Les Péchés Capitaux

on de la gourmandise et de la luxure est bien évidente. En effet, jusqu'au XVIIème siècle ces péchés inspirent la peur puisqu'ils sont considérés comme des fautes graves aux conséquences néfastes. A partir de cette époque, les artistes se détachent de l'emprise de l'Eglise et donnent alors une vision plutôt dérisoire de ces péchés qu'ils ne considèrent même plus comme des fautes. Actuellement, la gourmandise et la luxure ne sont plus considérés comme des fautes graves et la société les met d'une certaine manière en valeur. Mais ces plaisirs causent quand même des maladies, pour la gourmandise par exemple on peut parler de boulimie, d'anorexie et tout autres maladies liées à l'alimentation; en ce qui concerne la luxure, nous pouvons parler de sex-addicts.

La colère, en tant que pulsion souvent incontrôlée, est toujours représentée comme effrayante et n'a donc pas connu de réel changement. Les conséquences de la colère incontrôlée ont toujours été condamnées. Ce péché est toujours considéré comme une pulsion à contrôler. Il se détache complètement des autres.