Sido et Les Vrilles de la vignes, Colette

202

Sido et Les Vrilles de la vignes relate la rencontre entre Sidoni-gabrielle COLETTE et le monde. L’auteure célèbre le monde avec sensualité. Elle fait revivre l’univers de son enfance, exprime sont liens avec la nature et les animaux. Colette est une grande écrivaine du XXI siècles. Elle a été honorée de plusieurs prix et distinction tout au long de sa vie. En 1948 Colette a été la première femme à être élu membre de l’académie Goncourt qui est une prestigieuse institution française de littérature. En somme elle a été une figure majeure dans la littérature française. En 1908 Colette publie le récit « Les Vrilles de la vignes ». C’est un récit intime d’autofiction ou colette évoque sa vie après son mariage raté. En 1930 elle publie le récit « Sido ». Il évoque se famille et elle fait revivre l’univers son enfance à travers ses anecdotes écrite de manière poétique. En quoi les différentes célébrations dans « Sido » et « Les Vrille de la vignes » révèlent-elle les multiples facettes de la condition humaine et de la nature ? Pour commencer, l’éloge de la nature. Ensuite la célébration de sa famille. Enfin les petits moments de la vie quotidienne.

    Colette fait l’éloge de la nature. Les deux œuvres abordent un même thème qui est celui de la nature. Dans ces deux recit la nature et celle qui passent avant tout. Le champ lexical de la nature est beaucoup utilisé. « Sido aimait les jardins de couleur rouge, rose… les bâtons de saint-jaque… ».  Les végétaux sont nommés avec plaisir. Les jardins sont décrits comme l’art de vivre. Ce que Colette aime dans la nature se sont surtout les saisons, le paysage n’est jamais le même. Les feuilles tombent ou elles changent de couleur, l’odeur n’est plus la même. Elle considère les jardins comme le paradis. La nature est signe de paix, de liberté. Elle est sublimée mise en avant. Le bonheur de colette et directement lié a celui de la nature.

    L’éloge de la nature n’est pas la seule célébration que colette veut faire passer aux lecteurs. Sido, sa mère est décrite par colette comme un personnage éponyme, charismatique, douce, protectrice. L’amour de la nature par Colette a été transmise par Sido qui avait une passion amoureuse pour la nature. Un jour Colette raconte que son voisin était décédé, sa famille à demander à Sido de couper ses roses pour en faire un bouquet pour son enterrement, Sido a refusé elle ne voulait pas tuer ses fleurs pour en faire un bouquet. Elle a appelé le voisin « messieurs Enfers ». Sa mère l’incitait à jouer courir découvrir le jardin. Colette avait une relation mère fille très fusionnelle. « Je la chante de mon mieux ». Le père anciens militaire, le capitaine est décrit comme très discret, taiseux. Elle lui dédit un chapitre « projet paternelle rater ». C’est à sa mort quelle a appris que son père avez une passion pour l’écriture. Elle veut donc finir son projet « un mirage d’une carrière d’écrivain ». Ces frères, appeler par Sido « Les sauvages ». Ils ont des caractères décrire par colette très drivèrent et une sensibilité éloigner. C’est à cinquante-sept ans que colette les fait revivre. La personnalité de colette ressemble beaucoup à celle de sa mère mais elle a pris la passion de son père. Elle mesure précisément se quelle leurs doit.