Travail Et Emploi
Compte Rendu : Travail Et Emploi. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresavail qui permettrait un retour à l’équilibre. Et enfin le troisième avantage de la baisse du coût du travail permet la création d’emploi car il y a une hausse de la rentabilité qui impliquerait une hausse des profits donc de l’investissement donc de la croissance qui permettrait une hausse de la productivité et de la compétitivité qui auront pour conséquences une hausse des exportations et une baisse des importations. La seconde mesure principale et la déréglementation pour augmenter la flexibilité (de l’emploi et du marché). La flexibilité permet des gains de productivités car la quantité de travail est nécessaire pour produire donc il n’y a pas de sur effectif donc une productivité maximale donc une hausse de la compétitivité et rentabilité donc croissance et emploi. De plus il y aurait une baisse du coût du travail donc croissance, donc moins de délocalisation. Et enfin une baisse de l’inflation donc une hausse de la consommation donc croissance et emploi. Plus la réglementation est souple plus la flexibilité est importante et plus de taux de chômage est faible. L’accélération de la croissance provoque plus vite une fausse de l’emploi. Et enfin la dernière mesure principale et le « work for welfare » c’est-à-dire que l’état garanti un revenu suffisant, minimun acquis aux chômeurs. Les revenus sont versés sans condition et selon les libéraux le Welfare n’incite pas a chercher un emploi. Le dualisme du marché du travail qui est un lieu de rencontre entre des offreurs et des demandeurs et où se fixe un prix. Pour un libéral le travail est un service qui est vendu et acheté. L’offre de travail c’est la vente de travail des salariés, des actifs contre un salaire. La demande de travail est un achat de travail des employeurs, des entreprises. Le prix du travail est donc le salaire. Le chômage est le fait qu’une partie des actifs vendant leur travail ne trouvent pas d’acheteurs, quand l’offre est supérieure à la demande de travail. Le plein emploi c’est quand l’offre est égale à la demande, c’est-à-dire qu’il y a équilibre sur un marché, tous les actifs souhaitant travailler trouvent un employeur, et le chômage n’est pas nul mais minimum. Ce dualisme va permettre de protéger les salariés qui auront un emploi stable, des droits comme par exemple celui de la protection sociale, des garanties et des droits à la formation. (document 1) On remarque également que le chômage a beaucoup baissé au Danemark entre 1993 et 2005 ( le taux de chômage est passé de 9.6 à 4.8%, soit une baisse de 50% donc une division par deux.) Ce qui peut s’expliquer par la flexibilité mais aussi par la baisse de la population active au Danemark suite au vieillissement (et notamment à la baisse de la natalité), et à la baisse du taux d’activité. De même, la baisse du chômage s’explique aussi par la croissance économique ( liée à la hausse de l’investissement public et à la baisse des taux d’intérêt ce qui confirme la théorie keynésienne.)
Nous venons de voir que la flexibilité permet de favoriser l’emploi, nous allons maintenant voir qu’il y a des limites à cette relation.
La flexibilité n’a pas d’impact positif sur l’emploi et sur le chômage. En effet avec le développement des emplois temporaires c’est-à-dire avec le développement des emplois qui requiert les services d’une personne pour une durée déterminée ( CDD-Intérim-CDI ), la dérèglementation, c’est-à-dire une possibilité pour les employeurs de créer et de supprimer plus vite et plus facilement des emplois qui permettra aux employeurs d’avoir moins de contraintes et les salariés auront moins de protection et de droits, les salariés sont en positions de faiblesse et seront pour la plupart du temps en situation de précarité. De plus, les CDD, les intérimaires travaillent pour une durée limitée dans l’entreprise, ils n’ont aucune raison de s’investir dans leur travail donc la productivité ne serait pas à son maximum et le travail sera de moins bonne qualité. De plus, la flexibilité à des avantages pour les entreprises qui vont devenir des inconvénients pour les employés. En effet les entreprises réduisent les coûts de production (en ne payant que les salariés, les heures de travail nécessaire pour satisfaire la demande) donc les prix vont être réduits et il y aura une amélioration de la compétitivité et une augmentation de la rentabilité. La flexibilité permet aussi de faire face à une hausse de la demande (capacité d’ajuster l’offre ( la production ) à la demande sans délai et sans coût). La flexibilité qui implique une hausse des emplois temporaires va augmenter une hausse de la précarité de l’emploi c’est-à-dire des emplois salariés dont la durée n'est pas garantie. Celle-ci peut être soit limitée : contrats à durée déterminée (CDD), stages, emplois aidés, soit incertain : intérim. Cette précarité va impliquer une plus grande précarité pour les salariés, les revenus vont être incertains et instables, les salariés seront de plus en plus pauvres ce qui impliquera une baisse de la consommation. De plus le fait d’avoir des horaires variables va devenir de plus en plus contraignants pour les salariés puisque étant donné que leurs emploi du temps, et leurs horaires changeront très souvent, ils ne pourront pas prévoir à l’avance une activité en dehors du travaille ce qui aura un impact négatif sur la vie quotidienne, les loisirs et surtout dans la vie de famille puisqu’ils seront de moins en moins présent à la maison. Néanmoins, il n’y a pas de corrélation avec le taux de chômage puisqu’en 2005, dans les pays pu le chômage est faible (moins de 5%), le pourcentage de salariés
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