Molière

en laquelle Dieu m’a fait grâce d’être instruit dès mon enfance, et me gouvernant, en toute autre chose, suivant les opinions les plus modérées, et les plus éloignées de l’excès, qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j’aurais à vivre.» La première consiste à respecter les lois, les coutumes et la religion de son pays, et ce, en suivant les opinions les plus modérées.

3.1) La troisième maxime est celle-ci : «Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l’ordre du monde ; et généralement, de m’accoutumer à croire qu’il n’y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir, que nos pensées, en sorte qu’après que nous avons fait notre mieux, touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est, au regard de nous, absolument impossible». Ça consiste à dire qu’il faut plutôt essayer de changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde. En fait, si on change ses désirs on risque d’être plus content. C’est alors qu’il faut porter ses efforts sur soi-même plutôt que d’essayer de changer ou de se battre contre « la fortune ». En fait, la fortune c’est ce qui représente le hasard de la vie. En fait, soit que tu risques d’être malheureux ou soit que tu risques d’être heureux, en d’autres termes c’est ce qui ne dépend pas de nous. En outre, ça montre comment se comporter envers le monde et la fortune afin d’éviter la tristesse de l’échec qui vient toujours nous tourmenter lorsque nous essayons de maîtriser des choses extérieures qui ne dépendent pas de nous.

3. 4.0) Descartes y constate d’abord que toutes les sciences de son époque étaient peu sûres d’elles-mêmes et que leurs vérités étaient bien fragiles. De plus, il suppose que la réalité pourrait fort bien n’être qu’un rêve.

4.1) La première vérité indubitable est celle-ci : «Je pense, donc je suis.»

4. 5.0) On arrive à distinguer l’homme de l’animal par le fait que l’homme est doué d’un jugement. Il arrive à comprendre toutes les choses qui sont la conséquence de certaines autres. De plus, il est capable de distinguer le vrai d’avec le faux. D’abord, même si l’animal et l’homme arrivaient à avoir une ressemblance spectaculaire au niveau physique, on arriverait à distinguer la bête de l’homme étant donné que l’animal communique sa colère, sa faim, ses craintes, et d’autres états semblables par impulsion naturelles, par la voix ou par d’autres mouvements du corps. Par contre, l’animal n’est jamais arrivé à user d’un véritable langage c’est-à-dire d’exprimer soit par la voix, soit par les gestes quelque chose qui puisse se rapporter à la seule pensée et non à l’impulsion naturelle. Ceci n’est pas à cause du manque d’organes étant donné que les pies et les perroquets peuvent proférer des paroles. Pour ce qui est de l’humain, même s’il lui manque des organes, il va arriver à communiquer à l’aide de ses mains afin d’arriver à se faire comprendre. En outre, il va être en mesure de vivre dans la société. En fait, l’homme a des raisons de le faire. Par contre, pour ce qui est de la bête, elle va communiquer à l’aide de différents signes afin de communiquer mais elle ignore la raison pour laquelle elle doit le faire. Elle le fait, c’est tout !

5.1) Descartes est persuadé que notre âme n’est pas associé à notre corps. En fait, notre âme est une substance pensante tandis que notre corps est une substance étendue. Par contre, ça ne veut pas dire parce qu’ils ne sont pas nécessairement associé qu’ils sont automatiquement indifférents un à l’autre. Il y a une relation qui existe entre les deux. Lorsque nous avons faim, nous ressentons le besoin de manger donc l’âme agit sur le corps. Par contre, c’est nos membres qui font en sorte que nous sommes capables de manger.