Commentaire sur la conscience et l'inconscience d'Alain

i-je été lâche en de tels circonstances ? Je le saure si je veux y regarder " souligne l'idée que l'homme agit en fonction de ce qu'il pense, mais que lui seul selon sa conscience morale juge bon ou mauvais ce qu'il fait.

Cependant, pour qu'il y ait une action, il faut d'abord qu'il y ait une inaction pour traduire cette action? Pour affirmer la présence de quelque chose il faut bien imaginer que cette chose peut être ou ne pas être la à un moment donné. Pour qu'il y ai une forme, il faut un fond. donc pour que l'on soit conscient, il faut néanmoins être inconscient. Par exemple lorsque l'on s'endort et qu'on se réveil brutalement, on se dit " Ah ! Je me suis endormi ", il nous faut des brèves coupures pour que l'on prenne conscience de notre existence.

Un homme dans le coma est inconscient, un chauffard l'est aussi dans la mesure ou il ne sait pas ce qu'il fait? Tout comme il est difficile d'entendre " tu as changé ! je ne te reconnais plus ", cela implique qu'il y a une part de nous même qui joue un rôle en nous, mais que nous ignorons, qui serait traduit par l'inconscient.

C'est grâve à des patients qui ont été guéri par Freud, qu'il a pu admettre la possibilité de l'inconscient. C'est par leur refoulement mis à nu, qu'ils ont été "sauvé". C'est lorsqu'ils ont pris conscience de cette zone inconsciente.

Par ailleurs, "on ne demande pas aux pensées de venir, mais elles viennent toutes seules." Ce sont donc des pensées inconscientes qui viendraient en nous comme des "images" et que nous en prenons conscience désormais.

Ce qui signifi que la conscience existe par rapport à l'inconscient. L'inconscient complète la conscience, ce sont deux choses qui se lient, " main dans la main ". Certes distincts mais unient en soi.

Donc la définition de la conscience par Alain, qui se base sur des choses visibles et rationnelle est fausse. NOus somme à la fois conscient de ce que l'on fait, mais il existe des choses inconscientes qui agiraient sur nous, que l'on comprendrait grâce à des "médiateurs"