Emile Zola
Dissertations Gratuits : Emile Zola. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresst vu de façon agressif « l'incendie troua ... » ligne 3. Il y a aussi une métaphore du feu avec le « four » ligne 1, « s'embrasent » ligne 2, « flamme » ligne 4. C'est une image infernal , inquiétante et fantastique qui va introduire la scène du meurtre.
C) L'apparition fantastique:
Le train est transfigure en un véritable Bête Humaine grâce à la personnification ( voir bestial) « gueule noir » ligne 1 « gros œil rond » ligne 3. Ce train est assimiler à un monstre, un peut à un cyclope ( œil rond).
Le mot apparition ,ligne 4, appartient au registre fantastique et il est renforcer par l'expression « comme en un rêve » qui la aussi renvoi au fantastique.
L'aspect fugace ( rapide) « fuyait » ligne 10, va renforcer le côte mystérieux, ce qui accentue l'ambiguïté qui fait naitre le fantastique. Les doutes du personnage vont d'ailleurs accentuer cette impression, « il avait cru » ligne . L'hésitation entre le rêve et la réalité définie le fantastique.
II) La scène du meurtre:
A) La violence de l'évènement:
Ligne 9 à 11, vocation du crime par le regard de Jacques. Cette description est quasi objective avec le lexique lié au crime: « assassiné » ligne 11, « couteau , gorge » ligne 9. Il y a un effet de ralenti. Le temps de la narration est supérieure au temps de l'histoire. L'expression « Ce quart précis de seconde » ligne 8 montre bien la rapidité de l'évènement. Dans la deuxième partie, ce crime est décrit de façon moins descriptive.
Il y a une certaine violence. Zola avait annoncé: « un drame violent a donné le cauchemar à tout Paris ». La phrase » plantait un couteau dans la gorge » ligne 9, image de boucher, renvoi à un bête. L'écoulement de bagage suggère à une lutte, « jambe convulsives » mort lente. L'atmosphère accentue la violence « Glace flambantes » ligne . Crois-de-Maufras renvoi à la mort et au malfrat
B) Le point de vue de Jacques:
La scène est vue par Jacques Lantier, « Jacques vit » ligne 1, « Jacques aperçut » ligne 8, « suivait des yeux » ligne 13. Ce crime aurait pu être un crime parfait mais il y a un témoin: Jacques. La vision, au départ, est accès sur la vision du train, Jacques est mécanicien. Cependant il va s'intéresser au meurtre et l'on va pénétrer dans la conscience de Jacques « Avait t-il bien vu ? « ligne 14.
C) Les doutes du personnage:
« Clouer sur place » ligne 13 montre que Jacques a subit un choque suite à la vision. Ce choque va mettre donc un doute sur ce qui pense avoir vu. Certain mot montre se doute, « peut-être » ligne 10 parallélisme. « hésitait » ligne 15, « devait être » ligne 17, « il avait cru » ligne 18. Jacques va essayer d'analyser l'évènement très méthodiquement . « pourtant » ligne 18, « mais » ligne 19, « puis » ligne 20 ainsi que « et ». Ce connecteur essai de rationaliser l'évènement et les minimiser pour retrouver une certaine confiance en lui. Il refuse le meurtre en qualifiant ce crime comme une hallucination. Il y a un effet de flou et de mise a dispense de l'événement. Il y a une opposition entre le début et la fin du texte. Au début « Jacques très distinctement » ligne 7, va s'opposer à « pas un seul trait des deux acteurs » ligne 16, « masse brume » diffèrent de « masse noir ». Jacques se rassure, ce meurtre se succède à sa tentative de tuer flore « affreuse crise » ligne 22. Cela réveille ces pulsions meurtrières enfin de gommer le meurtre, cette vision. « tout cela le glaçait » ligne 21, montre le malaise que le gagne.
Ainsi, la scène du meurtre dans l'extrait de la Bête humaine est vu a travers
...