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Analyse d’un concept équivoque au passé trop lourd et au futur incertain

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matière d’intelligence aie provoquée de sérieux problème éthique envers les personnes n’étant pas dotée des mêmes capacités qu’une personne « normale », certain scientifique ont été plus loin que Galton dans leurs recherches, notamment un certain Spearman qui a découvert qu’il existait une théorie de l’intelligence général qu’il nommera, facteur (g). En permettant d’isolé les facteurs commun de l’intelligence il découvre que l’intelligence dépend de deux facteurs, le (g), toujours présent et un facteur spécifique secondaire (s). Ce qui est innovant et très avant-gardiste car même aujourd’hui, les tests de QI que l’on effectue sont censé mesurer l’intelligence générale et donc ce fameux facteur (g) que l’on doit à Mr. Spearman. Cependant, l’apparition du premier test utilisable à été mis en place en France, au début du XXème siècle, pour réorganiser les classes scolaires par niveau. Le test va être créé par Alfred Binet, qui va diriger sa théorie aux antipodes des discours de Galton et Spearman. En effet, Binet pense que l’intelligence peut être modelée et améliorée. Il inclut le fait que si un enfant est « retardé » mentalement, son retard peut être dû à son milieu social, à l’environnement dans lequel il vit ou encore une question de timidité par exemple. Mais son travail sera remanié par Mr. Terman, psychologue qui va mettre en place de nouvelles normes d’âges pour les enfants et testé ceux-ci sur un échantillon d’un enfant de race blanche, de classe moyenne ou aisée pour comparer ces enfants qui passeront le test. En connaissance du résultat, les enfants seront envoyé dans différentes classes et les retardés seront pris en charge par la société pour qu’ils ne puissent se reproduire afin de baisser le taux de crime et de vice. Prenant l’exemple de péripatéticiennes comme n’ayant pas fait d’étude sous-entendu qu’elles n’ont pas une intelligence dite normale. Cette mentalité illustre encore une fois ce passé lourd que transporte cette idée en voulant empêcher également tout brassage racial en Amérique, qui ferait baisser la courbe américaine de l’intelligence. Ce qui est paradoxale lorsque l’on sait que ces familles noires ou mexicaines en grande partie sont pauvre et ne parle pas américain ce qui, comparé au petit enfant modèle américain les places au rang de faible d’esprit.

Après Thurstone, l’ « empire » de l’intelligence générale va s’affaiblir. Celui-ci ayant démontré que le facteur (g) possédait seulement la place secondaire, laissant la place principale dans l’intelligence aux aptitudes mentales primaires soit, la compréhension verbale, l’aptitude numérique, les relations spatiales, la rapidité perceptive, la fluidité verbale, la mémoire associative et le raisonnement. Au contraire, les tests de QI font de plus en plus d’adeptes et touche peu à peu le monde des adultes. Le WAIS (Echelle d’intelligence Wechsler pour adulte) fait alors son apparition, prenons en compte les personnes âgées de 16 ans et plus. Ce test est construit de tel sorte que la notation soit basée sur une population de référence, spécifique. Il admet de plus une nouveauté, mettant en place une partie verbale, non verbale et globale. On étalonne dorénavant les tests de QI pour obtenir une courbe de Gauss qui va indiquer la zone ou les personnes sont considérées comme « normales ». En effet, on tente de plus en plus de modeler les tests de QI pour ne plus obtenir des résultats biaisés par exemple en ajoutant de nombreux sous-tests non verbaux à fin de compenser une partie culturelle qui désavantage les enfants à cause de leur courte expérience de la vie. On reproche également aux tests d’être biaisés car les normes sont basées sur les personnes de race blanche appartenant à une classe moyenne ou alors les expériences dont on a besoin pour répondre dépendent de l’origine de la personne. Depuis les tests de Terman, ces évaluations ont gagnées en rigueur. Il faut donc beaucoup de contrainte pour obtenir un bon test de QI, notamment que les résultats soient très proches lorsque un sujet repasse le test ou en effectue une variante, si ce dernier mesure bien ce qu’il doit mesurer, si les conditions ne varient pas entre sujet, si les normes sont correctement ajustée et finalement si les résultats du test forment une courbe de Gaus que l’on peut interpréter.

Une fois le QI indiqué, plusieurs questions peuvent se posé, notamment si celui-ci est acquis ou inné. La question de l’héritabilité ou transmission génétique est un sujet très présent dans le monde de l’intelligence. Certain affirme comme Bouchard en 1997 que l’environnement n’affecte que très peu le résultat sur les enfants et que celui-ci dépend en majorité de l’hérédité. Bouchard a également démontré que les enfants adopté ont un QI plus proche de leurs parents biologiques qu’adoptifs. D’autre part, Sandra Scarr et Richard Weinberg en étudié en 1976 le cas d’enfants noirs qui ont été adopté avant l’âge d’un an par de famille blanche très instruite de la classe moyenne supérieure. Plus de la moitié obtinrent un QI moyen voir légèrement supérieur à la moyenne ce qui contredit parfaitement les propos de Bouchard. Craig Ramey, spécialiste du développement à étudier également le développement du QI chez l’enfant de bas âge. Ses résultats démontrent clairement que l’environnement à une énorme influence sur le QI. Il y a donc un paradoxe entre des enfants adopté et des enfants sortit de la pauvreté. Cela tend à faire croire qu’il y a une corrélation entre l’augmentation du QI et l’association de l’hérédité avec son environnement. Dans les familles aisées, les parents peuvent prendre le temps et payer de bonne étude à leur enfant qui pourra alors être stimulé et enfin augmenté son QI, ce qui ne sera pas le cas dans une famille pauvre.

En outre, il existe certaine personne qui remettent en doute les questions, la vision que l’on peut se faire de l’intelligence. Ces personnes sont atteintes du syndrome savant, qui est une combinaison de handicaps mentaux lourd et de dons hors du commun pour un certain domaine. Ce syndrome est très rare mais suffit à troubler les propos émis sur le calcul de l’intelligence et tout ce qui tourne autour. Car ces personnes bien qu’elles ont un QI inférieur à 70, celle-ci possèdent également des dons pour un domaine en particulier, comme la musique, la peinture etc. Ce qui est très ambigüe. Ne faut-il pas être intelligent pour être un prodige de la musique ? Le psychologue Allan Snyder et son collègue Mitchell étudie le fait que chacun est capable d’être un grand musicien ou un mathématicien

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