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Partage d’un cheminement de carrière ̸ Rédaction

Chronologie : Partage d’un cheminement de carrière ̸ Rédaction. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  13 Avril 2018  •  Chronologie  •  1 663 Mots (7 Pages)  •  836 Vues

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Initiation à l’informatique en Architecture Navale – 248-111-QM

Partage d’un cheminement de carrière ̸ Rédaction

Travail présenté à

Paule Simoneau

Travail effectué par

William Cordeau

Département de technologie de l’architecture navale

Institut maritime du Québec

Rimouski, le 27 octobre 2017


Table des matières

Jean-Claude Laurin        3

Jean-David Samuel        4

Robert Fecteau        5

Boris Petit        6

Jordan Gagnon        7

Pierre-Charles Drapeau        8

Conclusion        9


Jean-Claude Laurin 

Diplômé de l’institut Maritime du Québec en 1997, Jean-Claude Laurin a beaucoup exploré les différents types de travail d’un architecte navale. Tout d’abord, il se dirige vers la Recherche et Travaux Maritimes situé à St-François où il a dû effectuer des modifications de coque ainsi que de développer des hydrojets. Par la suite, M. Laurin c’est enrôler avec la Garde Côtière pour transformer le Corialiss 2, un navire de recherche. De plus, après avoir acquis beaucoup d’expérience sur le terrain, il crée sa propre compagnie avec l’aide de ces confrères, intitulé Concept Navale situé à Québec. Il occupe maintenant le poste de vice-président ainsi que dirigeant des ressources humaines. Jean-Claude est considéré comme étant un technicien principal en architecture navale et le gestionnaire de projets.

Dans son appel conférence, Jean-Claude fait appel aux compétences requises pour être un bon technicien en architecture navale. Sur ce point, posséder une bonne capacité à analyser le 3D, avoir le sens de l’analyse ainsi qu’être capable de résoudre un quel contre-problème vous sera très favorable dans ce domaine. Accepter la critique et le désir est un atout obligatoire pour un technicien. M. Laurin interpelle que d’aimer ce qu’on fait apporte beaucoup de facilité à affronter des gros défis. Chez Concept Navale, on peut occuper l’emploi d’inspecteur de navires et préparer et élaborer des plans de structure. Sur les paroles de Jean-Claude Laurin, plus nous serons exposés à de gros défis, plus nous obtiendrons d’amples connaissances et donc ferons de nous un grand technologue naval.


Jean-David Samuel

Diplômé de l’institut Maritime du Québec en 2005, Jean-David Samuel a fait plusieurs emplois diversifier dans le domaine avant de se rendre compte qu’il aimait mieux être sur le terrain. Tout à commencer lors de son engagement avec Marine Expert où il produisait des carnets de stabilité seule dans son bureau. Jean-David c’est vite rendu compte que ce n’était pas pour lui alors il s’est dirigé vers l’Europe pour produire des voiliers. Son emploi de voiliers n’étant pas un succès, il retourne au Québec pour travailler chez NavTech. Finalement, il revient en Gaspésie pour occuper le poste de directeur général du Chantier Naval Forillon.

Dans son appel conférence, Jean-Claude fait appel aux compétences requises pour être un bon technicien en architecture navale. Sur ce point, Jean-David fait allusion du fait d’avoir de la créativité, de la rigueur, de l’envie et de la diversité nous permet d’être un bon technologue naval. Effectivement, avec c’est qualité on peut occuper les postes de technologues de chantier, gestionnaire de bateaux, contremaitre et faire de la modélisation 2D et 3D. Le technicien peut aussi faire des essais sur mer, des vérifications sur le chantier ou des estimations de projet ainsi que du pipping.


Robert Fecteau

Diplômé de l’institut Maritime du Québec en 1986, Robert Fecteau a décidé de devenir fonctionnaire. Lors de sa première année, il a tout de suite compris que l’aspect dessin de l’architecture navale ne l’intéressait pas du tout. M. Robert a découvert le métier d’inspecteur grâce à sa passion pour les bateaux de pêche. Après sa première année, il a remporté un concours dans la fonction publique du Canada en tant qu’inspecteur. Un poste s’ouvre à lui mais il refuse, car il ne veut pas faire le ménage d’une bibliothèque. Ensuite, il s’est fait offrir un poste à Gaspé en 1986 et à 22 ans il est nommé inspecteur du chantier à Sept-Îles. Maintenant, Robert Fecteau est gestionnaire à Sécurité maritime pour Transport Canada situé à Rimouski.

Dans sa présentation en classe, Robert Fecteau fait valoir les atouts nécessaires pour être un bon inspecteur dans le domaine maritime. En effet, la détermination ainsi que la diversité son obligatoire pour un inspecteur. La facilité à parler anglais joue un rôle-clé dans ce domaine. Ayant beaucoup d’avantage sociaux ainsi qu’un bon salaire, plusieurs points négatifs ressortent de ce métier : travailler à l’extérieur pendant les températures froides, beaucoup de rédaction de rapport et être prêt à se déplacer souvent mais pour quelques jours. Un dernier point négatif serait de ne pas avoir peur d’émettre des infractions à un client.


Boris Petit

Diplômé de l’institut Maritime du Québec en 2014, Boris Petit est un étudiant à l’Université Mémorial de Terre-Neuve en ingénierie marine. Pendant sa première année à l’IMQ, M. Petit regardait déjà vers l’université. Dans son programme Coop, il fait 5 cours durant 15 semaines ensuite des stages pendant 15 semaines en alternance avec ses cours. Son programme étant en anglais, il se doit d’être bilingue pour comprendre et réussir son BAC. Durant les études, le bureau de la Coop de l’université se charge de lui trouver les meilleurs stages possibles. Pour y entrer, on doit passer un test d’anglais (lire, parler et écrire) car nous sommes considérés comme étudient étranger à Terre-Neuve. Boris Petit compte revenir travailler au Québec après son université.

Plusieurs raisons me porteraient à m’inscrire à l’université de Terre-Neuve. L’une des raisons est qu’avec le BAC en ingénierie marine, de nombreuses portes s’ouvrent à notre disposition autant national qu’à l’international. De plus, il y a la possibilité de devenir bilingue car le programme s’offre qu’en anglais. Sans oublier les nombreux stages qui nous offrent beaucoup d’expériences sur le terrain et qui peut nous permettent d’obtenir un travail sûr si on n’exécute bien le travail demandé. Investir 4 ans de plus de notre vie pour s’assurer une place sûre dans le domaine maritime est sans aucun doute le meilleur choix envisager. En addition, aller étudier hors du Québec peut-être un plus dans notre vie de tous les jours, car ça nous fait des expériences hors du commun.

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