Viticulture Biologique Saison 2012

– 89800 CHABLIS – Tél. 03 86 94 15 15, Fax 03 86 94 15 16, E-mail : aace-roses@orange.fr CÔTE D’OR ET CÖTE CHALONNAISE : BVS – 21200 BEAUNE – Tél. 03 80 22 22 50, fax 03 80 22 89 77, Email : damien.maillet@dijon-cereales.fr – Magasins également à Nuits Saint Georges, Santenay et Mercurey NORD-MACONNAIS : Coopérative BRESSE-MÄCONNAIS – 01190 POINT DE VAUX – Tél. 03 85 36 68 00, Fax 03 85 30 62 97, E-mail : cabm.jm.passot@wanadoo.fr MACONNAIS, BEAUJOLAIS, BUGEY, SAVOIES : Coopérative TERRE D’ALLIANCE - ECOVIGNE – 69220 BELLEVILLE SUR SAÔNE – Tél. 04 74 06 47 80, Fax 04 74 06 66 49 80, E-mail : g.labruyere@groupeceregrain.com – Magasins à Lugny, Davayé, Villié-Morgon, Julienas, Cercié, Saint Etienne La Varenne, Gleizé, Saint Martin de Popey, Chazay d’Azergues, Belley. DRÔME-ARDECHE : PERRET – 26600 PONT DE L’ISERE – Tél. 04 75 40 58 47, Fax 04 75 40 58 47, E-mail : ollier.guy07@orange.fr VAUCLUSE : PERRET – 26790 TULETTE – Tél. 04 75 98 02 95, Fax 04 75 98 02 96, E-mail : ROUSSELPetL@aol.com BOUCHES DU RHÔNE-VAR : CHARRIERE DISTRIBUTION – 13790 ROUSSET – Tél. 04 42 29 84 29, Fax 04 42 29 84 28, E-mail : cyril.aviat@club-internet.fr - Magasin également à Saint Nazaire (Gard !). Saint Denis - 71160 SAINT AGNAN - Tél: 03 85 53 82 88 - Fax : 03 85 53 81 19 E-mail : symbiose.nrj@orange.fr – Site Internet : http://symbiose-nrj.fr

N°SIRET : 502 206 014 00016 - Code NAF : 7490B Banque : Crédit Mutuel Digoin-Gueugnon - F-71160 DIGOIN.

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10. BORDELAIS : CIC – 33750 BEYCHAC ET CAILLAU – Tél. 05 56 72 55 72, Fax 05 56 72 55 73, E-mail : c-ic@c-i-c.fr 11. POITON-CHARENTES – PAYS DE LOIRE : SAINTONGE BIO DISTRIBUTION – 17400 COURCELLES – Tél. 05 46 59 78 21, Fax 05 46 59 79 00, E-mail : j-pierre.raballand@wanadoo.fr 12. SUISSE : CERCLE DES AGRICULTEURS DE GENEVE ET ENVIRONS – CH-1242 SATIGNY – Tél. 00 41 22 306 10 10, Fax 00 41 22 306 10 11, E-mail : l.dufournet@bluewin.ch Pour SYMBIOSE (développement et suivi de la méthode GEOPHILE), vos interlocuteurs sont, selon les régions et les domaines : 13. Robert CASENOVE – Conseil, audit, formation en Agriculture Biologique – Tél. 06 30 63 22 19, E-mail : robert.casenove@wanadoo.fr 14. Isabelle RICHARD – Ingénieur Agronome – Tél. 03 85 35 14 91, fax 03 85 35 17 83, E-mail : i.richard.aria@free.fr 15. Jacques MOREAU – Tél. + Fax 03 85 24 22 09, Mobile 06 07 89 05 77, E-mail : sarl.jmoreau@orange.fr Nous sommes par ailleurs en contact avec d’autres personnes très compétentes qui devraient travailler avec nous à partir de cette année sur plusieurs régions. Nous vous en informerons de façon plus précise dès que nos relations seront formalisées. 2°- Evolution météo possible en début d’année : La prévision météo à moyenne échéance est toujours un exercice délicat, mais essayons tout de même de voir les grandes tendances, au moins pour le printemps. 1. Activité solaire : Ce schéma tiré du site clubregulus.fr indique l’évolution des taches solaires ces dernières années. On observe les cycles solaires bien connus de 11 ans. Or, le dernier cycle de chaleur solaire (qui se traduit par plus de taches solaires) s’est achevé fin 2007. En 2008, on a eu 200 jours sans taches solaires, ce qui est exceptionnel ! L’activité a encore été très faible en 2009, ce qui fait de ces deux années les moins actives au niveau solaire depuis presque un siècle. Il n’est donc pas surprenant que la météo ait été souvent froide à ces périodes. L’activité solaire commence a tout de même repris à partir de la fin 2012 et a bien monté en 2011. Maintenant, les taches solaires du cycle 24 sont apparentes. On pourrait donc s’attendre à une série d’années chaudes dont 2011 est la première. Mais certains scientifiques pensent que le cycle 24 pourrait être écourté par rapport aux cycles précédents (déjà une petite baisse en ce moment). Le réchauffement climatique en sera-t-il ralenti ? 2. Oscillation Nord Atlantique (NAO) : Il s’agit de la différence de pression entre l’Islande et les Açores. Si elle est élevée, l’Europe occidentale connaît une dominante de vents de Sudouest et en général un temps chaud, parfois humide et orageux. Si elle est basse, voire négative (ce fut le cas au printemps 2010 !), ce sont au contraire les vents de Nord à Nord-Est qui dominent, avec un refroidissement du temps qui n’est pas forcément sec pour autant. Voici l’évolution des mois récents (valeurs par rapport à la moyenne représentée par la ligne horizontale). On observe, contrairement à l’année passée, que l’oscillation a été constamment positive cet hiver, même pendant la période très froide que nous venons de connaître. Ceci nous donne à penser que nous aurons une année 2012 plutôt humide. 3. Phénomène La Nina :

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Saint Denis - 71160 SAINT AGNAN - Tél: 03 85 53 82 88 - Fax : 03 85 53 81 19 E-mail : symbiose.nrj@orange.fr – Site Internet : http://symbiose-nrj.fr

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Il s’agit de la température de surface des eaux du Pacifique, qui influe sur tout le climat mondial et donc même européen. Pour le moment, nous terminons une anomalie froide commencée depuis fin 2009 (voir carte de la situation actuelle ci-dessous). Nous devrions aller vers un réchauffement dans les mois à venir. Notez bien que les surfaces marines plus chaudes que la normale (en jaune) sont nettement plus grandes que les plus froides (en bleu). Toujours le réchauffement climatique ?...

Ainsi, nous anticipons une année 2012 chaude et humide, peut-être comparable à l’année 2000 où lé végétation était assez en avance, le Mildiou aussi et où on avait connu une forte pression du Ver de la grappe… Nous sommes conscients que c’est à contre-courant de ce qui est annoncé pour le moment par les services météorologiques (conditions sèches pour le début de printemps). 3°- Résultats de nos essais OSEO « microbien » 2011 et synthèse de l’année : Dette année, les observations ont porté sur un ensemble de 16 parcelles différentes (dont 3 sont en Bourgogne et 2 concernent l’arboriculture). De plus, une 3ième modalité ajoutant l’ACTIPRETA (bactéries photosynthétiques) au « microbien » habituel a été rajoutée sur 11 des 16 parcelles. 1. Observations : Sur les paramètres du sol : 1. La sécheresse du printemps a manifestement réduit les écarts, tout comme en 2009. La variation de nos « marqueurs » habituels (Phosphore, Cuivre et Molybdène) ne s’est vraiment produite qu’en Bourgogne, et nettement moins pour le Phosphore (+ 5 %) que les années antérieures. Les modalités « microbien + Actipreta se sont singularisées par une nette montée du Fer, du Cuivre, du Zinc, et aussi (mais seulement en Bourgogne) du Manganèse, avec des montées variant entre + 8 et + 35 %. De plus, cette modalité Actipreta a manifestement « réveillé » la silice assimilable avec une montée de + 5 % alors que nous sommes en baisse de - 5 % (comme en 2010) sur le « microbien » seul. Les Mycorhizes restent un point très fort des modalités « microbiennes », avec une augmentation en valeur relative de + 100 % en Bourgogne et + 43 % nationalement !... Cette augmentation est légèrement plus faible dans les modalités ACTIPRETA. Dans tous les cas, les modalités dépassent presque toutes les 50 % alors que les

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témoins les atteignent rarement. Sur les paramètres du moût : 1. Sur la zône Bourgogne, nous avons toujours une nette avance de maturité comme en 2010 avec montée des degrés (+ 1°) et légère baisse de l’acidité (- 0,10 g H2SO4). Cette montée est plus réduite avec l’ACTIPRETA (seulement + 0,9° et par contre augmentation de l’acidité avec + 0,18 g…)) Concernant l’azote, il y a toujours une montée de l’azote assimilable, mais seulement de l’ordre de 12 mg/litre (20 mg en 2010) En moyenne nationale, la, montée du degré est plus faible (+ 0,8°), baisse de l’acidité (-0,36 g, mais seulement – 0 08 g sur ACTIPRETA), et légère baisse de l’azote assimilable sauf sur l’ACTIPRETA où il monte de 4 mg/litre.

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Sur la végétation :

Nous n’avons pas pu comparer valablement les notations de maladies en raison de leur faible présence pendant la période d’observation. Mais nous avons noté, sans pouvoir la chiffrer, un plus grand volume de végétation sur les modalités ACTIPRETA. Ceci est sans doute en rapport avec les avances de maturité moins importantes enregistrées sur ces modalités. Nous pensons donc aussi avoir eu une augmentation de rendement, sans avoir pu la mesurer. Par ailleurs, indépendamment des essais OSEO, nous remarquons une synergie intéressante avec les engrais organominéraux, en particulier sur les parcelles pauvres ou carencées. Il semblerait en effet que l’effet de ces engrais soit très augmenté en présence de « microbien » par rapport aux parcelles qui n’en reçoivent pas. Nous avons parfois d’excellentes