L'Etat Peut Il Limiter Les Libertés Individuelles Au Nom De La Dignité De La Personne ?
Recherche de Documents : L'Etat Peut Il Limiter Les Libertés Individuelles Au Nom De La Dignité De La Personne ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresils ne portent atteinte au droit de personne, car personne ne subit un tort (=dommage injuste : dommage qui est contraire a des intérêts profonds essentiels contraire a ma volonté). Pas de torts pour les cas examinés on ne peut pas se causer un tort à soi même. => Crimes sans victimes. De quel droit interdire de tels actes ? Offense, choquée.
S’il ne faut pas jeter les nains c’est parce que c’est une conduite qui est dégradante pour eux. Nous avons un critère pour savoir si un acte est contraire a la dignité il suffit, mais bien sûr le problème demeure qu’un comportement dégradant sur soi même peut être volontaire. Je ne trouve pas cela dégradant. Reconnaitre que c’est dégradant mais aimer cela => la dignité passe en premier. Liberté/dignité
Kant : La dignité c’est l’autonomie de la personne, capacité à se gouverner soit même = fin en soi= liberté de choix.
Autonomie (=liberté) ->dignité (statut à part) ->traitements inadmissibles qui s’applique à soi même, limitation sur l’autonomie. L’autonomie se retourne vers elle-même c’est paradoxale. Il faut donc s’éparer nettement la liberté et la dignité, donc une priorité à la dignité. Même si le consentement est volontaire on n’en tient pas compte. Mais se n’est pas une position facile a tenir car interdire à un adulte lucide de faire ce qu’il veut de sa vie, c’est certainement lui manqué de respect et le traité comme un enfant c’est laisser entendre qu’il ne rend pas bien compte de la gravité de ce qu’il fait. Protéger la dignité de quelqu’un malgré lui c’est le rabaisser contraire à la dignité.
Le consentement est un pratique dégradante qui n’est jamais authentique exemple les féministes extrémiste répète que la prostitution n’est jamais volontaire c’est toujours quelque chose subit par la femme un choix contraint. Ces actes seraient tellement dégradants que pour y consentir il faut que la personne ait perdu ses facultés de jugement.
En refusant d’admettre qu’une personne puisse réellement consentir a ses chose madame Agacinski et ces confrères ne montrent-t-ils pas simplement leur propre étroitesse d’esprit incapacité à imaginer que les autres puissent avoir des gouts différents des leur. A supposer que certaines femmes se prostitue volontairement que doit on faire de ces personnes est il normal de les en empêcher sous prétexte que d’autres le font par besoin. Quel intérêt à ce que l’on défende ma dignité, si c’est pour me priver de mes droits ?
« Traite toujours l’humanité dans ta personne et dans celle d’autrui comme une fin et non comme un moyen etc. » (Kant)
Le nain qui accepte de se faire lancer consent a une conduite qui dégrade l’humanité tout entière. Ce qui est vraiment grave ce n’est pas se que le nain subit mais la porté symbolique de se qu’il subit. Par conséquent les actes dégradants sont des crimes contre l’humanité, plutôt QUE CONTRE DES VICTIMES. Cet appel a l’humanité donne un aire très imposant a l’argument de la dignité mais en même temps cela soulève un autre problème qu’est ce que l’humanité ? C’est une idée, entité abstraite la loi doit elle protéger une entité abstraite au détriment de la liberté des vraies personnes car en effet, qu’en on porte atteinte a l’humanité quel genre de mal lui fait on subir. Conclusion : la notion de dignité est à la fois dangereuse et inutile, dangereuse car malgré son apparence valorisante, elle conduit à légitimer une politique que l’on peut qualifier de paternaliste (prétend savoir mieux que moi ce qui est bon pour moi) c’est un déguisement de la volonté d’imposer à tout le monde certaines conceptions religieuses/sociales privées il paraitrait plus saint de s’en tenir a deux principes le principe de liberté et le principe de non nuisance J.S.Mill De la liberté. Inutile parce que c’est une notion vague, une conduite qui m’éprise
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