Faut-il oublier l'enfant que l'on a été ?
Dissertation : Faut-il oublier l'enfant que l'on a été ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar blaise_gravot • 7 Mai 2022 • Dissertation • 673 Mots (3 Pages) • 435 Vues
Faut-il oublier l’enfant qu’on a été, voici le sujet que je v’ai traiter aujourd’hui. Donc on vient à se demander si il faut oublier son enfance pour se donner un avenir ? L’homme doit doit-il toujours voir de l’avant en oubliant ses souvenirs d’enfant ?
Pour répondre a ses questions il faut nous interroger sur notre rapport a l’enfance et au passe mais il nous faut également nous interroger sur notre futur. En effet, le futur est pour l’homme une promesse de nouveauté et d’inconnu, la quête d’une identité nouvelle, il est donc livré à tous les imaginaires possibles lorsqu’il se projette dans l’avenir par opposition au passé et à l’enfance.
Mais pour autant devons-nous oublier le passé, ne serait-ce pas un grave danger pour l’homme que de se démunir de son identité d’enfant, car c’est avant tout grasse a nos expérience d’enfant que nous somme la aujourd’hui et que nous le serons demain.
Développement
I – L’enfance irréversible
Nous devons admettre qu’il n’y a pas d’avenir sans enfance. Il nous faudrait donc le considérer comme une contrainte pour construire le futur. Il s’agit ici de reconnaitre que l’enfance nous renvoie à l’incapacité de nous tourner vers l’avenir pour nous construire.
Donc cela veut dire que sans enfance on est réduit à un autre que nous même, un autre qui n’as aucune de nos expérience et qui aspire à devenir différent , ainsi nous allons être amené à répéter les mêmes erreurs, sans jamais progresser. On tourne en rond c’est un cercle vicieux.
De surcroit certaine personne oublie leur enfance non pas parce qu’elle le veulent mais uniquement a cause de leur mémoire qui leur joue des tours, donc ne pas avoir la mémoire de son enfance signifie être amnésique par rapport à ce que l’on a été, en conséquence le passé devient ce que l’on subit sans que l’on comprenne pourquoi inconsciemment on fait ceci plutôt que cela. Donc nous avons vu ici que négliger son enfance peut s’avérer pénalisant, il semble difficile d’avancer dans la vie sans celle si. Comme disait Jean Genet Créer, c’est toujours parler de l’enfance . On va donc se demander dans une seconde partie si l’homme peut vivre sans être conscient de son enfance ?
II. Sans conscience de l’enfance, pas d’avenir
La place de l’enfance dans notre conscience ,dans nos souvenirs est très importante, c’est grâce a ses souvenir qu’on devient qui on est aujourd’hui. Donc sans enfance, l’homme serait incomplet, il lui manquerais une partie importante de ses expérience . L’homme n’aurait donc plus aucune lucidité de ce qui le constitue en propre, ainsi il lui serait impossible d’être ce qu’il est aujourd’hui.
Nous pouvons mettre en avant l’aspect cathartique (La catharisme : la purgation des pattions) de l’enfance qui permet à l’individu d’accéder à la compréhension de lui-même, il y a donc une conscience de l’enfance essentielle et inhérente à la constitution de l’homme. Ainsi, la connaissance de notre enfance nous permet de nous libérer en nous retrouvant dans le présent et dans l’avenir avec la pleine lucidité de ce que nous sommes et la raison pour laquelle nous le sommes. Donc dans cette deuxième partie nous avons pu voir que sans conscience de l’enfance, nous n’avons pas d’avenir en effet les souvenirs sont et doivent être le guide de nos actes.
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