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Pauca meae, Victor Hugo

Commentaire de texte : Pauca meae, Victor Hugo. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  22 Mai 2017  •  Commentaire de texte  •  802 Mots (4 Pages)  •  2 734 Vues

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Introduction :

Au XIXe siècle, la poésie lyrique prend de l’ampleur. Victor Hugo, en exil politique, continue à écrire avec succès. Après la tragédie du 4 septembre 1843, Victor Hugo a plongé dans la composition du livre des contemplations «Pauca Meae». Lire le poème IX.(p.45).  Aujourd’hui, nous allons analyser le poème en 3 parties: (Fayssal) les procedes lexicaux c-a-d les termes pejoratifs et melioratifs ainsi que les champs lexicaux, (Julie) les figures de styles et (Dominic) les temps de verbe, la ponctuation et les pronoms.

Donc , on va commencer par la 1ere partie ( des vers 1 à 10 ) qui parle de l’ouverture du poeme.

Ensuite, on va aborder avec la 2e partie (vers 11-28) qui reflete du theme de la matinėe

Pour finir, on va parler de la 3e partie (vers 29-52) qui reflete du theme de la soiree.

En conclusion, Victor hugo redige ce poeme en 3 parties (ouverture-matinee-soiree) en citant des souvenirs de leopoldine  mais surtout l’admiration et l’affection qu’il avait pour sa fille.

Premier Strophe, Deuxième Vers.

Dans ce vers, on retrouve une personnification ainsi qu’une antithèse.

  • Personnification : «Doux rayon triste»  Attribue une caractéristique humaine «triste» au «doux rayon»
  • Antithèse : «rayon triste» et «rayon réchauffant»  Deux idées contradictoires

L’auteur utilise la personnification en attribuant le mot «triste» au « doux rayon » et puis celle-ci représente une opposition avec les mots «rayon réchauffant». Quand on parle de «rayons tristes», c’est souvent quand le temps n’est pas beau, quand le temps est gris et que les rayons de soleil ne nous réchauffe pas, tandis que les «rayons réchauffant» sont chaleureux et nous donnent du confort.

Deuxième Strophe, Huitième Vers.

Dans ce huitième vers, une antithèse est présente.

  • Antithèse : «Un bois sombre et le ciel bleu»

[Explication]

Troisième Strophe, Dixième Vers.

Au dixième vers, on n’y retrouve une personnification.  

  • Personnification : «Passé Charmant»  Attribue une qualité humaine à son passé.

Victor Hugo évoque son passé comme une chose vivant en le qualifiant de charmant. Ce passage suggère à quel point il est désormais loin du bonheur.

Quatrième Strophe, Quatorzième et Quinzième Vers.

On retrouve dans ces vers une des figures de styles ;

  • Répétition : «De peur»  Insiste sur l’émotion.

L’écrivain représente ici l’accord parfait des deux individus, l’égalité de l’amour entre lui et sa fille ainsi que les petites attentions mutuelles. Elle craint de l’éveiller et il a peur de l’effrayer. On y retrouve une relation de tendresse et de l’affection entre ses deux personnes.

Cinquième Strophe, Vers Dix-Neuf et Vingt.

Dans ce passage, on retrouve le;

  • Parallélisme : «Ma famille avec la nature» et «Mes enfants avec les oiseaux»  

Le poète fait le parallèle entre la partie la plus délicate de la famille sont les enfants et cette partie la plus délicate de la nature sont les oiseaux. Bref, il souligne la délicatesse des enfants ainsi que l’harmonie entre la famille et la nature.  

Sixième Strophe, Vers Vingt-Trois.

Ce vers illustre

  • Hyperbole : «Très grave»  Pour amplifier le mot «Grave»

Victor Hugo montre la complicité entre sa fille et lui ainsi que l’âge, la gravité et peut-être une préférence pour le premier né qui met Léopoldine au-dessus de ses frères et sœurs.

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