Louise Michel
Recherche de Documents : Louise Michel. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresnt à certains communards qui s’associent à leur répression, elle prend leur défense lors de leur révolte.
En 1879, elle obtient l’autorisation de s’installer à Nouméa, et de reprendre son métier d’enseignante.
De retour à Paris le 9 novembre 1880, après avoir débarqué dans le port de Dieppe, elle est chaleureusement accueillie par la foule.
Le 18 mars 1822, lors d’un meeting salle Favre à Paris, que Louise Michel, désirant se dissocier des socialistes autoritaires et parlementaires, se prononce sans ambigüité pour l’adoption du drapeau noir par les anarchistes.
Le 9 mars 1883, elle mène aux Invalides, avec Emile Pouget, une manifestation au nom des « sans travail ».
Louise qui se rend aux autorités quelques semaines plus tard, est condamné en Juin à six ans de prison assortis de dix années de surveillance de haute-police, pour « excitation au pillage ».
Pourtant dès août, elle est de nouveau emprisonnée pour quatre mois à cause d’un discours prononcé en faveur des mineurs de Decazeville.
Refusant de faire appel, elle est finalement relâchée en novembre suite à une remise de peine.
En janvier 1887, elle se prononce contre la peine de mort, en réaction à la peine capitale à laquelle vient d’être condamné son ami Duval.
Le 22 janvier 1888, après avoir prononcé dans l’après-midi un discours au théâtre de la Gaîté du Havre, elle est attaqué dans la Soirée à la salle de l’Elysée par le « choan » Pierre Lucas qui lui tire deux coups de pistolet ; blessé à la tête, elle refuse de porter plainte contre son agresseur.
En avril 1890, Louise Michel est arrêtée à la suite d’un discours qu’elle a prononcé à St-Etienne et de sa participation à un meeting qui entraîna de violentes manifestations à Vienne.
Elle est libérée et quitte Vienne pour Paris le 4 juin.
En juillet, elle se réfugie à Londres où elle gère une école libertaire pendant quelques années.
A son retour le 13 novembre 1895, elle est accueillie par une manifestation de sympathie à la gare St-Lazare.
En 1895, elle fonde le journal « Le Libertaire » en compagnie de Sébastien Faure.
Le 27 juillet 1896, elle assiste à Londres au congrès international socialiste des travailleurs et des chambres syndicales ouvrières.
Quelques mois avant sa mort, d’octobre à décembre 1904, Louise Michel se rend en Algérie avec Ernest Girault pour une tournée de conférences.
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