Analyse sonnets de louise labé

t mort, Eros et Thanatos tissent des relations aussi étroite que paradoxal. C'est que la duré, dimentionessentiel de la passion est toujours menacé par la fragilité de la vie humaine, exprimé dans la périphrase (plusieurs mot pour un seul) du vers 12 "ce mortel séjour". cette menace est encore inscrite dans l'opposition du subordonnant duractif "tant que" vers 1,5 et 7 avec le subordonnant ponctuel "quand" vers 10 qui introduit la rupture dans son unique et brutal emploie. De la même façon, à l'expension dynamique de la première phrase succède l'amenuisement de la seconde.

Cette seconde phrase et d'ailleur ponctué d'aveux d'impuissance (vers 10 "tarir" vers 11 "cassé" et "impuissante" vers 13 "Ne pouvant plus"). Avant que le dernier vers ne rassemble menace et merveille de l'amour dans un remarquable oxymore : "Noircir mon plus claire jour".