Les solutions et perspectives : dépassement ou sobriété ?

1. III. Les solutions et perspectives : dépassement ou sobriété ?

1. Une course à l’exploitation des nouvelles ressources

Dans le grand 2 on a montré qu’il y avait une limite au ressource terrestre. Cette limite peut entrainer des tensions géopolitiques ces pourquoi depuis une vingtaine d’année on cherche à diversifier les ressources

Les fonds marins deviennent une nouvelle cible pour l’extraction des métaux

stratégiques. On en à explorer que 5 % des fond marin

Les abysses renferment d’importantes ressources minérales, dont le fer, le cobalt, le nickel, le cuivre, le manganèse, l’or et l’argent. Ces métaux se trouvent sous différentes formes : nodules polymétalliques (épaississement de matières minéral dans les fonds marins), encroûtements et sulfures hydrothermaux minerais tres riche, chacun ayant une composition et un environnement géologique spécifiques.

“Les nodules polymétalliques se forment autour d’un noyau microscopique (dent de requin, débris rocheux) et sont particulièrement abondants dans la zone de Clipperton, dans le Pacifique Nord-Est. Cette région renferme des quantités de thallium, cobalt, manganèse et nickel largement supérieures aux réserves terrestres. Cependant, leur extraction pose un défi logistique, car ces ressources se situent à des centaines, voire des milliers de kilomètres des infrastructures de traitement.

Les encroûtements métalliques, eux, résultent du dépôt lent de cobalt et de platine sur des fonds volcaniques ou calcaires”. Leur croissance est extrêmement lente, de l’ordre de 1 à 6 millimètres par million d’années. La Polynésie possède un gisement de cobalt évalué à 50 millions de tonnes entre 1 500 et 2 000 mètres de profondeur, soit près de 600 ans de consommation mondiale au rythme actuel.

Face à ces ressources colossales, les fonds marins deviennent une cible stratégique pour l’extraction des métaux, malgré les défis techniques et environnementaux qu’elle implique.

Une autre solution pour des ressource énergétique

On mentionne La fusion nucléaire à la page 38 de l’article

Ça pourrait être une alternative énergétique, mais elle dépend aussi de matières rares.

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Et enfin l’espace devient une nouvelle frontière pour l’exploitation des ressources, notamment lunaires, malgré l’absence d’un cadre juridique clair. Les astéroïdes métalliques, riches en fer et en nickel, offrent un potentiel considérable pour donné un ordre d’idée : un astéroïde de 1 km de diamètre pourrait contenir plus de 2 milliards de tonnes de ces minerais, soit plusieurs fois la production mondiale annuelle. Psyché (16) un des 10 astéroïdes les plus massif du système solaire, par exemple, renfermerait l’équivalent de millions d’années d’exploitation terrestre.

Trois stratégies sont envisagées : raffiner ailleurs, traiter sur place pour réduire les

coûts, ou placer l’astéroïde en orbite. Le traitement sur site nécessiterait des

machines lourdes mais économiserait de l’énergie. L’extraction minière spatiale pose plusieurs défis techniques. Les équipements devront être solidement ancrés, par harpon ou treuil. Différentes méthodes sont possibles selon la nature du sol. On envisage l’exploitation à ciel ouvert, l’aimantation, la vaporisation ou le forage souterrain

Cependant l’un des problèmes c’est L’éloignement des astéroïdes qui complique leur exploitation, le décalage des communications pouvant atteindre plusieurs

minutes. L’automatisation des équipements sera essentielle, bien qu’une présence

humaine pourrait être nécessaire pour la maintenance et les réparations. L’exploitation des ressources spatiales soulève donc des défis technologiques et logistiques majeurs, mais elle pourrait révolutionner l’approvisionnement en métaux stratégiques.

1. Le risque d’un échange inégal et une transition injuste

Dans l’article on parle de La théorie de l’échange écologique inégal explique comment l’économie mondiale est organisée entre deux groupes de pays. D’un côté, il y a le « centre », qui regroupe les économies riches et développées du Nord. De l’autre, il y a la « périphérie », qui comprend les pays émergents ou en développement du Sud.

Les pays du centre se développent en exploitant doublement la périphérie : d’abord sur le plan économique, mais aussi sur le plan écologique, ce qui est l’apport principal de cette théorie.

Puisque la croissance économique repose sur l’énergie et les ressources naturelles, les pays du centre cherchent toujours plus de matières premières, même au-delà de leurs frontières. Ils exploitent non seulement la main-d’œuvre des pays du Sud, mais aussi leur environnement. Ils extraient en masse des ressources – comme des minerais, du pétrole ou des produits agricoles – qu’ils importent ensuite, parfois transformées, parfois non.