Compte rendu Bloomberg BusinessWeek

Compte rendu : Bloomberg BusinessWeek

        L’article Bloomberg Businessweek paru le 3 décembre 2019, évoque les effets des nouvelles technologies sur les magasins de l’alimentaire.

Anciennement, les épicerie devait changer les prix manuellement en s’adaptant à la concurrence locale; Désormais les acheteurs peuvent consulter les prix via leur smartphone donc les épiciers doivent s’adapter.

Eversight vend un logiciel recommandant des changements de prix sur les articles.

Pour les détaillants traditionnels, les avantages de l'automatisation sont importants.

Certains détaillants construisent des entrepôts automatisés qui préparent les commandes en ligne, éliminant le besoin massif d’employés. Cette technologie permet aux vendeurs d’économiser temps et argent tout en fournissant un service plus rapide.

Plus de 90% des achats alimentaires se font en magasins physique.

Les caisses libre service peuvent accélérer les choses. Les caméras dissuadent le vol et l'argent économisé peut couvrir des coûts d'installation.

Le côté sombre de tous ces gadgets fantaisie est leur potentiel de réduction de

la quantité de travail humain dont les supermarchés ont besoin. Un rapport de

mai des consultants en gestion de McKinsey &Co. a révélé qu’environ la moitié de toutes les activités de vente au détail peuvent être automatisées avec la technologie existante. En privé, les employés du commerce de détail se réfèrent aux robots qui nettoient les planchers et scannent les étagères comme des «voleurs d’emplois». Les détaillants affirment que les robots ne remplaceront pas les humains; au lieu de cela, ils permettront aux employés d’effectuer des tâches moins banales, comme assister les clients.

Dans plusieurs continents, des robots sont déployés chez les détaillants afin d’analyser les rayons; réduisant les erreurs de prix

Les activités de vente au détail peuvent être automatisées avec la technologie existante. Les détaillants affirment que les robots ne remplaceront pas les humains; et permettront aux employés d'effectuer des tâches moins banales, comme assister les clients.

Certains détaillants ne veulent pas que des robots parcourent leurs allées.

La touche humaine reste indispensable.

Rien ne garantit que ces technologies fonctionnera suffisamment bien pour fournir le retour sur investissement qui justifierait de larges déploiements.

Pourtant, les détaillants alimentaires ressentent l'urgence.