La Chute Du Mur De Berlin
Recherche de Documents : La Chute Du Mur De Berlin. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoireses « indirectes » où l’une des deux super puissances est engagé danse ce le conflit et ou l’autre supporte les belligérants en lui apportant des moyens financiers, logistiques ou matériels n’ont jamais évolué en guerre directe entre les deux pays : c’est la raison pour laquelle cette guerre est qualifié de « froide » en opposition aux guerres classiques (ou « chaude ») où des pays s’affrontent directement sur un théâtre militaire. Le Etats Unis et l’URSS se livrent également à une compétition sur le terrain technologique: le premier homme dans l’espace est soviétique (Y Gagarine), le premier homme à poser le pied sur la Lune américain… Cette période de guerre froide est également un période où les deux super puissances se sont livrées à une course folle en termes d’armement en particulier nucléaire : l ‘expression « équilibre la terreur » est également souvent utilisé pour caractériser cette période de guerre froide, car tout le monde redoutait qu’un conflit direct entre les États unis et l’URSS ne se solde par une guerre nucléaire, avec un potentielle disparition de l’humanité telle que nous la connaissons aujourd’hui.
En 1985 M. Gorbatchev met en place un programme nommé « Perestroïka » où il dresse un bilan du modèle soviétique assez sombre, en déclin. Des pays « capitalistes » comme le Japon, l’Europe de l’Ouest (UK, France, Italie, Allemagne de l’Ouest) et à fortiori les Etats Unis disposent désormais d’une économie plus puissante que l’URSS. Gorbatchev comprend que l’URSS ne sera bientôt plus en mesure de soutenir financièrement la course à l’armement engagé avec les Etats Unis, voire d’intervenir dans les conflits régionaux de manière indirecte. Gorbatchev fait également état du retard technologique pris l’URSS dans le domaine des nouvelles technologies (informatique, bio technologies…), et du faible taux d’équipement des ménages soviétiques. Selon M Gorbatchev ce retard est la conséquence du modèle centralisé qui freine les initiatives et la créativité et qu’il convient de réformer. C’est dans ce contexte que M Gorbatchev rencontre Reagan en novembre 1985 à Genève.
Le conflit qui oppose le bloc « communiste » au bloc capitaliste est un combat sans intérêt. Car l’Urss ne peut plus intervenir dans les affaires politiques à l’échelle du monde. Les propos de Gorbatchev sont émis comme un message de paix au Président des États Unis : Gorbatchev désire écouter les attentes du peuples, il désire se focaliser sur d’autres problèmes comme les règlements de conflits régionaux dans lesquelles l’URSS s’enlise (Afghanistan), l’amélioration des relations économiques internationales, l’encouragement au développement, la victoire sur la misère, la pauvreté, les épidémie mais aussi améliorer les relations bilatérales, de plus Gorbatchev désire le désarmement de chaque nation, car il pense que son pays et lui même sont responsable du destin de l’humanité, et les États Unis et Reagan le sont aussi. Avec cela, il pense qu’avec une compréhension réciproque une coopération ils pourront vivre dans un monde sûr et stable. Les conséquences sont nombreuses : Chute du mur de Berlin, réunification allemande, et indépendance de l’Urss sous l’égide de Boris Eltsine.
La destruction du mur de Berlin causé par les manifestants est associée à l’effondrement du communisme en Europe. Cet effondrement réunis après 28 ans les Allemands au complet, ce qui génère de la gaité et de la sympathie. Sur la photographie nous voyons bien que les berlinois s’empressent de passer de l’autre côté de ce mur qui n’en finissait plus. Ils sont très nombreux, et impatients à l’idée de retrouver leurs frères de peuple. La solidité de l’Alliance atlantique au cours des dures épreuves des années 80 et la réussite du développement et l’intégration économique et politique de la communauté européenne ont participé au changement radical en Allemagne ainsi que la politique des réformes menée par le secrétaire général Gorbatchev et surtout la volonté de reconnaître aux États d’Europe centrale et du Sud-Est le droit de choisir leur propre voie.
Dès août 1990, George Herbert Walker Bush, nouveau président des États-Unis, annonce la fin de l’affrontement Est/Ouest, c’est-à-dire de la guerre froide et de la bipolarisation du monde. L'OTAN et le Pacte de Varsovie entament le démantèlement aussi bien de leur arsenal nucléaire que de leurs forces de frappe conventionnelles. Six ans plus tard, l'OTAN et la Russie signent un traité de coopération et de sécurité. Néanmoins, l'affrontement, parfois appelé « guerre tiède », se poursuit au niveau de la guerre économique (notamment le contrôle de zones économiques stratégiques, en particulier les sources et circuits énergétiques) ou de la lutte d'influence
...