ADM1402 TN1 Entreprise et société
Étude de cas : ADM1402 TN1 Entreprise et société. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Philou1989 • 19 Septembre 2022 • Étude de cas • 2 059 Mots (9 Pages) • 435 Vues
ADM 1402 | TRAVAIL NOTÉ 1 |
Entreprise et société |
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Entreprise et société |
TRAVAIL NOTÉ 1
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Dans le monde d’aujourd’hui, le commerce international est très important pour les PME et les plus grandes organisations d’un pays. Plusieurs traités sont signés entre les pays pour favoriser ces échanges et réduire les barrières commerciales. L’ALÉNA, signé entre le Canada, les États-Unis et le Mexique permet d’abolir les tarifs douaniers sur une grande majorité de produits lorsqu’ils transigent entre ces trois pays. Évidemment, plusieurs autres traités commerciaux existent, mais pour ce travail nous nous concentrerons sur celui signé entre le Canada et l’Union européenne à l’automne 2016. Nous tenterons d’analyser les différentes répercussions et conséquences sociales et économiques et ce qui a amené le Canada et L’Union européenne à s’entendre après plus de 7ans de négociation. En résumé, quels sont les événements qui ont mené à la signature de ce traité et quelles en sont les conséquences sur les compagnies locales? Lors de l’analyse, nous verrons que les répercussions de cette entente ne sont pas seulement positives pour les PME du Québec et du Canada. Nous tenterons également de comprendre pourquoi certains groupes et pays européens étaient opposés à la création d’un traité de libre-échange avec le Canada. Que ce soit en termes de parts de marché perdu au profit de produits européens ou la perte d’un contrat par une compagnie européenne. L’analyse nous permettra également de voir à quel point l’État avec ces différentes législations peut influencer le commerce autant local qu’international. En effet, les traités sont en fait des ententes mutuelles entre deux États pour favoriser leur commerce. Nous analyserons également l’impact de ce traité sur des industries québécoises qui verront plusieurs compagnies européennes venir les concurrencer. Au niveau de l’actualité, il sera intéressant de voir comment l’élection récente à la Présidence française d’un banquier de formation aura une influence sur les ententes futures entre le Canada et l’Union européenne.
Le premier article utilisé pour cette analyse est celui de Maxime Vaudano[1]. Cet article explique très bien les différentes embûches autant au niveau du Gouvernement canadien qu’au niveau du Parlement européen pour en venir à une entente concernant le traité de libre-échange. Au niveau des embûches, nous retrouvons l’opposition de quelques pays européens notamment la Belgique quant à la signature du traité, puisque ceux-ci le voient comme une menace envers les producteurs et productions locales au détriment des produits internationaux de même catégorie. Il explique également les modes d’application des différentes facettes du traité et leur mise en application. Il nous aide donc à comprendre pour pouvoir analyser les situations sociales et économiques précédant la signature du traité. L’article énonce également les conséquences du traité sur plusieurs aspects de la société, il est donc primordial étant donné que nous voulons analyser les conséquences socioéconomiques du traité de libre-échange. On retrouve dans l’article de Vaudano une série de produits et services qui sont contenus dans le traité, mais également une liste de produits et services qui ne le sont pas. Il y a également une section vidéo sur l’article même qui résume et amène des éléments supplémentaires sur les conséquences du traité libre-échange entre le Canada et l’Union européenne.
Le deuxième article utilisé pour cette analyse est tiré de La Presse et écrit par le journaliste Mike Blanchfield[2] qui résume les événements précédant la signature du traité économique entre le Canada et l’Union européenne. L’article parle également des signatures partielles précédant la signature officielle par les deux Parlements. L’article aborde les différents secteurs d’activités touchés par la signature du traité et les différentes étapes restantes pour s’assurer que le traité soit viable autant pour le Canada que pour l’Union européenne. Il sera important de voir, notamment dans les autres articles sélectionnés, quelles sont les mesures qui seront prises pour régulariser les ententes et les futurs conflits entre différentes entreprises. Il comporte également des citations des partis importants impliqués dans la signature du traité autant les officiels Canadiens que ceux du Parlement européen. Cet article est important pour comprendre les événements, les situations sociales et les signatures de principes qui ont précédé la signature officielle de 2016.
Le troisième article est celui de Gérald Fillion[3] qui nous énumère 10 points importants à savoir sur les conséquences économiques et sociales du traité entre le Canada et l’Union européenne. Cet article est très important pour l’analyse puisque la question proposée est justement d’analyser les événements et conséquences socioéconomiques du traité tant au Canada qu’en Europe. Il nous fournit également des chiffres des augmentations de parts de marché pour plusieurs produits au niveau des importations et exportations des différents produits. Il évoque également la création d’un tribunal indépendant qui servira à régulariser et légiférer les différents ententes et conflits possibles entre des entreprises canadiennes et européennes à la suite de la signature du traité. Dans son article, monsieur Fillion prend plusieurs aspects de la société et des différentes industries et analyse les conséquences du traité sur celles-ci. Cet article est très utile puisqu’il résume très bien dans des termes très clairs les différents impacts économiques du traité sur différents secteurs d’activités comme les exportations de viandes, de fromages, etc. Il parle également des différents impacts sur les compagnies d’ici de ces augmentations sur leurs parts de marché et sur la perte possible de contrats.
Le quatrième article est celui d’Ariane Krol.[4] Madame Krol parle dans son article des situations sociodémographiques différentes entre le Canada et les pays européens. Elle dresse la situation politique du traité qu’elle voit comme un vent de fraîcheur par rapport aux autres traités considérés comme « protectionnistes ». Elle parle également du besoin pour les PME canadiennes et québécoises d’exporter vers les marchés européens. Elle propose que le traité soit une source de motivation économique surtout pour les pays européens qui ont été récemment largués par le Royaume-Uni avec son retrait de l’Union européenne. Elle propose également que ce traité soit une opposition aux États-Unis de Donald Trump qui ont adopté, depuis son élection, plusieurs lois protectionnistes. Toutes ces facettes vont nous aider à comprendre les conséquences sociales pour la population canadienne et européenne. Elle énonce également que plusieurs catégories de produits et services sont dans une « zone grise » avec ce traité et que cela inquiète les consommateurs et les travailleurs qui travaillent dans ces industries.
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