Travail D'écriture Commentaire Littéraire

toire humaine était toujours aussi une des batailles «horribles» et l’est encore.

La particularité de la description de Balzac est surement la situation et l’image de soi de la société parisienne de son temps.

A Paris la grande bourgeoisie a assumé après la réinstallation des Bourbons la suprématie dans la culture avec sa morale de biens et sa décadence. En principe elle a poursuit (repris) le rôle de nobles…

Si Balzac laisse exclamer Derville «Quelle destinée!» face au rapport de Chabert, pour se rappeler de beaucoup d’événements comparables,

alors, une grande partie de son œuvre est comme une confession littéraire de sa vie, qui est sans doute orientée à cette classe de nobles d’hier et des parvenus contemporains…

En conséquence son existence était douloureuse et pleine de passion,

aussi dut à la relation avec sa mère.

Il est évident que le mélange entre les expériences affectives de l’enfance

et les influences sociales avec leurs contradictions et leurs incompatibilités, ont fait que Balzac incorpore quelques éléments autobiographiques dans ses œuvres.

Derville en tant que caractère intègre et la comtesse en tant que femme perfide et insidieuse sont exemplaires pour la vision de soi-même de Balzac et de ses contacts avec l’autre sexe.

En conséquence avec ces personnages, des destins individuels se confrontent avec l’état actuel de leur époque.

Balzac laisse Derville exposer qu’il a un dégout envers l’humanité

et parler d’une «nouvelle maladie».

Mais, est-ce-que, cette maladie est-elle vraiment «nouvelle»?

Le carnage accompagne depuis toujours l’histoire de l’humanité. Il à toujours été sujet de pouvoir et d’oppression, même de nos jours…

Quelques années après la mort de Balzac, Victor Hugo avec son Roman «Les misérables» montre les événements de la classe moyenne dépravée et les pliures de la société industrielle qui était en cours de développement.

Le Romantisme, crée pour fuir du réel, devenait nécessairement de plus en plus du Réalisme ! La déclaration de Rousseau est aussi valable en raisonnement à contrario : chaque gouvernement à le peuple qui le supporte ! Le gouvernement est le résultat de toutes ses parties. Ces parties en revanche s’installent dans celui-ci.

Ce qui se passe entre la Comtesse et le Colonel Chabert dans le rapport de Balzac, est le reflet d’une décadence, qui à fait disparaitre des cultures entières comme par exemple l’Empire Romain.

L’inquisition au Moyen Age s’est servie exactement de cette insuffisance humaine, pour pratiquer une monstruosité détestable. La perversion humaine et son horreur on tout récemment seulement triomphée à la

guerre du Balkan, ou des hommes qui vivaient ensembles, d’un moment à l’autre se massacrent : ceci s’est passé dans notre Europe illuminée qui est quasi restée dans le rôle d’un observateur…

Pour son récit « Sa Majesté La Mouche », William Golding à reçu le Prix Nobel de littérature : il trace une image sombre des limites de l’éducation et de la façon dont l’homme utilise sa liberté après l’expulsion du Paradis !

La culture humaine est comme de l’acier affiné : il brille parfaitement, mais il doit sans arrêt être entretenu. Ce qui veut dire qu’on doit toujours faire des efforts et si on relâche, il commence tout de suite à rouiller.

Le philosophe Theodor Adorno à dit, « La tâche de l’art est de représenter la souffrance humaine. » en concluant que ce serait mieux si un jour l’art ne devrait plus encore exister…

Les vieux Grecques ont connus la comédie et la tragédie en tant que leurs formes les plus importantes d’art. La tragédie était évidement la plus importante, mais la comédie nous aide, à tout mieux supporter.

Une fonction inaliénable de l’art est de rappeler l’humanité à son coté sombre et au destin de Sysiphos…

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