Economie

elon celle-ci, le temps qu'un individu accorde au travail et le temps qu'il désire lui accorder. Si une personne fait du temps supplémentaire, c'est donc un choix personnel. Si une personne est en chômage, c'est de nature volontaire aussi. C'est donc un paradigme qui est régit par les choix individuels, des prix et des marchés. Enfin, voyons voir comment les trois théories suivante ressemblent de peu ou de loin à la vision néo-classique afin de voir pourquoi celles-ci font partie de ce paradigme important.

Dans ce paradigme se retrouve trois grands axes. Tout d'abord, il y a la théorie du capital humain ou on tente d'analyser les décisions que prennent les humains en ce qui a trait à l'importance que ceux-ci accordent aux études. Dans cette vision, les humains considèrent leur propre capital humain comme un investissement. Cet aspect influence donc les choix des individus quant aux nombre d'années qu'ils accorderont aux études, le temps, l'argent et ainsi de suite dans le but de s'offrir un futur prospère et viable. Cette théorie apporte une prolongation au néo-classique. Le paradigme néo-classique met en relief le caractère de l'offre du travail dans un marché en concurrence parfait alors que cette théorie du capital humain apporte l'aspect de la qualité de ce qu'on offre sur le marché. En effet, on tente de comprendre l'économie sous un angle ou les gens investissent dans leur propre capital humain afin de pouvoir s'offrir de meilleurs salaires. Ce n'est donc pas ici la quantité de postes offert, mais bien une analyse qui met l'accent sur la qualités de ces postes en ce sens ou les humains évalues grandement le salaires, les conditions offertes etc. Enfin, les gens investiront à l'école selon leur envie d'accroitre leur chance d'avoir un emplois précis ou plus d'une possibilité de carrière.

Ensuite, j'introduirai la théorie de la prospection d'emploi, celle-ci faisant aussi partie du grand paradigme néo-classique. En fait, cette théorie s'attarde particulièrement aux choix que les humains prennent quant à leurs décision d'accepter un emploi, ou de préférer être sur le chômage et tenter de trouver meilleur travail, avec de meilleurs salaires . Il est donc question ici de parler de chômage volontaire, qui est le fruit de personnes qui refuse le salaire que le marché offre. Je pourrais amener comme point que cette théorie est un peu la continuité de celle du capital humain car le fait d'avoir de plus hauts standards de qualité au niveau des postes ( capital humain)pousse les gens à devenir sélectif. En effet, dans la théorie de la prospection d'emploi, on fait un choix, on filtre les emplois ce qu'on désire. Si rien ne s'offre à nous, on se retire et se mettre en chômage afin de regarder les perspectives d'emploi et de bien explorer les possibilités. Comme une des grandes lignes du paradigme néo-classique, la théorie de la prospection d'emploi refuse de penser que qu'il puisse exister des failles sur le marché. Afin de faire un lien avec le néo-classique, on croit ici dans cette théorie que les déséquilibres sont absents, tout comme un marché en concurrence parfaite, et qu'aucune personne soit en situation non désirée de chômage.

Enfin, pour conclure avec le grand paradigme néo-classique, je parlerai de la dernière mais non la moindre, la théories des contrats implicites. Tout comme les deux précédentes, cette théorie s'inspire du néo-classique. Elle tente de comprendre pourquoi les salaires sont si inflexibles lors de périodes de conjoncture économique. De plus, elle s'intéresse au phénomène des mises à pied. On met en relief ici l'impact des syndicats dans la mise en oeuvre de contrats. L'analyse des contrats implicites repose sur le fait que les travailleurs préfèrent avoir l'assurance d'un salaire correct dans le but d'être protéger dans la cas d'une baisse économique de leur employeur. Il préfèrent donc subir de temps a autre certaines mises a pieds temporaire que de voir leur salaire réduit. Dans ce contexte, il y aura donc plusieurs personne en chômage, cependant, les salaires des gens qui eux travaillent encore seront restés intacts. Cet ajustement du nombre d'employés expliquerait pourquoi les salaires ne baissent pas lors de conjoncture. Cependant, leur stabilité d'emploi fera en sorte que si l'entreprise pour laquelle ils travaillent fait un profit énorme, ils n'en bénéficieront pas non plus. Cette assurance d'emploi est souvent régie via des ententes syndicales et patronales, comme une convention collective par exemple, ou d'autres formes de contrats de travail. C'est donc de dire que même si cette théorie a un volet contractuel et qu'au sein de la théorie néoclassique, les syndicats et les institutions sont une nuisance allant à l'encontre du fonctionnement naturel des marchés, elle s'inscrit dans un vision néoclassique. En effet, le caractère individualiste de ses grandes lignes ainsi que l'accent sur les prix et le marché converse la théorie des contrats implicites dans ce paradigme. Je parle ici d'individualisme car cette théorie considère que les travailleurs et employeur font chacun des choix personnels.

Maintenant, j'introduirai le paradigme institutionnaliste. Au contraire du néoclassique, celui-ci admet la présence des institutions au sein de marchés. Il fait l'état de faits qui sont vrais et observables. Au lieu de partir d'une théorie pour étudier des faits, on étudie des faits afin d'en faire ressortir une théorie si je peux dire. En fait, on observe des faits pour en analyser les processus. Au contraire du paradigme néoclassique qui est plutôt individualiste, il est question ici d'actes individuels régit par les actions collective. De plus, dans ce contexte, on n'admet pas la possibilité d'équilibre car on considère dans ce paradigme que l'économie est un système changeant en constante évolution. Voyons voir maintenant comment les trois théories qui vous seront présentées considère qu'un modèle unique de marche concurrentiel parfait ne peut être l'unique mode d'analyse d'une économie globale.

Pour débuter, parlons un peu de la théorie de la régulation. Tout d'abord, cette théories s'intéresse principalement aux phénomènes de croissance, crise ainsi qu'à celui de l'inflation. Celle-ci considère que c'est grâce à un système de normes, de loi, ainsi que des conventions collectives qu'une économie fonctionne. C'est ici qu'on met en évidence des régularités qui visent à assurer son bon déroulement. Ces régularités sont possible puisque des négociations prennent place et donnent naissance à des contrats collectifs. Par exemple, une convention collective signée entre un syndicat et un employeur assure que certaines régularité, comme le salaire, seront maintenues. Enfin, tout comme le grand paradigme institutionnaliste, la théorie de la segmentation considère que de contrôler certains aspects de l'économie, que cela passe par des lois des misent sur pied par un gouvernement sur les heures maximales de travail ou par des contrats formels ou informels négociés au seins des organisations, assure le bon déroulement des marchés.

Ensuite, le théorie de la segmentation affirme que le salaire n'est aucunement une variable qui assure le plein emploi puisque celui-ci ne s'ajuste pas '' en criant ciseau'', au contraire des néo-clasique. Celle-ci ne considère pas que les imperfections du marché comme un déséquilibre mais bien plus de réalités et les voient même comme essentiels et son au centre de l'analyse de la segmentation. Cette théorie nie le fait d'un marché ou les emplois sont tous regroupé dans même paquet et donne naissance à trois secteurs sous-divisés : le secteur primaire supérieur, primaire inférieur et secondaire.

Pour poursuivre, la théorie des marchés internes s'oppose fortement au jeu des prix concurrentiel. En fait, cette théorie va encore à l'encontre du paradigme néo-classique. Celle-ci considère que se sont les conventions et les formes institutionnelles qui doivent être en premier plan alors que pour les néo-classique, ce sont les marchés et les prix qui sont la base d'analyse. Elle s'intéresse plus particulièrement à l'étude de la gestion de la main d'oeuvre plutôt qu'à l'ensemble du marché en général.

Pour conclure avec le paradigme institutionnaliste, j'affirmerai que la théorie de la régulation, de la segmentation et des marchés internes ont la même vision d'ensemble en ce qui a trait au fonctionnement des marchés. En effet, ces théories croient toutes fermement que diverses actions prisent par les institutions influencent grandement l'économie, voir même à le déterminer. Il sont tous relies entre eux malgré quelques différences. C'est donc principalement l'intervention de l'État qui les unit.

Enfin, nous avons vu en ce qui distingue les différentes théories et les classifient dans le paradigme néo-classique ou encore, institutionnaliste. Les théories de la régulation, de la segmentation et des marchés internes se trouvent à se rejoindre dans le même ordre d'idées, c'est pourquoi elle s'inscrivent toutes dans le cadre d'une vision