Defiance politique

En France, la défiance vis-à-vis de nos représentants politiques est très présente. Tout d’abord nous pouvons dire que l’ensemble des relations, des normes et des valeurs qui relient les membres d’une société ou d’un groupe social sont les liens de filiation, de participation organique, électifs et de citoyenneté. Dans un premier temps nous verrons quelles sont les formes que la défiance peut prendre en société et ensuite nous traiterons et imaginerons des solutions pouvant exister et mises en place dans certaines conditions pour éviter ces défiances dites.

Pour commencer, la défiance prend forme à travers différentes situations. Nous avons d’abord l’abstention au vote ou le refus simple de voter accompagnés d’une perte de confiance en nos représentants politiques car il y a un décalage entre leur préoccupations et les nôtres, nous singuliers et particuliers en général. Mais aussi le fait que certains pensent qu’ils sont dans le mensonge quasiment constant est prouvé par leur programme promis mais finalement non appliqué comme ils l’avaient promis. Après cela il y a aussi le manque d’exemplarité comme par exemple le président Emmanuel Macron qui invite des personnes à dîner et discuter sans masque pendant qu’il oblige l’entièreté de la population français à en porter.

Ensuite il y a les manifestations, physiques comme celle à Dinan le 15 décembre 2018 pour la demande d’un RIC ou encore virtuelle comme sur Twitter ou des gens peuvent s’exprimer sur un sujet en utilisant les hashtags, et pour finir nous pouvons aussi souligner les statistiques obtenues et publiées par CEVIPOF en janvier 2019 qui montrent un clair manque de confiance dans les institutions publiques.

Après cela non seulement nos représentants sont victimes de défiances mais certaines institutions subissent le même sort, traitement comme la police, cette institution très dénoncées du fait des valeurs entretenues par les personnes qui y sont dedans comme le racisme envers les personnes de couleur. Nous pouvons notamment citer l’exemple de Georges Floyd et le mouvement du « Black lives matter » signifiant littéralement « Les vies noires comptent », même si tout cela s’est déroulé aux États-Unis, en France c’est un peu la même mentalité qu’ont les policiers même si c’est moins extrémiste qu’aux États-Unis. La police est aussi critiquée par son impunité de ses agents aux yeux de la justice. Ensuite dans les rues, des affichages encouragent le boycott et l’abstention. De plus les gens sont insatisfaits par certains « services » qui leur sont donné par l’État comme les pompiers. Beaucoup estiment que les pompiers sont payés par leurs impôts et agissent comme des consommateurs, ils les agressent par exemple. Pour terminer, depuis ces dernières années l’école s’est très dégradée à cause d’un problème de repère, le corps enseignant perd petit à petit son autorité, plus reconnu et remis en question par de nombreux élèves.

Dans ce second temps, nous allons essayer de trouver des solutions vraisemblables à tous les cas vus dans la première partie. Pour commencer nos représentants politiques devraient se mettre à un niveau de réflexion basé sur le point de vu de la plupart des situations des français, pour mieux répondre à leurs attentes, pour cela nous pourrions mettre en place un système de recensement dans chaque ville ou commune de France qui éliront un problème majeur pour pouvoir guider nos représentants correctement vis-à-vis de nos besoin actuels les plus basiques, en ce moment on peut citer le prix de l’essence ou encore les produits de première nécessité trop cher comme la nourriture de base dans les supermarchés ou hypermarchés. Ensuite il faudrait qu’ils suivent à la lettre leur programme promis mais cette assurance ne peut pas être mise en place du fait qu’on ne peut pas les forcer à faire ce que la population voudrait ou pas, car la seule issue possible est la pression, celles que le peuple utilise déjà comme les manifestations. L’exemplarité