Le premier journal français est La Gazette
Fiche : Le premier journal français est La Gazette. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Jimmy Leperlier • 14 Septembre 2016 • Fiche • 1 770 Mots (8 Pages) • 952 Vues
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Le premier journal français est La Gazette qui tire son nom de "gazetta", une monnaie qui équivaut à Venise au prix d'un journal. C’est un journal d'information hebdomadaire. Il a fallu attendre la Révolution industrielle et certains progrès pour que la presse écrite se développe. La presse devient à ce moment-là une véritable industrie. Et en même temps le métier de journaliste et quelques agences de presse avaient fait leur apparition. A partir de là, la presse connut une croissance considérable notamment avec les progrès techniques tels que la presse rotative en 1860. À Paris, le tirage global des quotidiens va exploser et va passer de 36.000 tirages en 1800 à un million de tirages en 1870. A coter de ça, les grands hebdomadaires régionaux ont étaient créés. Le XIXème siècle est également marqué par l’arrivée Le Petit Journal, qui est la premier journal français "à sensation" lancé par Moïse Polydore Millaud en 1863. Au fil des années différentes journaux ont fait leurs apparitions, notamment le journal libération apparaît pour la première fois le 18 avril 1973.
Ou se trouve libération par rapport au secteur d’activité ?
Dans une première partie nous allons faire une présentation générale du secteur d’activité qui est la presse écrite puis dans un second temps nous allons présenter de la société (libération) et enfin nous allons faire un focus sur l’arrivé de nouvelles technologies et leur impact sur le journal libération
- Présentation générale du secteur d’activité
En Occident, la presse écrite a connu une augmentation qui s’est commencé au siècle des lumières qui marque l’entrée dans la modernité politique. C’est que l’activité du journaliste repose sur la « considération » que tous les droits pour tout individu a le droit de penser et de s’exprimer est « inaliénable ». Elle représente en quelque sorte l’idéal de la liberté individuelle chère à tous les penseurs de l’époque. La presse écrite doit suivent certaines règle : « garantir et de protéger la liberté de la presse conformément à la loi (constitution et loi sur la presse), veiller à l’objectivité et au respect de l’équilibre et du pluralisme dans le traitement de l’information, veiller à l’égal accès des partis politiques aux médias de service public et, en période électorale, fixer les conditions de production, de programmation et de diffusion des émissions réglementées (ou parrainées), favoriser, promouvoir la libre et saine concurrence entre les médias et éviter toutes formes de concentration, contrôler la publicité, veiller à ce que l’activité médiatique soit respectueuse de l’ordre public, de la sécurité de l’État et des bonnes mœurs, délivrer les autorisations d’exploitation, délivrer la carte de presse, assurer la gestion de la subvention annuelle de l’État à la presse, proposer la nomination des responsables des médias publics, veiller au respect de l’éthique et de la déontologie par les entreprises de presse, établir et maintenir un niveau qualitatif des journalistes, notamment par la formation ». Comme nous le dit le site du service public (www.service-public-pro.fr)
En France, bien que toutes les publications à faible tirage soient très bien équipées, ce sont, chaque année, environ 8,2 milliards d'exemplaires qui sont produites en France, la presse a plus de 200 000 personnes pour fournir les informations nécessaire à la population (sans qu'on puisse estimer ce chiffre avec précision), et son chiffre d'affaires est estimé à 10,62 milliards d’euros en 2006. Même s'il existe de nombreux petits éditeurs, les grands groupes de presse qui sont des très gros sur ce marché ont un chiffre d'affaires qui dépasse les 500 millions d’euros. C'était le cas, en 2006, avec les filiales de presse du groupe Lagardère, le groupe Hachette Filipacchi Médias (1,848 milliards de chiffre d’affaire), du groupe Amaury (650 millions de chiffre d’affaire), du groupe La Vie-Le Monde (650 millions de chiffre d’affaire), du groupe Prisma Presse (584 millions de chiffre d’affaires). La presse écrite est doté d’une mission essentielle qui est : « l’approfondissement d’une information » dont la présentation dans les autres médias est souvent restée divisé, court et surtout sélective.
Tous les médias écrits (la presse) et électroniques (télévision, radio et internet) n’ont pas les mêmes contraintes et les même règles, en matière de capacité, on a tout ce qui touche à la diffusion des messages d’information et de publicité, c’est pourquoi ils adaptent de manières différentes leurs méthodes de « gestion des coûts de production , de diffusion et de distribution ». A la différence des autres médias, la presse écrite n’est pas obliger à suivre de longues et de couteuses procédures d’autorisation de même qu’elle est n’est pas obliger de suivre un cahier des charges. À l’origine de la dissociation entre l’information et son support physique, internet a engendré de profonds changements dans les modes de production et de consommation des produits médiatiques et a fondé des bases d’une nouvelle économie fondée sur le « réseau ».
La technologie « réseaux » est devenue un élément déterminant dans l’application des trois secteurs de l’informatique, des télécommunications et des médias et va favoriser l’apparition de services et d’usages autour de certains produit médiatique. La fiabilité de leur modèle économique et le passage en ligne de la presse écrite permet de réduire les coûts de production et de distribution de l’information.
Concernant tous les médias audiovisuels, la programmation reste la plus grosse dépense dans l’industrie de la télévision. Par contre, la taille minimale des entreprises de presse est définie par les ventes de leurs presse aux lecteurs et aux annonceurs, mais dans l’industrie de la télévision, elle ne dépend que des recettes publicitaires et donc de la qualité et du succès des programmes proposés auprès du public. Il y a un certain rapprochement entre la demande de contenu du côté des consommateurs qui consomme le produit et la demande publicitaire qui relèvent des transformations dans les « pratiques culturelles » des consommateurs.
Les plus touchés par les avancées technologiques sont : La presse gratuite d’annonces, dont la création de cette presse remonte au début des années 1970 et qui depuis quelques années vit une chute de plus en plus grave et reste la première grande victime des avancées actuelles liées au développement plus que rapide des supports de l’information et des services en ligne. Puis en deuxième lieux il y a la presse quotidienne technique et professionnelle, qui comptait un peu plus de 15 titres en 1985 et qui avait déjà énormément souffert lors de l’apparition du minitel, qui été le premier support concurrent de la presse imprimé à l’époque.
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