRENTS MODES DE SCRUTIN : Page 4
2-1 Scrutin majoritaire . Page 4
2-1-1 Scrutin uninominal a un tour .
2-1-2 Scrutin uninominal a deux tours . Page 4
2-1-3 Les scrutins de listes de un ou a deux tours . Page 5
partie 03 : Scrutin proportionnel . Page 5
partie 04 : Scrutin mixte . Page 6 partie 05 : Avantages et inconvénients. Page 6
CHAPITRE 2: EXPÉRIMENTATION SUR PLUSIEURS
DE SCRUTIN ET LEURS EFFETS……….…………………… Page 7
Partie 01 : Synthèse de l’article « Expérimentation du vote par note
et du vote par approbation le 22 avril 2007 »………………………. . Page 7
Partie 02 : Synthèse de l’article « Quel mode de scrutin pour
quel « vainqueur » ? Une expérience
sur le vote préférentiel transférable »………………………………. . Page 12
Conclusion ………………………………………………………...Page 17
Bibliographie………………………………………………………Page 18
Introduction:
Le vote (terme dérivé de l'anglais vote, provenant du latin votum signifiant « vœu »). Ceci peut être définie comme étant une manifestation d'une opinion, d'une volonté ou d'un choix lors d'une consultation au sein d'un corps politique, d'un collège électoral, d'une assemblée délibérante, etc., en vue d'une élection, d'un référendum ou d'une prise décision. Aussi cela peut être définie, comme un acte par lequel un citoyen participe, en se prononçant dans un sens déterminé, au choix de ses représentants ou à la prise d'une décision.
Le Vote, est une procédure qui a pu créer une amélioration au sein des nations et d’autant au sein des sociétés. Il a permis de réduire les tensions et éliminer des conflits, qui puisse exister entre des cotés qui portent des visions, des idéologies et pensées qui ne portent pas sympathie ni de ressemblance entre elles.
Et grâce ce vote, les nations deviennent de plus en plus stables et les peuples vivent dans le bien-être et en harmonie. Cette alternative, est une lueur à travers laquelle on reconnaîtra le niveau de démocratie, de justice, d’ouverture, du respect envers l’autre, qui s’étale dans des pays et aussi le niveau de civilisation ou d’instruction dans les sociétés.
Ce moyen a permis de vivre en paix et que cette dernière ne s’estime pas à un prix et de ne plus faire recours a d’autre moyen indésirable pour résoudre des problèmes et conflits qui peuvent apparaître du a la divergence d’esprit.
De nos jours, on aperçoit que le vote existe sous plusieurs formes, cela nous laisse un peu perplexe et se demander pourquoi cela existe-il réellement sous autant de variétés ?.
A travers cette exposé, nous allons vous en parler de ces différents modes de scrutin, et évoquer les circonstances auxquelles on doit faire recours à chaque mode suffrage.
L’exposé est organise comme suit. En deuxième partie, nous allons parler de deux expérimentations faites pas des chercheurs l’une sur le vote par note et le vote par approbation et l’autre sur le vote préférentiel transférable.
les différents mode de scrutin:
1)-Les scrutins majoritaires :
Ils constituent le mode le plus ancien de désignation des élus. Il s’agit d’attribuer un (scrutin uninominal) ou plusieurs sièges (scrutin plurinominal) à celui ou ceux qui ont obtenu le plus de voix.
-le scrutin uninominal à un tour:
Celui qui obtient le plus de voix emporte le siège. Cela a l’avantage de la simplicité. Au plan global, il en résulte souvent pour le parti arrivé en deuxième position une sous-représentation par rapport à son total de voix. Quant aux autres partis, ils n’obtiennent presque aucun élu. Par ailleurs, l’ancrage géographique des partis influence beaucoup le résultat final dans la mesure où un petit parti très bien implanté localement peut être représenté, mais aussi parce que le parti ayant obtenu le plus de voix au plan national peut se voir privé de sa victoire, car ses suffrages sont trop dispersés.
-Le scrutin uninominal a deux tours:
la réussite au premier tour est conditionnée par l’obtention d’une majorité absolue des voix, avec parfois l’obligation de réunir un nombre minimal d’électeurs inscrits. Faute d’avoir atteint ce seuil, un second tour est organisé. Son accès est réglementé et il met aux prises.
- les deux candidats les mieux placés au premier tour .
- les candidats ayant recueilli un nombre minimum de voix ou un certain pourcentage des inscrits.
Par rapport au scrutin à un tour, la possibilité de conclure des alliances pour le second tour lisse les distorsions: les petits partis peuvent s’entendre avec d’autres pour obtenir des élus là où ils sont forts, en échange d’un report de voix ailleurs. En revanche, ceux qui ne souscrivent pas d’alliance sont souvent privés de toute représentation.
-Les scrutins de liste, à un ou deux tours:
attribuent à la liste arrivée en tête tous les sièges (ex: désignation des grands électeurs pour la présidentielle américaine). L’amplification de la victoire est alors très forte, même si des injustices peuvent exister (majorité des sièges mais minorité des voix). Si le panachage des listes est autorisé, sont élus ceux qui obtiennent le plus de voix (cas des municipales françaises dans les communes de moins de 1000 habitants).
2)-Les scrutins proportionnels:
les sièges sont attribués selon le nombre de voix. Il s’est développé avec le rôle des partis politiques: il s’agit moins de voter pour un homme que pour un parti ou un programme.
Plusieurs méthodes existent pour répartir les voix. La méthode du quotient fixe le nombre de voix à obtenir pour avoir un siège (quotient électoral). Le nombre de sièges attribués à chaque liste est ensuite défini en divisant le total des voix obtenu par chaque liste par le quotient électoral. La première répartition effectuée, les restes sont répartis, soit selon la méthode du plus fort reste qui favorise les petits partis (une fois déduites les voix ayant permis la première attribution, les listes ayant le plus de restes l’emportent), soit selon celle de la plus forte moyenne qui favorise les grands (rapport entre les voix restantes et le nombre de sièges déjà obtenus auxquels on ajoute un siège fictif). Cette dernière méthode est utilisée pour les sénatoriales françaises, dans les départements élisant au moins trois sénateurs.
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