Documents présentation Valéo

Documents Valéo

Document 1          Présentation de l’entreprise

Les origines du Groupe remontent à la Société Anonyme Française du Ferodo, créée par Eugène Buisson en 1923. Celle-ci était alors spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de matériaux de friction. Cotée à la bourse de Paris en 1932, la société entame son expansion sectorielle en intégrant de nouveaux métiers (conception et fabrication de systèmes d'embrayage, freins, appareils de chauffage, ...).

                En 1980, la société rachète de petites entreprises et prend sous sa coupe des marques d'équipement automobile comme Sofica, Marchal, Cibié, Paris-Rhône ou Ducellier. Elle adopte alors le nom de Valeo, qui en latin signifie "je vais bien". En 1986, Cerus lance une OPA sur le Groupe Valeo, restructure le capital et en devient le premier actionnaire. En 1987, Valeo amorce son développement international, et s'étend en Amérique, en Europe et en Asie. [pic 1]

                Aujourd'hui le Groupe conçoit, fabrique et commercialise des composants, des systèmes intégrés et des modules pour l’automobile et le poids lourd. Il se classe parmi les premiers équipementiers automobiles mondiaux et est l’un des tous premiers acteurs indépendants dans son secteur. Avec une présence sur 27 pays et plus de 60000 collaborateurs, la société compte 109 sites de production, 58 centres de Recherche et Développement et 10 plates-formes de distribution.

                Valeo est présent sur le marché première monte (équipement des véhicules neufs : voitures, utilitaires légers et poids lourds), et deuxième monte (pièces de rechanges), puisqu'il propose aux distributeurs indépendants et aux réparateurs dans 80 pays une gamme complète de pièces détachées et de programmes de service. Valeo compte 4 Pôles, composés de 16 Groupes de Produits, qui sont : Systèmes de Propulsion, Systèmes Thermiques, Systèmes de Confort et d’Aide à la Conduite, et Systèmes de Visibilité.

En 2010,  Valeo a réalisé un résultat net de 365 millions d’euros, soit 3,8 % du chiffre d’affaires. Son chiffre d’affaires s’est élevé à 9 632 millions d’euros soit une hausse de 28 % par rapport à 2009.

Document 2 : Cloud Computing avec Valeo

Lors de la Convention USF les 13 et 14 octobre 2010 à Nantes, dont le thème majeur était « le Cloud Computing », la société Valeo a accepté de témoigner avec oXya de son expérience d'une solution « Cloud for SAP ».

Monsieur Christophe Aubey, DSI de Valeo, et Frédéric de Belloy, Président d'oXya ont animé un atelier intitulé « Les solutions orientées Cloud Computing mises en place dans le Groupe Valeo L'assistance nombreuse a témoigné de l'intérêt actuel des clients SAP pour ce type de solutions.

Valeo a présenté ses choix de solutions Cloud Computing, notamment sa stratégie d'externalisation par fonction : Google Apps, SAP, dans une approche globale, pragmatique et standardisée.

Valeo a insisté sur les nombreux bénéfices apportés par cette solution « Pay as you go », avec une création de valeur pour l'ensemble des utilisateurs, une amélioration de la flexibilité et une optimisation des coûts.

oXya en effet, propose à ses clients une solution de Cloud Computing standardisée à l'utilisateur, avec une prestation de service « all inclusive ». Cette solution conduit à une grande souplesse d'utilisation et de facturation à l'usage des solutions SAP, avec toujours la même garantie de qualité de service oXya.

oXya a su construire pour ses clients une solution simple d'outsourcing SAP à l'utilisateur, basée sur une architecture de data centers redondant afin de garantir tout à la fois une totale sécurisation et une réelle souplesse.

Cloud Computing, Quelles perspectives dans le contexte SAP ? Entretien avec Luc Provost, oXya

Luc Provost, Directeur du Développement oXya, spécialiste se l'infogérance SAP, nous présente sa vision du Cloud Computing.  

L'infonuagique (cloud computing pour nos amis québécois) fait référence à l'utilisation de ressources informatiques anonyme (CPU mémoire, stockages) accessibles via le réseau maillé d'internet. Les utilisateurs, particuliers et entreprises, payent à l'usage l'accès aux applications, sans préjuger de la fréquence, de l'intensité ni de la complexité de leur activité. Le nuage fait référence à ces innombrables ressources à granularité fine, disponibles sur le web. Les bénéfices constatés sont les suivants :

• Disponibilité et performance des applications

• Coûts d'utilisation inexistants ou faibles

• Accessibilité des applications quel que soit le terminal
•   Réponses simples aux besoins de l'utilisateur

La complexité croissante des technologies, la recherche d'économies et une meilleure prédictibilité budgétaire rendent adéquat le concept infonuagique avec la demande sur le marché. Par extrapolation, les attentes des entreprises pour leur système d'information ont évolué :

• La notion de technologie s'efface au profit de la notion de service
• Prédictibilité budgétaire et réduction ses coûts
• La flexibilité du SI doit permettre de s'adapter rapidement aux besoins métiers

Examinons maintenant comment se décline le cloud computing dans le monde des ERP et en particulier dans celui de SAP.

Existe-t-il une offre de type cloud computing pour SAP ?

Le cloud computing a fait ses preuves dans les domaines où les fonctionnalités des applications sont standardisées pour tous les utilisateurs. SAP est un ERP avec une couverture fonctionnelle à spectre large, qui supporte la plupart des fonctions de l'entreprise. Chaque entreprise a son métier, son organisation, ses particularités. SAP, une fois adapté et paramétré, est donc spécifique pour chaque entreprise qui va gérer le domaine fonctionnel dans le cadre d'un centre se compétences interne ou bien en s'appuyant sur un partenaire de TMA. Pour délivrer l'application SAP aux utilisateurs, il faut l'installer sur une infrastructure technique qui doit respecter des contraintes fortes de disponibilité, de performance et de capacité à évoluer. De plus en plus, nos clients demandent d'accéder à cette ressource dans le cadre d'une offre intégrant matériels, logiciels techniques et services de maintien en conditions opérationnelles, site « d'infrastructure as a Service» (laaS).

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Avez-vous une approche mutualisée ou dédiée dans votre offre IaaS ?

La mutualisation, l'utilisation de ressources offshore, la virtualisation, sont avant tout des moyens parmi d'autres pour adresser la problématique de baisse des coûts, voire de flexibilité. Ce n'est pas un objectif en soi de mutualiser. Notre objectif est avant tout de répondre aux bénéfices attendus du cloud computing, avec les moyens qui paraissent les plus efficaces. Un ERP supporte les fonctions vitales de l'entreprise avec une très forte criticité et un besoin de sécurité et de confidentialité sans faille. Toute mutualisation d'une partie d'infrastructure est une faille potentielle. De plus, la réversibilité est d'une facilité incomparable si nous construisons une architecture dédiée pour un client. La solution dédiée est meilleure pour les clients, si elle n'est pas plus chère. Or, là aussi, oXya sait adresser l'aspect économique pour apporter à nos clients au moins les mêmes gains que nos concurrents, qui optent pour des solutions mutualisées. C'est la force de notre équipe d'architectes de trouver ces solutions. Par ailleurs, la ligne budgétaire infrastructure dans une offre IaaS pèse environ 20 à 25% de la facture totale. Nous compensons largement l'écart de prix lié à la solution dédiée, par l'efficacité de notre modèle de service.