Plaidoirie

Votre Honneur, Mesdames et messieurs les jurés,

Vous qui êtes ici et qui avez le pouvoir du jugé les faits ainsi que de juger du sort de la vie George Duroy, jugez en votre âme et conscience.

Avant de commencer je tiens à vous dire que je respecterais votre choix, même si celui-ci ce trouve à l’encontre de mon client.

Aujourd’hui, je représente mon client, Monsieur George Duroy, connu sous le nom de Bel-Ami aussi. Il réside à Paris et travaille comme rédacteur au journal « La Vie Française ». Il est actuellement accusé par Madame Clotilde de Marelle, sa maîtresse, d’avoir profiter de l’amour de Madame de Marelle envers lui pour lui prendre, voler son argent.

Mon client conteste ses faits et nie avoir volé de l’argent ou même profité d’elle pour s’enrichir.

Madame Clotilde de Marelle, mère d’une fille dénommé Laurine et épouse de Monsieur de Marelle qui part son travail est souvent absent, reproche donc aujourd’hui à mon client les faits suivant : je cite « Monsieur George Duroy à profiter de mon argent. Il a profité du fait que je l’aime et que je sois issu d’une bonne classe sociale pour s’enrichir en lui me volant. »

Comme je vous l’ai déjà dit, Monsieur Duroy nie totalement les faits et dit que l’argent qui l’a reçu de Madame de Marelle lui a toujours été donné par la volonté de celle-ci. Il dit aussi qu’il ne lui a jamais réclamé de l’argent mais que son amante lui donner de l’argent par pitié envers sa pauvreté à l’époque où il ne travaillait pas encore pour le journal « La Vie Française ».

Tout d’abord, je vais vous dire l’histoire d’amour entre Madame Clotilde de Marelle et Monsieur George Duroy, tel qu’elle m’a été raconté par mon client.

Pour commencer, Monsieur Duroy et Madame de Marelle se sont connus par le biais de Madame Forestier. Tous les deux se sont tout de suite très bien entendu et ont commencé à se voir sans l’incitatif de Madame Forestier. Duroy s’entendait aussi très bien avec Laurine, la fille de Madame de Marelle. Duroy n’a pas dit à Madame de Marelle qu’il était sans sous, elle l’a découvert d’elle même.

Monsieur Duroy rapporte que Madame de Marelle a commencé à lui louer un petit appartement à ses frais pour que tous deux puissent se voir et vivre leur amour caché des autres. Mon client, n’a jamais demandé à Madame de Marelle de lui louer un appartement et se sentait extrêmement gêné qu’elle lui paye son logement. Il ne voulait pas l’accepter et le payer lui même mais Madame de Marelle, a selon mon client, fortement insisté pour qu’elle seule paye l’appartement. Elle a donc fait cela d’elle même car elle n’aimait pas l’ancien apparemment de Monsieur, où elle avait été jugée par les autres habitants. Vous pouvez donc constaté qu’en aucun cas mon client