Crise economique au Maroc
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Selon Zagat'z 2009 U.S. Hotels, Resorts & Spas survey, les voyages d'affaires ont décru l'an passé suite à la récession. 30 % des personnes interrogées déclaraient voyager moins pour affaire tandis que seulement 21 % affirmaient voyager plus. Les raisons de ce déclin incluent des changements de la politique des entreprises dans ce domaine, l'incertitude économique, et les prix élevés du transport aérien. Les hôtels répondent à cette baisse par des promotions et des négociations avec les hommes d'affaires et les touristes
Pays les plus affectés par la crise
Si la crise affecte tous les pays, certains sont plus touchés que d'autres. Trois indicateurs permettent de mesurer l'impact de la crise et de dresser un tableau d'ensemble : les dévaluations, la baisse des cours des actions et la montée des "spreads" (différentiel de taux d'intérêt) des obligations émises pour financer les budgets publics. Selon le International Economics Bulletin de juin 2009 de la Carnegie Endowment for International Peace trois pays d'Europe de l'est - Hongrie, Pologne, et Ukraine - tout comme l'Argentine et la Jamaïque sont les pays les plus touchés par la crise. À l'inverse, parmi les pays développés seule l'Australie évitera l'entrée en récession.
Synthèse de la définition
Comme on peut la remarque la crise économique à épargner peut de pays tel que La chine qui continue son Boom économique entamé depuis quelques années.
La principale caractéristique c’est l’effet domino, c’est-à-dire un pays tire ses voisins et collaborateurs vers le gouffre .Ce qui rend la prise de décision plus délicate car il s’agit plus de sauver un ou 2 pays mais toute une économie mondiale basé sur le libre échange et caractérisé par des transactions boursières gigantisime.
Cette situation comme attendu n’as pas épargne le secteur touristique mondiale qui à vu sans activité dégringolé, cela est expliqué généralement par le sentiment d’insécurité ressenti par les touristes qui préfères économiser sur des besoins secondaire, en prévisions des mauvais jours.
2. Le Maroc fasse à la crise économique
A l’instar des autres pays de la planète, le Maroc est touché par la crise affectant l’économie mondiale.
Les effets se font sentir notamment sur le montant des transferts des marocains résidant à l’étranger. C’est, on le sait, l’un des premiers apports en devises du Maroc0 le problème, c’est que ces travailleurs marocains vivent et travaillent dans des pays dont les économies sont frappées de plein fouet par la crise. La situation devenant difficile, certains d’entre eux revoient à la baisse le montant de leurs transferts.
Un mouvement que l’on évalue précisément, – 15 % sur le premier trimestre de cette année
Autres effets de la crise économique internationale sur l’économie du Maroc, c’est son impact sur le marché de l’emploi.
Se basant cette fois sur les chiffres donnés par le ministre marocain de l’emploi et de la formation professionnelle. Des chiffres qui font apparaître une baisse dans plusieurs secteurs d’activités (- 10 % dans l’industrie des équipements automobile, – 13 % dans l’électronique, – 8 % concernant l’habillement). Un signe d’espoir toutefois pour ce dernier secteur, c’est la forte reprise des exportations en mars et en avril, elles ont enregistré un bond de 40 %. Le ministre marocain souligne aussi que plusieurs secteurs sont affectés, d’autres sont en pleine croissance comme l’industrie de l’aéronautique (+ 24 %), ou encore le secteur des centres d’appel où les emplois progressent de 9 %.
3. Le secteur touristique Marocain.
A vec la crise qui dure, le secteur du tourisme connaît de fortes pressions. Non seulement les arrivées et les nuitées dans les établissements d’hébergement classés sont en baisse, mais les touristes consomment moins durant leur séjour. Leur comportement actuel tranche avec celui des années 80 et même 90 durant lesquels beaucoup dépensaient sans compter. En guise d’illustration, des professionnels de Marrakech aiment à raconter l’histoire d’une grande personnalité étrangère qui avait laissé un pourboire d’un million de DH au personnel d’un grand palace de la ville. De nos jours, ce genre de touriste n’existe pratiquement plus.
Le phénomène est moins flagrant à Casablanca car la ville a, dès l’origine, eu une vocation pour le tourisme d’affaires, et accueille de plus en plus une clientèle plutôt aisée, arabe et d’Afrique subsaharienne qui achète beaucoup. Mais la capitale économique reste une exception.
Le changement de comportement peut être expliqué par le niveau des prix des chambres. «Dans la mesure où les agences de voyages négocient avec les hôteliers des prix très bas (par exemple jusqu’à 180 DH la nuitée dans un 4*), qu’elles revendent à 250 ou 300 DH, il est normal que nous n’attirions plus qu’une clientèle à faible pouvoir d’achat qui consomme peu».
Les objectifs et l’impact Micro-économique
Les écarts entre les réalisations et les résultats escomptés de la «Vision 2010»
S’expliquent par plusieurs facteurs d’ordre conjoncturel et structurel. Sur le plan
Conjoncturel, le secteur touristique national a subi de plein fouet les effets négatifs de la
Crise économique et financière qui a affecté les principaux pays émetteurs depuis 2008. A
Cela s’ajoutent les plans d’austérité annoncés par l’Espagne, la France, l’Allemagne et le
Royaume-Uni, et qui se sont répercutés négativement sur le moral des ménages3 les
Poussant ainsi à compresser leurs dépenses et à réduire leurs budgets consacrés aux
Voyages.
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