Etude de cas : Le Nil
Commentaire de texte : Etude de cas : Le Nil. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar lilou.morel24 • 11 Mars 2023 • Commentaire de texte • 1 376 Mots (6 Pages) • 278 Vues
Etudes de cas
Livre p 64-65
Le Nil
1- Les eaux du Nil sont source de tensions entre les Etats de l’Est Africain car on remarque que le barrage entraîne une diminution de l’irrigation de ces Etats qui vont voir leur population augmenter au cours des années à suivre et vont donc avoir un besoin d’eau plus important.
2- Ce barrage ce surnome “ Grand barrage de la Renaissance éthiopienne” car en effet il va permettre un l’Ethiopie de fournir de l'électricité à sa population, à l'irrigation de nouvelles terres agricoles, à un apport économique important pour le pays, Il va permettre le développement du pays.
3- Des tensions naissent entre l’Egypte et l’Ethiopie car pour l’Ethiopie ce barrage est source de développement agricole, économique et culturel cependant pour l’Egypte c’est source de perte de surface agricole, d’argent, d’eau.
4- Le Soudan,et le Soudan du Sud, le Kenya, La Tanzanie, Le Congo, peuvent être opposés au barrage pour les mêmes raisons que l’Egypte. En effet, d’après le document 1 on remarque que tous ses pays sont approvisionnés en eau par le biais du Nil.
5- Les difficultés de mise en place d’un tel barrage sont multiples, ainsi on sait que dans cette région du monde les évolutions techniques et technologique ne sont pas avancés comme dans les pays riche, de plus, les tensions avec les pays sont aussi un enjeux freinant la mise en place du barrage, pour finir, l’eau étant une ressource précieuse peut-être difficile à se procurer il faut donc prendre un comte le moment de la mise en place.
6- Ce nouveau barrage engendre de nombreux enjeux pour cette région du monde, mais elle est aussi menacée par d'autres acteurs comme la montée des eaux en méditerranée, la pollution du Nil, le secteur industriel, le changement climatique. Les ressources en eau vont donc être multipliées et pour subvenir à ses besoins les pays vont devoir trouver des solutions tel que l’alimentation en eau autres que le Nil, l'industrie côtière…
Le Barrage de la Renaissance de l’Ethiopie est lancé en 2019 et débute dès 2021, il fait naître des tensions entre les pays riverains et des conflits d’usage autour des ressources en eau du bassin du Nil. Addis-Abeba capitale de l’Ethiopie est à l’origine du financement de ce projet d'une longueur de 1800 mètres et une hauteur de 175 mètres. Le but de l’Ethiopie étant le développement du pays avec un apport d’électricité pour la population, un apport économique avec la recette du surplus d’énergie, et un développement agricole avec une irrigation de nouvelles terres. Pour l’Ethiopie ce barrage a pour objectif un développement du pays et de meilleures conditions de vie pour sa population. Toutefois, les pays riverains tels que l’Egypte et le Soudan s’opposent à ce barrage et des tensions apparaissent dans cette région du monde. Ces pays riverains revendiquent l’affaiblissement des apports en eau pour leur pays, leurs droits sur le Nil traversant chacun des pays, la perte de surface agricole et la grandeur du projet pouvant aussi être un enjeux sur le paysage influant sur la culture et le tourisme. Les ressources en eau de cette région n’étant pas seulement menacé par le barrage mais aussi par les changements climatiques avec la montée des eaux et la pollution de l'industrie et de la population. Pour remédier à ses enjeux les pays doivent développer de nouvelle source en eau afin de garantir un apport d’eau suffisant au besoin qui devrait se multiplier au cours des années. Ce conflit d’usage entraîne une instabilité dans la région avec la naissance de tensions menaçant les pays de ne plus pouvoir subvenir à leurs besoins.
Livre p 66-67
Les équilibres menacés
D’après l’ensemble des documents on remarque les effets négatifs de l’homme sur la biodiversité, et sur les ressources menaçant les équilibres. En effet, chaque pays met tout en œuvre pour démontrer sa puissance à travers des avancées technologiques, scientifiques, économiques… entraînant des changements majeurs avec un taux de pollution très élevé avec la course à l'énergie, l’hydrocarbure ou encore la déforestation de l’Amazonie pour des pâturages et terres agricoles. La sécheresse tel que le fleuve Tage en Espagne victime des aménagements et du changement climatique. La demande de pétrole ne faisant qu’augmenter engendrant une sur demande et donc une course à l'approvisionnement pour le développement économique d’un pays. Les exploitations minières tel que l’or polluent toxiquement les espaces jouant sur la santé de personnes malgré les loi interdisant l’utilisation de mercure. Pour finir, la sur consommation de l’homme des ressource naturels de la Terre menace entièrement les écosystèmes, les ressources, la biodiversités pour une compétition cherchant à démontrer la puissance d’un pays ou pour son seul plaisir au détriment de la planète sans prendre en compte les impacts sur l’environnement et sur les sociétés. Le jour du dépassement ayant été repoussé grâce au confinement de l’année 2019 démontre entièrement les effets négatifs de l’homme car toutes les activités exercées par celui-ci étant mise sur pause ou au ralentit lors de cette période impactant donc moins l’environnement.
Livre 74-75
La Chine
La Chine, plus gros pollueur de la planète, essaye de changer ce statut avec de nombreux développements tels que la mise en place de plantations d’arbres pour limiter la déforestation et les impacts des émissions toxiques ainsi que limiter l'expansion du désert de Gobi. Ensuite, la Chine investit dans de nombreuses technologies vertes promouvant les énergies polluant moins l’environnement. Elle est le leader de la transition énergétique. Le pays possède aussi la mise en place de sensibilisation aux énergies renouvelables et au développement durable, elle possède aussi des installations fournissant de l’électricité propre comme la ferme de Datong qui est une ferme solaire. Toutefois, malgré les innombrables efforts de la Chine afin de se diriger vers une croissance verte, il reste tout de même de la route. En effet, le pays met d’importante mise en place pour nuire le minimum possible à l’écosystème mais au détriment de certaines ressources parfois. La construction du barrage de Lianghekou entraîne l’engloutissement des maisons, monastères,de la culture des habitants de la région de même que des paysages ainsi que des terres fertiles déjà nombreuses dans le pays causée par l’agriculture intensive exercée afin de subvenir à l’ensemble des besoins de la population. L’agriculture intensive s’avouant être une perte économique pour le pays qui doit par la suite acheter de nouvelles terres dans le monde. La Chine est un pays qui veut devenir meilleur et prendre en compte le développement durable, le pays souhaite maintenir l'existence des écosystèmes. C’est un pays novateur et qui essaye de prendre en compte l’intégralité des acteurs et des enjeux pour la Terre même si des avancées restent à venir pour la politique chinoise en route vers une croissance verte.
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