Candide Au 21Ieme

rsonnes parfaitement vêtues et ordonnées qui semblaient être heureuses, Candide se demanda si une harmonie entre l’autorité et le bien être pouvait exister.

Il eut envie d’aller vérifier cela et invita donc Giroflée à aller dialoguer avec quelques citoyens afin de mieux connaître leur vie. Après quelques minutes, il revint, et expliqua à candide que d’après ce qu’on lui avait dit, les hommes ont tous une place dans ce pays : nous ne connaissons pas la misère grâce au grand guide.

-Mon cher Pangloss, auriez vous raison ? Ce monde serait-il le meilleur ?

Cette homme que l’on appelle le guide et qui régit bien-être et droits aurait il crée un modèle de société pérenne. Mais après tout ce que j’ai traversé, je ne puis me résoudre à cela, tant d’optimisme de la part de ces gens ne peut être possible, allons mon bon Giroflée partons en quête de réponse, déclara Candide.

Plus ils s’enfoncèrent dans la ville, plus la présence de personne dans la rue diminuée, jusqu’à ce qu’il ne reste qu’eux. Quand tout à coup sortant de la boutique située non loin d’eux, un homme sortit, les mains menottées, encadré par des agent de la police d’état.

Candide leur demanda ce qu’avait bien pu faire cet homme. Giroflée lui traduisit qu’il n’avait pas fait son allégeance quotidienne et qu’il aller être conduit dans un centre d’isolement et de réhabilitation afin…

Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que la voix qui les avait réveillé se refit entendre, elle demandait de se rendre sur la grande place pour une exécution publique. Ils suivirent donc ce mouvement de foule en direction de la grande place afin de connaître ce qu’on reprochait à cet homme pour qu’il mérite une telle sentence.

Arrivaient sur la place la voix se refit entendre, elle indiquait que l’homme avait eu l’imprudence de s’aventurer sur le tapis que devait emprunter le grand guide, sur ces mots la foule huât le condamné. Qui pouvait bien être cette homme qui a osé marcher sur le tapis du guide, qui est si apprécié par les siens, se demandait Candide.

O stupeur quand le condamner apparut, il s’agissait du frère de Cunégonde.

-Venez mon bon frère quittons ce pays, ordonna Candide.

Mon cher Pangloss vous aviez encore tort, ces hommes sont endoctrinés, ils ne peuvent être heureux sous cette politique tyrannique d’un homme qui croit posséder un caractère divin, aucune dictature ne peut procurer le bonheur à ses sujets.

On entendit une salve d’armes automatiques qui emporta le frère de Cunégonde ainsi que les idées de monde utopique de nos amis qui ne tardèrent pas à quitter précipitamment ce pays hostile.