La Princesse de Clèves, Mme de la Fayette

TEXTE 1   La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette

Intro : Il est tentant d’établir des comparaisons entre l’auteur et son personnage, elles ont toutes les 2 perdus leur père a l’âge de 15 ans, furent mariés par mariage arrangés et elles sont aussi des femmes de cour.

C’est la première présentation de la princesse a la cour elle a 16 ans et arrive dans un monde qui lui ai encore inconnu.

PB : L’intérêt de ce passage réside dans l’arrivée de ce personnage exeptionnel dans un monde fait d’intrigue de galanterie et de faux semblants .

LECTURE

Annonce Plan : Nous allons voir dans un premier temps quel est l’effet que produit cette beauté sur la cour ou le paraitre est essentiel nous verrons ensuite que le cœur du texte réside dans l’etre et la vertu comme bouclier contre les dangers de ce monde

1ER AXE

UNE BEAUTE IMCOPARABLE EN PERIL A LA COUR OU REGNE L’INTRIGUE ET LA GALANTERIE.

1ere PARTIE

Un portrait canonique idéalisé

A) L’arrivée de la beauté

Apparition suscite de l’admiration

Lexique du regard omniprésent des les premières lignes

Mystère sur l’identité + effet de suspense

Beauté canonique selon les critères de l’époque

B) Un effet de surenchère

Insertion de figure d’amplification

Hyperbole

Tournure superlative

Toutes ces formules sont laudatives .....

Tournure impersonnelle début texte .... conte

On constate que ce portrait stéréotypé assortit d’un discours qui relève d’autre aspects de la cour

Le Paraitre n’est pas esssentiel contrairement aux préoccupations de cette même cour

2eme PARTIE La cour un milieu du paraitre et de l’avoir

Princesse attire les prétendant beauté + prestige naissance

Princesse ignore les dangers, proie facile + pas de père

Entrée périlleuse a la cour or elle peut compté éducation de sa mère

2EME AXE UNE MERE PROTECTRICE FACE A LA DANGEROSITE DE CE MONDE

1) Une mère également extraordinnaire

Mère couverte éloges qualités morales et mise en valeur du terme vertu

Définition de vertu : force vers laquelle l’individu se porte vers le bien et se conforme a un ideal moral

Ainsi L’être est supérieur au paraitre