« Une si longue lettre » Mariama Bâ
Résumé : « Une si longue lettre » Mariama Bâ. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar imeneeb1 • 29 Mai 2022 • Résumé • 1 230 Mots (5 Pages) • 3 545 Vues
FRANCAIS
Résumé du livre ; « Une si longue lettre » Mariama Bâ[pic 1]
Mariama Bâ,née le 17 Avril 1929 à Dakar,et morte dans le même ville le 17 août 1981,est une femme de lettre sénégalaise. Elle est issu d’une famille musulmane. Orpheline de mère, reçoit dans son enfance l’éducation traditionnelle et pieuse de ses grands-parents. Encouragée par son père, alors ministre de la santé , et une directrice d’école , elle suit des études et passe le concoursde l’Ecole Normal.
Elle enseigne durant douze années. Mère de 9 enfants, divorcé, puis remariée, elle s’engage dans le militantisme associatif, pour lutter contre les castes et la polygamie, elle réclame une éducation pour tous et des droits véritables pour les femmes.Dans son œuvre, elle critique les inégalités entre hommes et femmes dues à la tradition africaine.
Elle décède de maladie en 1981, deux ans après la publication de son roman, Une Si Longue Lettre, elle s’est imposée comme une voix incontournable de la littérature africaine avec son second livre, « Le Chant écarlate ».
Chapitre 1 ;
Mariama, la narratrice, envoie une lettre à son amie d’enfance, Aïssatou,pour lui expliquer son désarroi, causer par la mort de son époux Modou. Elle décrit les évènements du jour du décès. Dans une précipitation, elle se rendit aux urgences pour essayer de comprendre ce qu’il se passe. Arrivé dans la chambre où Modou fût allonger, elle aperçoit un corps entièrement enveloppé par un drap blanc et surtout immobile. Mawdo, ami médecin de Modou, explique a la veuve que son époux est mort d’une crise cardiaque. Il lui explique aussi que malgré l’arrivé tardives des urgences, il a essayé d’administrer des soins, mais ils étaient inutile. Mariama constate que Mawdo, était lui aussi chagriner par la mort de son ami.
Chapitre 2 ;
Le lendemain de l’annonce du décès de Modou, une énorme foule de personnes défilaient dans la maison de Mariama pour présenter leurs condoléances aux épouses du défunt Modou. Les femmes du village préparer la cérémonie de l’enterrement. Elles emportent les nécessités pour la toilette mortuaire du corps. La présence de la coépouse de Mariama l’énerve. Les hommes conduisent Modou jusqu’à sa tombe, pendant que les femmes se décoiffent. Les biens matériels de Mariama, son offerts à sa belle-famille. Mariama, en colère, constate que l’égalité des deux épouses, juger par les belle-sœurs, réjouit la nouvelle belle-mère de Modou. Les hommes reviennent du cimetière, présentent leurs condoléances et se font offrir des collations.
Chapitre 3 ;
Le troisième jour, mêmes allées et venues d’amis, et même d’étrangers. Ils sont accueillis dans la maison dépouillée de Mariama. Elle lit le coran pour se réconforter. Le groupe des hommes mange silencieusement et attristé. Tandis que les femmes ne faisaient que du bruit. Une voix virile excédée met en garde, redéfinit la cérémonie pour la rédemption d’une âme. Mais cette voix est vite oubliée et tapage sonore revient encore plus fort. Le soir, vient la phrase la plus problématique de cette cérémonie du troisième jour. Plus de monde et d’avantages de bousculade. Des groupes se constituent par affinités. Chaque groupe démontre sa participation aux frais, sous forme d’offrande. En offrant billets de banque. Les plus grosses somme d’argent sont versées a Mariama, car elle était l’épouse de Modou pendant plus longtemps. Après la visite de toutes sortes de personnes, la maison se vide peu â peu. Mariama vit seule, et surtout dans une monotonie.
FRANCAIS
« Une si longue lettre »
Chapitre 4 ;
La réunion de famille fût tenue chez Mariama. Pendant le « mirasse », une cérémonie ordonnée des morts. Elle découvre que son défunt mari, avait choisi d’abandonner Mariama et leurs enfants, qui constituaient sa première famille. Elle découvre que, son mari qui était cribler de dette, dépensait une grande partie de son argent pour subvenir aux demandes de sa deuxième famille, celle avec Bintou. Modou avait retiré Binetou de l’école, alors qu’elle voualit terminer ses études, alors Modou était contraint de lui verser des sommes d’argent par mois à Binetou.
Chapitre 5 ;
Après avoir fait certaines découvertes sur la vie de son époux, Mariama décide d’accepter son sort, car la vie est faite d’abdications et d’acquiescement. Elle se dit qu’être heureux, malgré ce triste sort, fait de nous des héros. Elle a décidé d’accepter son sort, mais en elle, demeure regret et déception. Elle regrette d’avoir consacrer trente ans et douze grossesse à cet homme qui l’a trahi.
Chapitre6 ;
Mariama décrit le début de sa relation avec Modou, ces prouesses et comment elle est tomber amoureuse de cet homme. C’était à une fête de la jeunesse, Modou l’invita à danser et elle est immédiatement tomber sous le charme. Pour continuer ses études, il part en France et revient dans son pays natal avec une licence en droit. Elle raconte les tentatives vaines de sa mère pour les séparer, et parlent de tous les rêves qu’ils avaient ensemble, elle et son mari Modou.
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