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* L'expérience, l'entrepreneur connait déjà le secteur dans lequel il souhaite développer son projet pour y avoir travaillé ou pour l'avoir étudié.
* L'observation, l'idée innovante résulte de l'analyse du marché et d'une observation attentive de nouveaux produits et concepts qui se développent dans d'autres pays.
* L'opportunité, l'entrepreneur répond a un nouveau besoin de consommateurs lié a une évolution de l'environnement
* L'innovation, elle peut prendre la forme d'un nouveau produit, de nouvelles méthodes de production
Chapitre 2 : La logique managériale
Dès le démarrage de l'activité et pour assurer le développement de l'entreprise, l'entrepreneur va devoir endosser un nouveau rôle (manager ou gestionnaire). Il adopte alors une logique managériale de gestion et de ressources, des contraintes et des compétences pour assurer la pérennité de l'entreprise. La logique managériale est donc une logique de gestion des ressources existantes et non une logique d'accroissement des ressources de l'entreprise.
A- Le rôle du manager
D'après Henri Mintzberg (sociologue américain), le manager est un individu responsable d'une organisation ou d'un sous-ensemble de celle-ci. Tout manager est investi d'une autorité formelle liée au statut qui lui est attribué.
Le rôle peut être définie en 5 point:
* Planifier (fixer les buts et les objectifs) c'est a dire bâtir les stratégies appropriées pour accroitre la rentabilité et l'efficacité de l'entreprise
* Organiser: c'est a dire optimiser l'utilisation des ressources humaines, matérielles et technologiques dont dispose l'entreprise
* Commander, diriger le personnel de l'entreprise
* Coordonner: Harmoniser les taches pour atteindre un objectif commun
* Contrôler, vérifier les résultats obtenus et prendre des mesures correctives qui s'imposent.
B- La complémentarité des logiques entrepreneuriale et managériale
Dans la pratique, les 2 logiques sont complémentaires. En effet la survie
* L’entrepreneur – Manager
Dès le démarrage de l’activité, l’entrepreneur doit pratiquer tout les métiers : La production, le commerciales, les finances, et l’administration, sans perdre de vue la stratégie.
Certains entrepreneur ne devienne jamais de bon manager car cela implique de passer intuitif et rapide à une façon d’agir plus rationnel et mesurer.
* Le manager entrepreneur
Pour faire face à la concurrence, l’entreprise doit constamment innover tant en thermes de produit qu’en thermes d’organisation ou de distribution.
Chapitre 3 : Les finalités de l’Entreprise
Le manager dans sa gestion de l’entreprise va devoir intégrer ses innovations tout en se préoccupant de maintenir et d’améliorer le rendement des activités existantes.
Les finalités de l’entreprise traduisent sa raison d’être. Elles sont influencées par les valeurs partagées, par la communauté humaine qui la constitue, les statues et l’histoire de l’entreprise, les attentes du personnel et les contraintes de l’environnement.
1- Les finalités financières
L’analyse microéconomique traditionnel les ne trouvait à l’entreprise que des finalités financières : La Maximisation du profit, la minimisation des coûts, la création des richesses.
Si cette analyse paraît aujourd’hui réductrice, les finalités financières, ne peuvent être écarté car dans une économie de marcher, la pérennité de l’entreprise dépend de sa capacité à dégager des profits.
L’obtention des profits est donc une finalité commune à toutes les entreprises car elles constituent leurs principaux moyens de survie.
2- Les autres finalités de l’entreprise
Les finalités propres de l’entreprise résultent de la satisfaction des acteurs qui interviennent dans son fonctionnement. Elles peuvent être de différents types selon DRUKER (économique, sociales, environnementale ou sociétale).
a. Les finalités économiques : L’entreprise à pour finalité économique de produire des biens et services destiner à être vendu dans la perspective de créer, maintenir et développer une clientèle. Certaine entreprise ajoute à ses finalité le souci de ne pas produire de biens inutile, nocif ou dangereux pour l’Homme ou pour l’environnement en allant au delà des obligations légales en matière de sécurité.
b. Les finalités sociales : toutes les politiques en faveur de la création d’entreprise mettent en avant les finalités sociales des l’entreprises : créer un ou plusieurs emploi, et assurer des revenus aux employés, mais également participer à la formation continue.
c. Les finalités environnementales : De plus en plus d’entreprises privilégies leur finalité environnementale qui se traduise par des modes de productions préservant l’environnement et les ressources naturelles (comme le pétrole) et garantissant la sécurité des produits proposés aux consommateurs.
d. Les finalités sociétales : Toutes les entreprises ont indirectement des finalités sociétales puisqu’elles améliorent la société par les impôts, le développement économique, en participant à la formation des jeunes et en finassant la recherche (développement)
3- La responsabilité sociétale de l’entreprise
Celons le livre vert de la Commission Européenne de 2001, la responsabilité sociétale des entreprises est l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises à l’heure activité commercial et leur relation avec les salariés, les consommateurs et les collectivités locales. Il s’agit pour l’entreprise de décliner les principes du développement durable à son échelle : satisfaire les besoins présents tout en permettant aux générations futures de satisfaire leurs besoins.
La prise en compte de la responsabilité sociétale de l’entreprise se traduit dans l’entreprise par la mise en place de dispositif visant :
* A réduire l’impact de ses activées sur l’environnement
* Valoriser ses employés au travers d’une politique sociale adapté
* Multiplier ses engagements citoyens
4- L e management est la performance de l’entreprise
Toute entreprise a besoin de mobiliser les Hommes autour d’objectif concret et accessible, après avoir définit ses finalités. Le management peut être définie comme l’ensemble des techniques de gestions de l’entreprise mise en œuvre pour conduire l’action des individus afin d’atteindre un objectif commun. Il est indispensable de vérifier en permanence si ses objectifs sont atteints et si les résultats obtenu satisfont aux finalités de l’entreprise. Aussi le contrôle de résultat, c'est-à-dire l’évaluation de la performance s’inscrivent dans le processus de management.
I- Le management de l’entreprise
A. Le management stratégique et le management opérationnel
Le management stratégique vise la pérennité de l’entreprise en créant un avantage concurrentiel durable. Il concerne la gestion à long terme de l’entreprise. Il consiste à prendre des décisions qui vont permettent à l’entreprise de saisir les opportunités offertes par son environnement, d’agir sur celui-ci et d’atteindre des objectifs stratégique entraînant des changements important dans l’entreprise
Exemple : La délocalisation d’une unité de production, la fusion.
Les techniques mises en place dans la pratique du management stratégiques seront celles de l’analyse de la concurrence et du secteur, de la recherche des parts de marchés, de la recherche et développement…
Les décisions et actions vont mobiliser l’ensemble des acteurs ; leur pertinence déterminera leur réussite ou l’échec de l’Entreprise.
Le management opérationnel, il concerne la gestion de l’ensemble des processus propres à l’entreprise. Il s’agit du management à court therme, des opérations courantes. Ils visent à atteindre les objectifs fixés par le management stratégique. Il s’agit d’optimiser l’utilisation des ressources et des compétences pour l’entreprise pour s’adapter aux changements opposé par l’environnement à moindre coût (ex :La mise en place de la gestion informatiser des stocks, réduction de la consommation d’énergie).
B. Interdépendance entre Management énergique et management
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