Resumer Claude Gueux
Documents Gratuits : Resumer Claude Gueux. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresun couteau. Il semblait vouloir parler a Claude mais n'osait pas.
Cet homme, et son pain, et sa viande, importunaient Claude.
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Albin, le prenom du jeune homme, demande a Claude si il voulait partager
sa ration car il en avait trop.
Il partagère comme sa la ration d'Albin tout les jours.
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Claude avait plus d'autorité que le directeur des ateliers sur les prisonniers,
il avait souvent prêté main-forte a l'autorité officiel du directeur en parlant
au prisonniers.
Claude aimait beaucoup Albin
Un jour, un guichetier appela Albin et le previent que le directeur le demandait.
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Albin ne réaparut pas de la journée.
Claude, a la fin de la journée quand il rentrit au dortoir, demanda au guichetier
si Albin etait malade et il repondit que non et qu'il avait changer Albin de quartier
sur l'orde de M.D, le directeur des atliers.
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Le lendemain Claude arreta le directeur et lui demanda si il était vrai qu'Albin avait
été changer de quartier, et il poursuivit qu'il avait besoin d'Albin pour vivre car il
partagait sa ration avec lui.
Le directeur lui répondit que decision avait été prise et qu'il ne revenis jamais sur ces
décision.
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Claude ne parlait d'Albin a personnes, il se promenait seul dans le préau pendant les récréation
et il avait fain. Comme si tout etait redevenu comme quand Albin n'était pas la.
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Plusieurs prisonnier voulurent partager leur ration avec Claude, mais il refus en souriant.
Tout les soirs, tandis que le directeur fessait sa tournée haituelle et qu'il passait devant Claude
alors celui ci lui dit : Et Albin? Le directeur fessait semblant de ne pas entendre ou s'éloignait en
haussant les épaules.
Un jour Claude dit au directeur : — Écoutez, monsieur, rendez-moi mon camarade. Vous ferez
bien, je vous assure. Remarquez que je vous dis cela.
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Un dimanche, dans le préau, un prisonnier nommée Faillette s'approcha de Claude et lui demanda se qu'il
fessait. Il repondit qu'il jugait quelqu'un.
Un soir enfin, le 25 octobre 1831, au moment où le directeur
faisait sa ronde, Claude brisa sous son pied avec bruit un verre
de montre qu’il avait trouvé le matin dans un corridor.
Le directeur demanda d’où venait ce bruit. Claude repondit que ce n'etait rien et que c'etait lui
et demande au directeur M.D de lui rendre Albin. Le directeur lui repondit que cela n'etait pas possible.
Claude donna un ultimatum a M.D en le menaçant. "Réfléchissez. Nous sommes aujourd’hui le 25 octobre.
Je vous donne jusqu’au 4 novembre."
Un guichetier fit remarquer a M.D cela et dit que Claude méritait le cachot mais M.D dis qu'il fallait
être bon avec c'est gens là et de ne pas l'envoyer au cachot.
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Entre le 25 octobre et le 4 novembre il y a 9 jours, et Claude n'en laissa pas passer un seul sans avertir
M.D. Claude recoltit 24 heures de cachot car le directeur était fatiguer parce que la prière ressemblait
trop a une sommation.
le 4 novembre arriva. Claude s'evaillit avec un visage serein que les autres n'avait pas vu depuis le jour
où M.D avait pris la décision de le séparé de son amis. IL cherchit dans une caisse sous son lit un ciseux
de couturiere.
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Un peut avant 12h Claude desendit sous un pretexte a l'atelier des menuisier où il était aimé la comme ailleurs.
Il demande si quequ'un avait une hache a lui préter pour tuer le Directeur des ateliers.
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Claude cacha la hache dans son pantalon. Faillette lui demande se qu'il cachait et il dit que c'etait une hache
pour tuer M.D
Claude avait dit a plusieurs personne qu'il voulait tuer M.D mais personne ne le conseilla et personne ne le denonca.
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Une fois les prisonniers seul, Claude s'exprime a travers un long discours qu'il a condanée a mort M.D a cause de ce
qu'il a fait a lui et Albin et qu'il va le tuer ce soir pendant sa tournée. Ensuite il demande au autre si il on
quelque chose a dire.
"Vous savez tous qu’Albin était mon frère. Je n’ai pas assez de
ce qu’on me donne ici pour manger. Même en n'achetant que du
pain avec le peu que je gagne, cela ne suffirait pas. Albin
partageait sa ration avec moi ; je l’ai aimé d’abord parce qu’il m’a
nourri, ensuite parce qu’il m’a aimé. Le directeur, M. D., nous a
séparés. Cela ne lui faisait rien que nous fussions ensemble ;
mais c’est un méchant homme, qui jouit de tourmenter. Je lui ai
redemandé Albin. Vous avez vu, il n’a pas voulu. Je lui ai donné
jusqu’au 4 novembre pour me rendre Albin. Il m’a fait mettre au
cachot pour avoir dit cela. Moi, pendant ce temps-là, je l’ai jugé
et je l’ai condamné à mort*. Nous sommes au 4 novembre. Il
viendra dans deux heures faire sa tournée. Je vous préviens que
je vais le tuer. Avez-vous quelque chose à dire à cela ?"
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Claude dit qu'il aait murement reflechis sa decision et que si quelqu'un avait quelque chose a dire il était pret a
l'ecouter.
Une voix seulement s’éleva, et dit qu’avant de tuer le directeur, Claude devait essayer une dernière fois de lui parler
et de le fléchir.
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Il decida de distribuer ces affaires a c'est compagnons qu'il aimait le plus apres Albin. Il ne garda que la paire de
ciseaux.
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Une fois que Claude eut fait ses adieux a tout ses camarade et qu'il eut serrer les mains de tout ceux la, il leurs
ordena de se remettre au travaille.
La nous avons une description de l'atelier.
"L’atelier où ceci se passait était une salle oblongue, un long
parallélogramme percé de fenêtres sur ses deux grands côtés, et
de deux portes qui se regardaient à ses deux extrémités. Les
métiers étaient rangés de chaque côté près des fenêtres, les
bancs touchant le mur à angle droit, et l’espace resté libre entre
les deux rangées de métiers formait une sorte de longue voie qui
allait en ligne droite de l'une des portes à l’autre et traversait
ainsi toute la salle."
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La cloche sonna et il allait s'accouder
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