La Liberté : Philosophie
Recherche de Documents : La Liberté : Philosophie. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresune contrainte, une obligation qui apparaît alors comme un frein, un obstacle à la liberté. Ce serait même un obstacle très dur car il placerait la liberté vers la connaissance ; connaissance qui n'est jamais certaine ni entière quant aux conséquences de nos actes : peut-on mesurer jusque dans les dernières conséquences ce l'on fait ?
Dans Les passions de l'âme, Descartes montre que notre connaissance peut nous permettre de nos raisonner et de mater nos impulsions. C'est encore le savoir qui fait la distinction entre les bonnes et mauvaises passions et de les utiliser au mieux. Ainsi, quand on veut, on peut à condition de s'en donner les moyens. Transition : Mais si pour faire ce que je veux il faut savoir ce que je fais, on aboutit à un paradoxe. En effet, si je sais les conséquences de mes actes, si je connais la portée de mon action, si je suis capable d'anticiper les effets des causes, cela signifie que je suis inscrit dans un déterminisme : notion peu compatible avec la liberté... 2) Il faut donc échapper à toute détermination et donc rechercher l'acte gratuit qui est l'acte libre par excellence. L'acte gratuit ne connaît pas le devoir ni l'obligation. C'est faire littéralement n'importe quoi à n'importe quel moment et ce sans plan. Ainsi, la liberté absolue se présente comme sans contrôle de soi, sans raison et sans aucun calcul sur l'avenir. Il s'agit de mettre en suspens toutes les interrogations.
PLAN PROBABLE :
Revenons à la libertée :
Je te rassure il y a plusieurs définitions
Il faut les trouver, puis voir que signifie "savoir ce que l'on fait".
>> liberté nécessite t-elle un savoir ?
Là on peu faire ce que l'on veux, à peu près :
Introduire la notion de libertée ""naturelle"" ou totale.
La contredire par "la libertée existe t-elle sans savoir".
Puis enfin poser la question de l'existance de la libertée et du savoir.
On ne peut pas manquer de remarquer la contradiction de la question posée : si l'on est libre, « il ne faut » rien. Telle est la liberté. C'est l'absence de contrainte, donc, en principe, l'absence de voir, d'obligation quelle qu'elle soit. Etre libre, c'est donc faire ce que bon nous semble, faire n'importe quoi éventuellement, ne pas se donner de plan, ne pas se contrôler soi même (...)
sans plus de détails , voici la méthode :
(Cf) y=f(x)
(T) y-f(0) = (x-0)f'(0) ou y=xf'(0)+f(0)
la position de (C) par rapport à (T) se déduit de l'étude du signe
de f(x)-[xf'(0)+f(0)]=f(x)-xf'(0)-f(0)
Seul un "Omniscient" pourrait être "libre", puisqu'il ne serait soumit à aucune contrainte quel qu’elle soit. Il aurait par définition une parfaite connaissance du "Tout" et une maitrise sans failles de celui-ci. Il me semble alors nécessaire que cet "Omniscient" = "Tout", qu'il soit fini ou infini.
Le tout serait alors de savoir si ce "Tout" est capable de prendre certaines "libertés". Mais alors ne doit-il pas être soumis à des contraintes pour se permettre ceci?
Ou bien ce "Tout" n'est tout simplement pas quelque chose qui serait doté d'une capacité réflexive et ceci éliminerais la possibilité d'existence d'un quel conque "Omniscient" et donc d'un quel conque être "libre".
Le "Tout" ne serait qu'un "Tout" sans aucune connaissance, mais "libre" malgré lui?
Je ne crois pas que ceci soit probable, je miserais plutôt sur un "Tout" sans aucun savoir, mais alors également sans aucun but précis ou finalité.
Faut-il comprendre ..pourrions nous être libre sans le savoir...sans la conscience d'être libre..?
ce qui revient finalement au même que de s'interroger
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