Le diplome et l'emploi
Étude de cas : Le diplome et l'emploi. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Bonjour Aurevoir • 26 Octobre 2015 • Étude de cas • 368 Mots (2 Pages) • 991 Vues
Franceinfo.fr
Ce document nous apprend que 37% des bac + 5 sont au chômage un an après l’obtention de leur diplôme, soit plus d’un sur trois et plus d’un jeune sur deux, titulaire d’un master, ou d’un doctorat obtenu au printemps 2013, n’a toujours pas décroché un premier emploi
Cereq
D’après le document 1 du CEREQ qu’en 2013, le taux de chômage des jeunes actifs non diplômés, 3 ans après leur sortie du système scolaire s’élevait à 48% alors que pour l’ensemble des jeunes actifs, il n’était que de 22%, soit environ2 fois moins. On constate en outre que plus la durée des études est longue, plus le taux de chômage est faible: 25% pour les diplômés du secondaire (niveau bac), 11% pour les diplômés du supérieur court (bac+2à 4) et seulement 9% pour les diplômés du supérieur long (au moins bac+5).
On note cependant des écarts importants à l’intérieur de ces catégories selon le type de diplôme: les diplômés des métiers de la santé et du social n’ont par exemple qu’un taux de
Chômage de 2% et les ingénieurs de 4% alors que les titulaires d’un seul Master 1 ont un taux de chômage de 14%
Lemonde.fr
En temps de crise, avoir un diplôme protège les jeunes contre le chômage, qui est presque cinq fois plus important chez ceux qui n'en ont pas, spécialement ceux issus d'un milieu défavorisé ou de l'immigration, selon une étude publiée mercredi 4 décembre par l'Insee.
A partir de 2009, la crise a rendu encore plus difficile l'insertion professionnelle des jeunes, mais tous ne sont pas armés de la même façon : en 2012, le taux de chômage constaté chez les non-diplômés, un à quatre ans après la fin de leurs études, était de 47 %. Contre 10 % chez les diplômés de l'enseignement supérieur.
Les sans-diplôme (catégorie incluant les jeunes ayant juste le brevet des collèges) ont, en outre, les emplois les plus précaires. Même quand on n'a pas de diplôme, le niveau d'études joue encore : les jeunes sortis de terminale trouvent plus facilement un emploi que ceux ayant arrêté après un certificat d'aptitude professionnel (CAP) ou un brevet d'études professionnelles (BEP). Et ce sont les jeunes décrochant après la troisième qui sont davantage victimes du chômage.
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