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ormones ovariennes au cours d’un cycle, on peut supposer qu’il y a disparition des cycles sexuels.

Document 2 : on constate qu’à partir de la naissance le stock de follicules ne cesse de diminuer de deux façons : fortement de la naissance jusqu’à la puberté puis de façon plus faible de la puberté à la ménopause ( 55 ans) et à la ménopause, le stock est nul.

Donc à la ménopause, il n’y a plus de follicules dans les ovaires, la fonction de procréation disparaît chez une femme ménopausée.

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Document 3 :on constate que la teneur plasmatique en FSH ( hormone antéhypophysaire) augmente légèrement au cours du temps ( de 22 à 34 mg/L) Donc la régulation de l’activité puis plus fortement au moment de la ménopause ( 60 de l’antéhypophyse change au mg/L) moment de la ménopause.

0,5

Synthèse : Chez une femme ménopausée, il y a disparition des règles. Comment expliquez cela ? Nous savons que les règles correspondent à une dégradation d’une partie de la muqueuse utérine qui survient en fin de cycle, l’apparition des règles est déclenchée par une forte baisse de la teneur en hormones ovariennes en fin de cycle lorsqu’il n’y a pas eu fécondation. Nous avons pu établir ( document 1) que les teneurs en hormones ovariennes sont constantes et à des teneurs faibles chez une femme de 50 ans en période de préménaupose donc l’absence de variation de la teneur de ces hormones explique la disparition des règles. Nous avons pu établir que le stock de follicules présents dans les ovaires diminue régulièrement et à partir de 50 ans le stock est quasiment nul. Or nous savons que les cellules de la thèque interne sécrètent l’œstradiol tout au long du cycle, qu’à partir du ème 14 jour le follicule mûr devient le corps jaune qui sécrète la progestérone. Vers 50 ans comme le stock de follicules est quasiment nul, il n’ y a plus de follicules fonctionnels ainsi la sécrétion des hormones ovariennes n’a plus lieu où à des teneurs faibles et constantes, ce qui explique l’évolution de la teneur plasmatique en hormones ovariennes constatées dans le document 1B. Comme le stock de follicules est quasiment nul vers 50 ans, cela explique la baisse de fertilité qui disparaît totalement à la ménopause.

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Au cours de la période de fertilité d’une femme les teneurs plasmatiques des hormones ovariennes vont exercer un rétrocontrôle sur le complexe hypothalamo-hypophysaire ( complexe qui régule l’activité des ovaires et par conséquent la teneur en hormones ovariennes)Quand la teneur en oestradiol augment e fortement le douzième jour, cela déclenche un rétrocontrôle positif sur le complexe ce qui aura pour conséquence une forte sécrétion de FSH et surtout de LH et déclenchera l’ovulation. En dehors de cette période la faible teneur en oestradiol exerce un rétrocontrôle négatif sur le complexe 1 hypothalamo-hypophysaire ainsi les teneurs en FCH et LH sont faibles avant et après l’ovulation. Comme vers 50 ans les follicules n’ont plus beaucoup d’activité, les sécrétions des hormones ovariennes sont faibles et surtout ne varient plus, ce qui supprime l’action de rétrocontrôle de la teneur de ces hormones sur complexe hypothalamo-hypophysaire , ainsi comme nous avons pu le constater dans le document 3 la teneur en FSH augmente.

sujet 2 À partir des informations tirées de l'étude des documents et de vos connaissances, montrez que l'activité du complexe hypothalamo-hypophysaire peut être modulé par des stimulus d'origine externe et interne. Le bilan de cette étude sera présenté sous forme d'un schéma fonctionnel. Document 1 : Variation au cours de l'année de différents paramètres physiologiques chez un renard bleu (Nord de l'Asie) et de la durée du jour de son milieu de vie.

Période d'accouplement

Document 2 : Variations de masse des testicules de deux lots de hamsters dorés maintenus à température constante et ayant la même période de reproduction que le renard bleu.

Informations complémentaires : La rétine de l'oeil des hamster est reliée par le nerf optique à des centres nerveux intermédiaires en relation avec les neurones producteurs de GnRH. Des hamsters maintenus en lumière naturelle après section des nerfs optiques présentent toute l'année une masse moyenne des testicules d'environ 50 mg.

Document 3 : Fréquence et amplitude des pulses de GnRH dans le sang entre l'hypothalamus et l'hypophyse, chez un bélier dans trois situations. Fréquence des pulses de GnRH Bélier A : témoin Bélier B : castré Bélier C : castré, recevant des injections de testostérone 2 pulses en 12 heures 9 pulses en 12 heures Amplitude des pulses de GnRH 15 pg.mL 25 pg.mL

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2 pulses en 12 heures

13 pg.mL

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Correction et barème

faits Document 1 :on constate chez le renard bleu que lorsque la durée du jour diminue, les teneurs plasmatiques en FSH et LH augmentent et atteignent leur maximum au moment où la durée du jour est la plus brève. Au même moment la masse des testicules augmente. On constate que lorsque la durée du jour augmente à partir de janvier la teneur en testostérone augmente et devient maximale au début de la période d’accouplement de même que la masse des testicules.

Conclusion-interprétation

barème

Donc l’activité de l’hypophyse précéde l’augmentation de la masse des testicules, on peut penser que l’activité hypophysaire déclenche l’activité testiculaire au moment au la durée du jour diminue donc on peut penser que la durée du jour influence l’activité de l’hypophyse. On peut penser également que la forte teneur en testostérone déclenche le comportement reproducteur chez le renard bleu.

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Document 2 :on constate que chez les hamsters maintenus en lumière naturelle la masse des testicules augmente lorsque la durée du jour augmente à partir de décembre et diminue lorsque la durée du jour est décroissante à partir de juin. En revanche chez des hamsters maintenus dans 14 h de lumière ,la masse des testicules reste constante autour de 280 g proche de la masse maximale chez les hamsters maintenus en lumière naturelle dont cette dernière est d’environ 320 g au moment où la durée du jour est la plus importante. Chez des hamsters dont le nerf optique a été sectionné sont maintenus en lumière naturelle et ont des testicules dont la masse reste constante et faible. on apprend que la rétine est reliée par l’intermédiaire du nerf optique à des centres nerveux en relation avec l’hypothalamus. Document 3 :on constate que chez des béliers castrés la fréquence des pulses de GnRh est plus élevée par rapport à des béliers non castrés( 9 pulses en 12 h au lieu de 2).De même l’amplitude des pulses de GnRh est plus élevée chez les béliers castrés.

Donc on peut conclure que la durée du jour a une influence sur la croissance testiculaire c ’est- à dire que l’augmentation