Economie

ts progressent du fait de la répartition des gains de productivité et les revenus indirects accroits à travers la redistribution et les biens collectifs offerts par les pouvoirs publics et les organismes de sécurité sociale (éducation, santé, etc.).

On constate que l’emploi est un facteur de production nécessaire à la croissance, plus il y a de demande, plus la production augmente et il y a donc création d’emplois. C’est donc le mécanisme

Keynésien avec la demande effective. Ensuite si la production est en hausse cela génère des emplois donc de nouveaux salaires sont distribués, c’est pourquoi il y a production. LA croissance économique est donc un facteur de réduction des inégalités.

Ensuite, l’impôt et l’état sont des facteurs qui permettent de dire que la croissance et une condition nécessaire à la réduction des inégalités des PDEM.

En effet, l’impôt est une cotisation exigée par l'Etat ou les collectivités locales afin d'assurer les dépenses publiques. Cette cotisation permet de réduire les inégalités des revenus et celle-ci peut être calculée grâce au coefficient de Gini. Ce dernier mesure le degré d'inégalité de la distribution des revenus dans une société donnée, développée par le statisticien italien Corrado Gini.

Pour finir, on s’aperçoit que l’état intervient en tant que producteur de biens collectifs. Cette production entraîne donc une diminution des inégalités économiques, sociales et culturelles (l’accès à la formation, les infrastructures …).

Nous venons de voir que la croissance économique est une condition nécessaire et un moyen de réduction des inégalités entre les pays développés à économie de marché. Cela principalement grâce aux revenus en augmentation, à l’impôt ainsi qu’à l’état pour augmenter le PIB d’un pays. Cependant, nous allons à présent constater qu’il existe d’autres moyens pour réduire les inégalités.

II - … Mais, elle ne suffit pas à réduire toutes les inégalités.

La croissance économique ne suffit pas pour réduire toutes les inégalités entre les pays développés à économie de marché.

On peut voir en premier que les ’inégalités économiques sociales et culturelles sont nombreuses entre les pays du tiers monde et notamment dans les PDEM. En effet, la croissance est inégalitaires dans ces pays ce qui désavantages certains pays qui ont moins de moyens financiers et matériels. Les inégalités sont encore aujourd’hui trop nombreuses et difficiles à atténuer avec la croissance économique en baisse. Ces inégalités entre les pays génère une exclusion ce ceux-ci.

De plus, si la croissance diminue, le PIB du pays en question diminuera également et cela entraînera une croissance inégalitaire c’est-à-dire que la croissance sera rapide et inégalement répartie entre les dépenses d’un pays. On peut le voir notamment dans l’éducation. Plus les moyens financiers et matériels sont importants plus les dépenses pourront être utilisées à bon escient et au contraire la dégradation du secteur se fera ressentir. Les inégalités ne dépendent donc pas seulement de la croissance économique.

Enfin, les charges, les impôts et les taxes sont inégalement répartie. Il y a de plus en plus de charges sur les salaires pour les ménages, ceci n’encourage pas à travailler et les entreprises ne sont pas motivées à embauchées vu les différentes taxes de plus en plus importante. Il y a donc une démotivation et une inégalité selon les pays et les individus. On constate que si le pouvoir d’achat et les salaires des citoyens diminuent, la croissance aura tendance à baisser ce qui accroit les inégalités entre les PDEM.

On peut ainsi conclure que la croissance économique permet de réduire les inégalités des pays développés