Note structuré : la formation des salaires en France
Cours : Note structuré : la formation des salaires en France. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Leornardo Sharkq Mikhaïlovitch • 8 Juin 2017 • Cours • 1 063 Mots (5 Pages) • 1 247 Vues
Note structuré : la formation des salaires en France
Introduction :
Selon une étude de l’OFCE, de 1960 à 2004, le salaire net des français est passé de 9900 à 22500 ce qui montre que le salaire a été multiplié par 2,3 en 44ans. Mais sous certaine stabilité, ces chiffres cachent des disparités avec la montée des très hauts salaires et la dégradation relative qui ne profite ni à la hausse du Smic ou encore aux prestations sociales minimales. Nous pouvons aussi rajouter que la richesse peut être défini comme la somme des valeurs ajoutées dans l'économie. Cette création de richesse engendre des flux de revenus qui intéressent les économistes surtout du point de vue de leur répartition entre les différents agents économiques participant à la production. Si les travaux d'Adam Smith ont été prolongés et amendés, il n'en demeure pas moins que la question de la répartition des revenus fait toujours débat de nos jours en France.
Dans un premier temps nous allons parler des inégalités de salaire en France, en suite nous allons aborder les facteurs économiques et sociaux contribuant à la formation des salaires et pour conclure nous allons voir les actions de l’Etat pour réduire ces inégalités de salaire.
1 les inégalités de salaire en France :
Nous pouvons voir qu’entre 2007 et 2008, la progression de salaires dans certains secteurs, exemple : nous voyons que dans cette grille salariale, le secteur de l’hébergement et de la restauration, est le secteur où l’on paye le moins bien avec en SMIC de 1501euros en 2007, avec une hausse de 3,2% en 2008. Nous remarquons que le secteur des services c’est-à-dire, fabrication de denrées, construction, commerce et réparation… sont les secteurs ou les salaires sont les moins élevés et qui compte le plus grand nombre d’employés. Nous voyons aussi que le secteur de l’industrie extractive ,information communication, immobilier, ou encore bien la fabrication d’équipement est le deuxième secteur le mieux payé, avec un salaire moyen de 2100euros et une progression moyenne d’environ 2,7% en 2008, et finalement nous voyons que le secteur dit prémium qui sont la cokéfaction et l’activité financière, car c’est les secteurs les mieux payé avec un salaire d’environs 3000euros, nous voyons qu’en 2008 le secteur du raffinage connait une augmentation de 5,3%, globalement nous voyons que entre 2007-2008, nous constatons une progression de 3,3%.
Nous voyons qu’en 1949, le salaire moyen par tête réel dans l’industrie était inférieur de 30% à celui dans les services, mais nous remarquons qu’en 2007, la tendance c’est inversé avec une augmentation de +8% en faveur de l’industrie ce qui pourrait s’expliquer par la structure des qualifications, le développement spécifique du travail à temps partiel dans le tertiaire et aussi grâce a un pouvoir de négociation aussi plus importante.
Nous remarquons aussi qu’il existe une inégalité de salaires dans diffèrent type de catégorie socioprofessionnelle exemple : un cadre y compris les chefs d’entreprises gagnent en moyenne 48,242euros annuelle, les employés de type professions intermédiaires tourne en moyenne vers 26,568euros et les autres c’est-à-dire employés et ouvriers tournent vers les 18,658euros.
2 les facteurs économiques et sociaux contribuant à la formation des salaires:
Le revenu salarial d’une personne est la somme des salaires qu’elle a perçus dans une année, sachant qu’elle peut avoir changé d’emploi, modifié sa durée de travail, connu des épisodes de chômage... Parmi les hommes âgés de 26 à 54 ans travaillant dans le secteur privé, les inégalités de revenu salarial ont augmenté dans les années 1980, puis ont diminué dans les années 1990 et 2000. Elles ont finalement retrouvé leur niveau de la fin des années 1970.
Nous voyons qu’y a plusieurs facteurs qui contribuent à la formation des salaires, exemple l’internationalisation avec son processus d'intégration des marchés qui résulte de la libéralisation des échanges, de l'expansion de la concurrence, et aussi du résidu qui peuvent aussi contribuer à la fixation des salaires. En fixant un smic, elle aide à réduire les inégalités, la négociation collective aide aussi à réduire le risque de faible rémunération. D’après certains économistes, le fait de fixer un salaire minima nuirait plus à l’économie car, le salaire minima entraine une distorsion sur les marchés du travail qui se traduit inévitablement par une baisse de la demande de main-d’œuvre, et donc logique par une hausse du chômage ou de l’emploi informel, et aussi que cette fixation de salaire entrainerait des effets négatifs involontaires sur les travailleurs dans le cas où le salaire minima est trop élevé.
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