Note De Synthèse De Rapport De Stage - Gestion De La Trésorerie- Samir

description des différentes techniques utilisées d’une façon standard à celle utilisé par la société SAMIR.

La deuxième partie exposera travers une analyse SWOT, les différents points forts et faibles de l’entreprise, ainsi que les opportunités et les menaces.

La troisième partie développera d’une manière plus détaillé le thème de ce présent rapport de stage.

La quatrième partie sera consacrée aux conclusions et recommandations pour l’entreprise.

La société SAMIR organise son travail de gestion de trésorerie à travers l’élaboration d’un planning de diverses opérations.

Entre le contrôle des règlements et des encaissements, s’affiche le grand rôle du trésorier, une responsabilité qui ne donne pas droit ni à l’erreur ni à l’omission.

Des factures avec des sommes importantes, des fournisseurs trop exigeants, des banques peu flexible, une pénurie de liquidité, c’est avec ces mots que nous pouvons décrire les difficultés du département trésorerie et règlement.

Une activité industrielle pétrolière dans un marché national presque saturé, et un marché international incertain, dépendants des changements politiques, économiques et naturels, la pérennité de l’entreprise devient l’objectif prioritaire des décideurs de l’entreprise.

Face à des menaces de concurrence locale ainsi que des autorisations d’importation des produits finis et produits dérivés, la SAMIR relance une politique d’optimisation des couts, et s’aventure dans des investissements énormes.

Toutes ces conditions économiques, managériales, rend la SAMIR un vrai laboratoire de gestion.

La première partie apporte une définition et des explications sur la signification de la gestion de trésorerie. Pour cela j’ai présenté trois approches, une approche par constations, qui est assez simple, rapide, elle reste incomplète, mais nécessaire pour entamer la deuxième approche qui est l’approche par flux.

Cette seconde approche est plus dynamique, elle vient pour tracer la source ou le processus de la trésorerie de fin période, à travers une équation simple qui est :

Trésorerie de fonds période = encaissements de période + trésorerie de début de période – décaissements de période.

Pour compléter la définition de la trésorerie, la troisième approche vient pour lui donner une explication à travers le bilan d’une société, pour enfin finir avec l’équation suivante :

TN = Fonds de roulement – besoin en fonds de roulement.

Après avoir développé les trois approches, je présente un chapitre qui nous familiarise un peu plus avec la trésorerie, qui est l’évolution de ce métier à travers l’histoire au Maroc. Comment ce métier été attribué aux comptables, avant l’évolution et l’émergence qu’a connu le marché des produits financiers, et l’évolution du rôle de la banque (de l’ennemie au partenaire), les entreprise ont senti son importance, et il est devenu obligatoire de séparer ce métier de celui du comptable, pour avoir à la fin des années 80 des département de trésorerie.

La société SAMIR a suivi l’évolution, et ce n’est que dans les années 90 qu’on va avoir un département de trésorerie autonome.

Plus profonds dans mon rapport nous allons voir le fonctionnement de la trésorerie dans la société, ce fonctionnement qui ne diffère pas des autres sociétés de même tailles, sauf dans quelque détails liées plus au risque que cour le marché monétaire, qui peut affecter la trésorerie de la SAMIR.

Plus loin, je vais évoquer des notions indispensables au domaine de la trésorerie, celles du CASH FLOW, les prévisions, l’équilibre de trésorerie.

Après avoir clôturé le chapitre concernant le fonctionnement de la SAMIR, nous allons passer à un nouveau, celui de la description de la gestion des insuffisances et excédents de trésorerie.

SAMIR comme toute autres société dans le monde réalise des hauts et des bas de son tableau de trésorerie, l’essentiel se présente dans la manière avec la quelle le gestionnaire gère ces fluctuations.

Pour les situations où la trésorerie et excédentaire, le trésorier se rassure de l’équilibre de tout les comptes de banques, pour cela un progiciel est mis en place, si c’est le cas le responsable commence à réfléchir sur des placements à court terme, en prenant en compte tout les décaissements prévisionnels.

Dans le cas contraire, et c’est souvent le cas pour SAMIR, le responsable fait recours à des techniques comme les recouverts bancaires, des crédits spots, les facilités de caisse, ainsi que les crédits documentaires.

Une des techniques utilisées par SAMIR est les lettres de crédit, j’ai donné un exemple, sous forme d’un schéma récapitulatif.

La troisième partie porte le titre de la gestion de trésorerie de la SAMIR en temps de crise. Cette partie est considérée comme le cœur de la présentation, car il retrace l’optique du risquer que cour l’entreprise.

J’ai présenté les différentes situations de crise de trésorerie, crise de croissance, crise par erreur financière, crise de rentabilité, crise d’activité, crise de gestion et la situation idéal, avec les solutions proposées afin de remédier à chaque type de crise.

Le deuxième chapitre dans la troisième partie traite les menaces que court l’entreprise, celles-ci sont présentées dans un tableau SWOT.

Ce tableau est complété suite à une enquête réalisée à travers des entretiens avec les différents responsables de services et de départements de la direction générale.

Le troisième chapitre concerne l’optimisation de la gestion de trésorerie, grâce à plusieurs techniques de prévention de risque, et de profitabilité de la trésorerie de la société.

Partant de la matrice préliminaire qui montre que la rationalisation du besoin de fonds de roulement plus l’optimisation de la profitabilité, engendre l’optimisation de la trésorerie.

En fin de la troisième partie, je présente un chapitre qui lie l’analyse financière et la gestion de trésorerie, en détaillant de plus un bilan fonctionnel.

Dans la partie recommandations et solutions, j’ai proposé plusieurs solutions que j’ai pu synthétiser avec l’aide de mon encadrant à la SAMIR, et ils sont présentées comme suit :

Prendre des actions au niveau du haut du bilan

Par exemple :

. Augmentation de capital.

. Augmentation de l’autofinancement.

. Augmentation des emprunts à moyen et long terme.

. Diminution de l’actif immobilisé.