Bernard, le raciste !
Rapports de Stage : Bernard, le raciste !. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresrd.-Non non. Maintenant, je suis pressé, je dois y aller. Alors je vous laisse avec ma secrétaire Catherine.
Catherine.-Enchantée, en lui serrant la main.
Bernard.-Qui va vous montrer quelques astuces, avant de vous lancer dans le petit test prévu avant le stage. Alors veuillez vous installer à son bureau, le moment qu’on discute elle et moi un peu de votre cas. En faisant un clin d’œil à Catherine.
En chuchotant ensemble
Bernard.- Comment tu n’as pas fait attention à ce nom étrange d’arabe !
Catherine.- On l’a pioché ensemble monsieur…
Bernard.- Non non ! C’est toi qui as gardé le CV !
Catherine.- En plus on n’avait pas le choix c’était le dernier CV ! Alors on n’a pas fait attention au nom.
Bernard.-Ok ok ! Bref, occupe-toi de lui et à demain, moi je dois y aller. En regardant son téléphone.
Catherine et Abdelkrim parlent en chuchotant devant l’écran, et elle lui apprend et montre des choses concernant le travail.
Le lendemain matin, Béatrice et Abdelkrim se croisent à la porte du bureau et en entrant ensemble.
Abdelkrim.- Bonjour ! Cath ! Ca va ?
Catherine.-Salut ! Oui, ça va et toi ?
Abdelkrim.- Pas mal ! Parce que j’ai passé pas mal de temps afin de compléter mon test.
Catherine.- Ah ! C’est bon ça ! Allez, installe-toi on va le réviser ensemble.
Quelques minutes après, Bernard embarque en parlant en téléphone.
Bernard.-Bonjour Béatrice ! En changeant le ton. Ah t’es déjà là toi ! Je veux dire t’es compétant, bon début ! Et fait un signe à Béatrice pour qu’elle passe le voir à son bureau.
Catherine.- Oui monsieur !
Bernard.- Bon bah ! Pour le moment je suis pas mal occupé, alors, après environ quinze minutes, venez me voir pour que je vérifie le test.
Tout seul à son bureau, Bernard se met à l’aise, et puis soudain.
Bernard.-Oh ah ! Ça pique. Oh ah, soufflement de soulagement en grattant au dessous de son pantalon.
C’est à ce moment-là qu’Abdelkrim, revenant des toilettes, remarque Bernard dans son bureau et croit que ce dernier est en pleine masturbation.
Quinze minutes passées, Béatrice frappe à la porte, et Bernard pressé s’ajuste.
Bernard.- Entrez ! Installez-vous ! Et puis Bernard tend sa main pour serrer la main à Abdelkrim, alors, ce dernier montre un signe d’hésitation avec une expression de dégoût, mais finalement il est obligé.
Bernard.-En tenant le test. Ah ! Il est où … Non non c’est correct ! Et puis … Non c’est correct aussi ! Ah le voilà ! Et se met à danser et fait des sons bizarres… Excusez ! Avec un faux sourire et en changeant complètement la voix. T’as oublié une virgule ici ! Ok, c’est… c’est correct. En fait, à propos de ton CV, l’école où tu as suivi tes études ne me plaît pas.
Abdelkrim.- La HEC ! L’école de gestion « number one » mondialement. D’un ton de fierté.
Bernard.- Ah bon ! Avec un faux sourire. Je veux dire c’était juste une blague. Et puis… attaches tes lacets ! Tu ne vas pas recevoir les clients comme ça !
Au moment où Abdelkrim Descend sa tête afin d’attacher ses lacets.
En chuchotant.
Catherine.- Mais monsieur !
Bernard.- Oui Catherine ! Tu voulais dire quelque chose ? On dirait qu’il y en a quelques uns qui se sont fait de nouveaux amis, et pas n’importe, un arabe !
Bernard prend ses affaires et sort Catherine et Abdelkrim du bureau et quitte.
Abdelkrim.- Tu as vu comment il m’a traité ! Il est bien tout le temps comme ça ?
Catherine.- Non non ! Pas tout le temps, mais surtout au moment du test, avec un faux sourire et en chuchotant, n’importe quoi.
Abdelkrim.- Pardon ?
Catherine.- Non, rien rien, laisses faire.
Abdelkrim.- Sinon ça te tente qu’on aille dîner ensemble ? Je t’invite.
Béatrice.- Ok pourquoi pas !
• Scène 3
Lieu : L’hôpital central.
Temps : 3 jours après l’arrivée à l’hôpital vers 9h.
En route vers sa maison, Bernard a eu un accident de voiture, donc, il a été transporté directement à l’hôpital central, celui placé tout au centre-ville.
Après trois jours passés à l’hôpital, seul, personne n’est venu le voir, dont il se plaignait.
Bernard.- Voilà trois jours passés et personne n’est venu me voir…
Mais, ce jour-là vers 9h ! Une première personne est embarqué .C’était Abdelkrim
Coups à la porte.
Bernard.- Ah ! C’est qui, c’est qui ? Entrez entrez !
Abdelkrim. - Bonjour ! Puis-je dire patron ? Avec un large sourire et un bouquet de fleurs.
Bernard.-D’un ton de Meskin. Même si je t’ai traité avec de tel manière, tu es venu me voir, et tu es la première personne à le faire !
Abdelkrim.- De quelles manières vous parlez ? Puis, quand ?
Bernard.- Dès que tu es arrivé à mon bureau, et surtout le moment du test.
Abdelkrim.- Et moi qui croyais que cela faisait partie du test !
Bernard.- Ah quoi ? Comment ? Avec
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