Etude De Marché Bien Être
Mémoire : Etude De Marché Bien Être. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresnales)
70 %
27 % des entreprises
emploient moins de 5 salariés
(exemple type : thermalisme et thalassothérapie, avec une moyenne de 25 salariés par établissement)
des entreprises emploient 5 salariés et plus
3%
* Etude CNEP-OPCALIA-Credoc Anticiper les évolutions nécessaires des compétences individuelles des salariés pour accompagner les mutations économiques du secteur - novembre 2008
accompagner les mutations économiques du secteur et sur les actions collectives engagées dans le secteur, contactez la CNEP et/ou OPCALIA.
CNEP
14 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Tél. : 01 40 07 09 49 Fax : 01 40 17 00 72 contact@cnep-france.fr
www.cnep-france.fr
OPCALIA
47 avenue de l’Opéra 75002 Paris Tél : 01 44 71 99 00 contact@opcalia.com
www.opcalia.com
O P C A L I A / F é v r i e r 2 0 0 9 - 4 0 3 0 8 3 2 7 2 0 0 0 4 3 - c o n c e p t i o n : D A J M - P H O T O S : F O T O L I A - PAY O T
en savoir plus
Pour toute information sur l’étude Anticiper les évolutions nécessaires des compétences individuelles des salariés pour
EsthétiquE pa r f u m e r i e • b i e n - ê t r e
Professionnaliser les salariés et dirigeants d’un secteur en croissance
ê T r e
Trois enjeux du secteur
quels que soient la taille et le profil des entreprises qui les emploient.
“
édito
Pour le consommateur du 21e siècle, le bien-être
n’est plus une mode, c’est désormais un mode de vie. Cette évolution conduit les entreprises de l’Esthétique Parfumerie Bien-être à se structurer rapidement pour satisfaire cette demande et maintenir un service de qualité. Cet engouement requiert de moderniser nos pratiques et d’activer tous les leviers de compétitivité, c’est-à-dire de valoriser notre savoir-faire, d’améliorer les compétences de nos salariés, d’investir dans les nouvelles technologies ou encore de déployer nos activités vers des secteurs comme l’hôtellerie, le tourisme et la santé. Décidée à agir efficacement pour le développement de la branche Esthétique Parfumerie Bien-être, la CNEP a commandé au Credoc en 2008, avec le soutien d’OPCALIA, une étude économique du secteur et obtenu une analyse sans complaisance des perspectives d’emploi et des besoins de formations. De toute évidence, la croissance actuelle de notre activité, l’une des plus fortes en France, passe par une montée en compétences des professionnels du secteur. La CNEP toute entière est mobilisée pour atteindre cet objectif.
b I e n
1 2 3
Professionnaliser les salariés d’un secteur en croissance,
P A r F u M e r I e
-
-
Mieux structurer la formation continue pour développer les
compétences en management et marketing. Doter les dirigeants des outils nécessaires au développe-
Déléguée Générale de la CNEP (Confédération nationale Esthétique Parfumerie)
e S T H é T I q u e
ment ou à la création d’entreprise.
”
Régine Ferrère
-
les enjeux
Satisfaire
de développement du secteur bien-être
une demande dynamique et très exigeante
En moins de 20 ans, les dépenses en soins de beauté et de bien-être ont plus que doublé. Deux explications à ce phénomène : les jeunes consomment davantage que leurs aînés et les consommateurs semblent accroître leurs dépenses en vieillissant. Exigeante, la nouvelle clientèle recherche la qualité et des résultats ; elle souhaite aussi bénéficier des dernières innovations technologiques du marché. Pour s’imposer dans le secteur, les entreprises doivent construire une offre concrète reposant sur le bien-être et améliorer la rentabilité de leur activité, structurellement faible.
Accroître
la compétitivité des entreprises
La forte croissance du secteur (72 % des établissements de bien-être ont moins de cinq ans d’existence) a pour corollaire une certaine précarité des nouvelles entreprises (194 cessations d’activité en 2005). Pour accroître leur compétitivité, les entreprises disposent de quatre leviers : - adopter un positionnement stratégique clair ; - investir dans les appareils de haute technologie ; - s’organiser en réseau ; - accroître les compétences des salariés et dirigeants. La grande diversité des établissements et des prestataires de bien-être est pénalisante pour l’offre de service devenue moins lisible pour le consommateur. Les entreprises du secteur doivent pouvoir s’appuyer sur une offre de service concrète et les concepts forts d’un réseau. D’où l’urgence de professionnaliser les salariés et de doter le secteur de nouvelles compétences.
Défendre la profession d’une seule voix
En qualité de représentant de l’Esthétique Parfumerie Bien-être, la CNEP* : - défend les intérêts de la profession. En 2008, la CNEP a relayé plusieurs revendications auprès du ministère de la Santé : retrouver l’usage de l’acte de massage et la liberté d’assurer des soins de beauté et de bien-être conformément aux diplômes de la filière ; utiliser les nouvelles technologies…) ; - garantit la reconnaissance du métier et de ses savoir-faire ; - s’implique en faveur d’un enseignement de qualité ; - communique (www.cnep-france.fr).
* Organisation regroupant : FFEEP – UME – UMM – UPB – SNPBC
faire évoluer
le métier d’esthéticienne
Renforcer
les compétences
Des consommateurs exigeants, de nouvelles techniques de soins… Pour s’adapter à ces évolutions sociétales et technologiques, le secteur doit relever deux défis majeurs : professionnaliser les salariés et les dirigeants en poste et développer de nouvelles compétences (commercial, management et marketing).
Nouveaux défis du secteur
Définir et valoriser son offre commerciale
Savoir se différencier et réfléchir à des solutions pour fidéliser la clientèle.
Besoin en compétences
Communication et marketing (concepts forts, qualité du service, prestations haut de gamme…)
Techniques (l’utilisation des machines) Théoriques (principe de fonctionnement)
Investir dans les matériels de haute technologie
Être en mesure de proposer un choix plus large de soins et assurer un résultat.
Administratives (respect des règlementations en vigueur) Commerciales (négocier auprès des fournisseurs) Gestion (suivi du chiffre d’affaires, indicateurs de rentabilité, gestion des stocks optimisée, procédures réglementaires liées au fonctionnement en franchise…)
Gestion et organisation (obligation de résultats, procédures administratives à suivre)
Adopter une organisation en réseau
(franchise, groupement)
Commerciales et marketing (objectifs de vente à atteindre) Management (politique de gestion du personnel pour les établissements aux effectifs plus importants, type franchise : évaluation des compétences, évolution professionnelle, fidélisation des salariés)
Opportunités d’emploi effectifs x2 en cinq ans
On enregistre jusqu’à 1 200 créations nettes d’emplois salariés par an pour les soins de beauté et 500 pour le secteur des autres soins corporels.
une formation recentrée
sur la technicité et la force de vente
Réformer
le
...