Britannicus, Racine

1/ Dans quel lieu l’action se déroule-t-elle ? L’unité de lieu est-elle respectée ? Comment cette contrainte souligne-t-elle les tensions?

2/ Combien de temps s’écoulé entre la première et la dernière scène ? Relisez les vers 1, 2 et le vers 1606 de la pièce pour répondre. L’unité de temps est-elle respectée ?

3/ Qui meurt dans la pièce ? La règle de bienséance est-elle respectée ?

II) Un empereur tout-puissant

4/ Quel sentiment inspire le personnage à Agrippine et à Junie aux actes I et II ? Comment le spectateur est-il amené à partager ce sentiment?

5/ Montrez la naïveté de Britannicus dans la pièce. En quoi cette naïveté le condamne-t-il à mort?

III) La naissance d’un monstre

6/ En quoi l’aveu de Néron à l’acte II révèle-t-il une cruauté inconsciente ? En quoi peut-on dire que la rencontre avec Junie est décisive dans le passage à l’acte du personnage ?

7/ Dans quelle mesure Néron est-il sensible à ceux qui veulent le conseiller?

8/ Comment Racine fait-il comprendre aux spectateurs que le meurtre de Britannicus n’est qu’une étape?

9/ Comment la progression tragique de la pièce s’articule-t-elle autour du personnage de Néron?

La première Guerre Mondiale est un sujet abordé par de nombreux écrivains. Ainsi, dans ce romand Jean Rouaud raconte son histoire familiale durant cette guerre, dans son œuvre Les champs d’honneur Mais il est plutôt question de réalisme dans cet extrait où l’auteur décrit l’horrible attaque au gaz toxique vécue par son grand oncle Joseph et ses compagnons de guerre.

Nous pouvons donc nous demander en quoi l’auteur fait percevoir atrociter de la Grande Guerre au lecteur ?

Dans un premiere temps de la ligne 1 a 10 le narrateur nous decrit les lieux de la lere guerre mondial des anner plutard Jean Rouaud emploie une énumération dans une phrase longue et complexe avec un rythme qui montre la lente et inévitable progression du gaz: (L.1-1.7) <<Maintenant, le brouillard chloré rampe [...]dans des souffrances atroces ». Les verbes de cette phrase permettent à l’auteur de personnaliser le gaz en l’assimilant à un animal menaçant.

À partir de la ligne 11 et jusqu’à la fin, le narrateur n’emploie plus le passé mais le présent pour décrire le gaz, cela lui permet de raviver la scène. Ainsi le lecteur est soudainement plongé dans des événements qui paraissaient lointains dans le temps. Il était un témoin, à présent il est acteur dans cette scène actualisée.

pour conclure Ce romand de Jean Rouaud est une biographie