L'Évolution Du Pouvoir d'Acaht Depuis 1949
Compte Rendu : L'Évolution Du Pouvoir d'Acaht Depuis 1949. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoireségé le pouvoir par tête diminue. Ce fait est encore mieux observable au niveau du ménage où par l’indicateur des unités de consommation qui nous permet de voir que finalement pour l’augmentation de 0.9% du pouvoir d’achat le niveau de vie réel n’augmente que de 1.4% contre 2.4 % pour le pouvoir d’achat agrégé.
-budget libre et budget contraint : les ménages ont tendance à voir leur pouvoir d’achat à travers un budget. En effet ils prennent considération de toutes leurs dépenses nécessaires et pré-engagées (abonnement…) ce qui se rapproche un peu de la logique du revenu disponible. Mais cela reste une erreur de leur part étant donné que les dépenses en besoins nécessaires ne sont pas trop prévisibles comme le sont celles de pré-engagement. La mesure par le pouvoir d’achat libéré c’est-à-dire privé de l’évolution de l’indice des prix est déjà plus fidèle à la vision des français.
-le logement :la comptabilité nationale ne prend pas en compte les crédits de logement des ménages qui viennent incontestablement influer sur les pouvoir d’achat réel des ménages.
-la neutralisation de l’effet qualité dans l’IPC : quand les produits de consommation se standardisent (ex : on passe de l’écran à tube à l’écran plat) on a un changement de qualité qui implique un changement de prix que le consommateur ,contraint, subit. Ainsi l’ICP ne prend pas en compte le facteur qualité qui pourtant est déterminant.
-le passage à l’euro : sans forcément trop augmenté les prix cad de 0.26 points, le passage à l’euro a ciblé les produits très consommés (pain ,boisson…) ce qui a sauté donc aux yeux de français.
-les revenus : ils ne bougent pas et pourtant leur évolution est aux yeux des français ce qui reflète le mieux celle du pouvoir d’achat.
-pouvoir d’achat, « vouloir d’achat », et bien-être : le pouvoir d’achat ne coïncide pas toujours avec la volonté d’acheter. En effet l’avancée technologique des produits proposés sur le marché le pouvoir d’achat ne permet pas toujours aux français de consommer ce qui les attire.
III- Comment combler se défaut ?
1) Une approche méso-économique
Le gouvernement français a mis en place en 2007 une commission pour revoir la mesure du pouvoir d’achat et a finalement émis une série de recommandations :
-tenir compte des évolutions démographiques et familiale
-mesurer les disparités d’évolution du pouvoir d’achat
-mieux prendre en compte les nouveaux modes de consommation
-mieux prendre en compte les coûts immobiliers
En bref la commission propose sans pour autant réformer l’indicateur du pouvoir d’achat dans son intégralité par plein d’autres indicateurs ce qui complexifierai les choses, de corriger les déterminants de l’écart précédemment observé.
2) L’indice des prix catégoriels
Il est un indice des prix dont la pondération est différenciée par catégories de ménages donc par budget selon les catégories de sous-produits qui compose le panier de consommation. Cet indicateur permet ainsi de concilier inflation réelle et inflation perçue. On remarque ainsi que les familles monoparentales, les 15-30 ans et les parisiens subissent une forte exposition à l’inflation. C’est justement sur ce point qu’intervient Pierre Verley. Mais pour lui il n’y a pas la une réelle évolution
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